Par ces temps qui courent, la séduction en est arrivée au Sénégal à devenir un sentiment apparemment péjoratif, comme d’ailleurs la signification accordée à son nom. Puisque l’action de séduire en droit pénal est assimilé à celle de corrompre, les demoiselles charmeuses infaillibles pourraient figurer parmi les plus grands «amateurs de pot-de-vin».
Dans l’incendie que provoque la vue et le désir d’un être cher, le plus imprudent se brûle toujours le premier et de toutes les façons.
Répondant à l’appellation de patronymes les plus doux, les filles ne sont pas vraiment des anges. Elles sont devenues tout au contraire machiavéliques à souhait et collectionneuses d’hommes en usant de leurs atouts offensifs. Elles vont dès fois jusqu’à la rectification des traces génétiques pour mieux faire battre à la chamade le cœur des hommes.
L’une d’elles, rencontrée aux abords d’un Lycée, teint noir de petite taille, me renseigne que la faute est à chercher du côté des hommes. Car ces derniers veulent fricoter avec tout le monde sans exception et qu’elle ne se plaindrait pas qu’un homme qui puisse subvenir à ses besoins, la drague. L’essentiel pour elle, est qu’il lui règle ses plus menus besoins et après s’il veut, il peut aller se plaindre devant le Président car elle n’a rien demandé à personne.
Étrange donc est l’affaire bien qu’il faille être fou pour ne pas aimer les femmes mais nous, les hommes, ne gagnerions-nous pas à «déshabiller» d’abord l’esprit et l’âme de nos partenaires, les femmes. Et faire taire ainsi les émois du cœur dans l’infinité de la belle pensée, …enfin juste pour un moment.
Dans l’incendie que provoque la vue et le désir d’un être cher, le plus imprudent se brûle toujours le premier et de toutes les façons.
Répondant à l’appellation de patronymes les plus doux, les filles ne sont pas vraiment des anges. Elles sont devenues tout au contraire machiavéliques à souhait et collectionneuses d’hommes en usant de leurs atouts offensifs. Elles vont dès fois jusqu’à la rectification des traces génétiques pour mieux faire battre à la chamade le cœur des hommes.
L’une d’elles, rencontrée aux abords d’un Lycée, teint noir de petite taille, me renseigne que la faute est à chercher du côté des hommes. Car ces derniers veulent fricoter avec tout le monde sans exception et qu’elle ne se plaindrait pas qu’un homme qui puisse subvenir à ses besoins, la drague. L’essentiel pour elle, est qu’il lui règle ses plus menus besoins et après s’il veut, il peut aller se plaindre devant le Président car elle n’a rien demandé à personne.
Étrange donc est l’affaire bien qu’il faille être fou pour ne pas aimer les femmes mais nous, les hommes, ne gagnerions-nous pas à «déshabiller» d’abord l’esprit et l’âme de nos partenaires, les femmes. Et faire taire ainsi les émois du cœur dans l’infinité de la belle pensée, …enfin juste pour un moment.