Le professeur Babacar Guèye, président du Comité d’initiative citoyenne explique dans cette "dans cette perspective-là, nous avons pensé au cardinal Théodore Adrien Sarr".
Désignant ce dignitaire religieux devant se faire entendre des hommes politiques, le président du Comité d’initiative citoyenne s’explique sur les raisons de ce choix. « Nous avons fait une première médiation. A l’époque, c’était lorsque l’opposition venait de décider de ne pas aller aux élections législatives. Nous avions tenté une médiation pour essayer de la dissuader d’aller jusqu’au bout de cette décision et tenter d’enclencher un dialogue entre la majorité et cette opposition-là. A l’époque, nous avions médiatisé cette tentative de médiation et elle avait échoué, en grande partie justement parce qu’elle avait été médiatisée », regrette le professeur Babacar Guèye.
Le professeur de droit constitutionnel à l’Université Cheikh Anta Diop d’ajouter : « A la suite, des amis ont mis sur pied un Comité d’initiative citoyenne et m’ont demandé d’aller avec eux, de coordonner ce comité et c’est ce que nous avons fait pendant huit mois. Pendant huit mois, nous avons fait le tour de tous les foyers religieux du Sénégal. Nous avons fait le tour des organisations de l’opposition, des partis d’opposition, fait rencontrer également des partis de la majorité et une partie de la société civile. Et nous sommes parvenus à obtenir que chacune de ces parties accepte de répondre à un appel au dialogue qui serait fait par un dignitaire religieux ».
A l’époque, quand nous pensions à lui, il venait juste d’être élevé au cardinalat et nous nous sommes dit qu’il était le mieux placé pour faire cet appel, avec autour de lui les autres chefs religieux. Parce que ce que nous voulions, c’est que ce soit un appel fait par un Collectif de chefs religieux, avec comme coordonnateur Monseigneur Cardinal Théodore Adrien Sarr ».
Désignant ce dignitaire religieux devant se faire entendre des hommes politiques, le président du Comité d’initiative citoyenne s’explique sur les raisons de ce choix. « Nous avons fait une première médiation. A l’époque, c’était lorsque l’opposition venait de décider de ne pas aller aux élections législatives. Nous avions tenté une médiation pour essayer de la dissuader d’aller jusqu’au bout de cette décision et tenter d’enclencher un dialogue entre la majorité et cette opposition-là. A l’époque, nous avions médiatisé cette tentative de médiation et elle avait échoué, en grande partie justement parce qu’elle avait été médiatisée », regrette le professeur Babacar Guèye.
Le professeur de droit constitutionnel à l’Université Cheikh Anta Diop d’ajouter : « A la suite, des amis ont mis sur pied un Comité d’initiative citoyenne et m’ont demandé d’aller avec eux, de coordonner ce comité et c’est ce que nous avons fait pendant huit mois. Pendant huit mois, nous avons fait le tour de tous les foyers religieux du Sénégal. Nous avons fait le tour des organisations de l’opposition, des partis d’opposition, fait rencontrer également des partis de la majorité et une partie de la société civile. Et nous sommes parvenus à obtenir que chacune de ces parties accepte de répondre à un appel au dialogue qui serait fait par un dignitaire religieux ».
A l’époque, quand nous pensions à lui, il venait juste d’être élevé au cardinalat et nous nous sommes dit qu’il était le mieux placé pour faire cet appel, avec autour de lui les autres chefs religieux. Parce que ce que nous voulions, c’est que ce soit un appel fait par un Collectif de chefs religieux, avec comme coordonnateur Monseigneur Cardinal Théodore Adrien Sarr ».