Le ministère de la Santé et les organisations comme l’Usaid, la firme Pfizer ont lancé, le mercredi 15 juillet 2009, le contraceptif injectable. Le nouveau produit, au-delà de la diversification de la gamme de produits de contraception au Sénégal, vient régler, en partie, les problèmes d’utilisation des produits. Puisqu’il sera acheté sur ordonnance et administré par un médecin, un infirmier, ou une sage-femme. « La femme ou la fille ne pourra se procurer du contraceptif injectable que sous ordonnance, et seul le médecin, l’infirmier ou la sage-femme sont habilités à le lui administrer. Le recours à la contraception est un aspect fondamental pour la protection de la santé de la mère et de l’enfant », a expliqué Mme Coly de la Direction de la santé de la reproduction.
Le contraceptif injectif doit être administré sur les bras ou sur les fesses. La plupart des femmes peuvent prendre ce produit, sauf en cas d’hypertension artérielle sévère, en cas de suspicion de grossesse ou lors de certaines maladies graves, ou encore lors des deux premiers jours d’allaitement. « Le contraceptif injectable protège la femme durant 3 mois. Lorsqu’il y a des effets secondaires, la malade doit retourner chez l’agent de la santé qui lui a fait l’injection », a conseillé Mme Sagna.
L’introduction de ce nouveau produit traduit le souci de Pfizer de contribuer à la lutte contre la mortalité maternelle et infantile au Sénégal, mais aussi de régler la question de l’accessibilité. « Nous avons joué un grand rôle dans la lutte contre certaines maladies. L’introduction de ce contraceptif injectable traduit notre volonté de contribuer à la protection de la santé de la mère et de l’enfant », a fait savoir le directeur commercial de Pfizer, Lamine Mbaye. La représentante de l’Usaid, Mme Koanteng, a salué le partenariat entre le secteur public et privé avant de relever la nécessité d’insuffler un souffle nouveau au programme de planification familiale.
Quant au directeur de Cabinet du ministère de la Santé, Farba Lamine Sall, il a salué la diversification de la gamme des produits pharmaceutiques de contraception au Sénégal. D’autant que la demande reste forte. Selon la dernière enquête démographique Santé 2005, 37 % des femmes mariées expriment le besoin d’utiliser une méthode de contraception moderne.
lesoleil.sn
Le contraceptif injectif doit être administré sur les bras ou sur les fesses. La plupart des femmes peuvent prendre ce produit, sauf en cas d’hypertension artérielle sévère, en cas de suspicion de grossesse ou lors de certaines maladies graves, ou encore lors des deux premiers jours d’allaitement. « Le contraceptif injectable protège la femme durant 3 mois. Lorsqu’il y a des effets secondaires, la malade doit retourner chez l’agent de la santé qui lui a fait l’injection », a conseillé Mme Sagna.
L’introduction de ce nouveau produit traduit le souci de Pfizer de contribuer à la lutte contre la mortalité maternelle et infantile au Sénégal, mais aussi de régler la question de l’accessibilité. « Nous avons joué un grand rôle dans la lutte contre certaines maladies. L’introduction de ce contraceptif injectable traduit notre volonté de contribuer à la protection de la santé de la mère et de l’enfant », a fait savoir le directeur commercial de Pfizer, Lamine Mbaye. La représentante de l’Usaid, Mme Koanteng, a salué le partenariat entre le secteur public et privé avant de relever la nécessité d’insuffler un souffle nouveau au programme de planification familiale.
Quant au directeur de Cabinet du ministère de la Santé, Farba Lamine Sall, il a salué la diversification de la gamme des produits pharmaceutiques de contraception au Sénégal. D’autant que la demande reste forte. Selon la dernière enquête démographique Santé 2005, 37 % des femmes mariées expriment le besoin d’utiliser une méthode de contraception moderne.
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