Entretien
Comment avez-vous eu ce pouvoir?
Je l’ai hérité, à l’âge de 14 ans, de mon grand-père qui, outre la consigne de ne pas jouer avec, m’avait prédit d’arrêter les études qui n’étaient pas ma destinée. J’ai, plus tard, constaté que mes études en comptabilité générale n’ont pas prospéré.
Vous ne sortez qu'en menace de péril. Y’aurait-il à craindre?
Oui, des djinns-femmes, venues d’Inde, attirées par la jeunesse cherchent à absorber le sperme des jeunes sénégalais, pour rester encore jeunes. Pour cela, elles utilisent de jeunes filles sénégalaises, moyennant 100000 à 200000 fcfa, qui entretiendront des relations sexuelles avec les hommes qui deviendront impuissants, au bout de deux ans. Le chef des djinns musulmans, de même que celui des non-croyants, est une femme. Ces djinns en quête de sperme juvénile, sont entre Dakar, Saint-Louis et les autres régions. Pis, encore, outre ces complices, les djinns ont corrompu des marabouts. J’en connais quelques uns. J’en appelle à la vigilance des hommes car ses suppôts de Satan sont partout. Mais, je lance un défi à ces faux-dévots dont plusieurs vont chuter.
Êtes-vous, présentement, avec les djinns?
Non (rires). Aujourd’hui, je leur ai dit de m’attendre ailleurs; soyez rassuré. Il faut que les gens sachent que ce n’est pas un miracle que d’être avec des djinns. Ils sont, presque comme nous, ils se marient, divorcent, mendient, comme tout le monde.
Certains squattent les cimetières pour s’enrichir. Qu’en est-il?
C’est une réalité. Ils y cherchent certaines parties du corps humains qui, combinées avec quelques secrets mystiques, procurent de la richesse.
Les 23 et 27 juin dernier, le pays était en ébullition. Le pire, est-il à craindre?
Dans la nuit du Jeudi au vendredi, avant la Korité, la mer était agitée, signe que certaines personnes perturbaient la quiétude du pays. Mais, tout est rentré dans l’ordre. Je dis aux sénégalais, si le Yémen est en feu, le Sénégal n’échappera pas au feu et à la crise. La bande qui passe par le Yémen, traverse, également, deux grandes familles religieuses sénégalaises. Depuis que ce pays est en crise, le Sénégal est entré dans une ère de difficultés. Mais, je connais un lieu à Saint-Louis où, toute prière formulée un mercredi soir, sera acceptée par Dieu.
Propos recueillis par Ousseynou Diop rewmi
Comment avez-vous eu ce pouvoir?
Je l’ai hérité, à l’âge de 14 ans, de mon grand-père qui, outre la consigne de ne pas jouer avec, m’avait prédit d’arrêter les études qui n’étaient pas ma destinée. J’ai, plus tard, constaté que mes études en comptabilité générale n’ont pas prospéré.
Vous ne sortez qu'en menace de péril. Y’aurait-il à craindre?
Oui, des djinns-femmes, venues d’Inde, attirées par la jeunesse cherchent à absorber le sperme des jeunes sénégalais, pour rester encore jeunes. Pour cela, elles utilisent de jeunes filles sénégalaises, moyennant 100000 à 200000 fcfa, qui entretiendront des relations sexuelles avec les hommes qui deviendront impuissants, au bout de deux ans. Le chef des djinns musulmans, de même que celui des non-croyants, est une femme. Ces djinns en quête de sperme juvénile, sont entre Dakar, Saint-Louis et les autres régions. Pis, encore, outre ces complices, les djinns ont corrompu des marabouts. J’en connais quelques uns. J’en appelle à la vigilance des hommes car ses suppôts de Satan sont partout. Mais, je lance un défi à ces faux-dévots dont plusieurs vont chuter.
Êtes-vous, présentement, avec les djinns?
Non (rires). Aujourd’hui, je leur ai dit de m’attendre ailleurs; soyez rassuré. Il faut que les gens sachent que ce n’est pas un miracle que d’être avec des djinns. Ils sont, presque comme nous, ils se marient, divorcent, mendient, comme tout le monde.
Certains squattent les cimetières pour s’enrichir. Qu’en est-il?
C’est une réalité. Ils y cherchent certaines parties du corps humains qui, combinées avec quelques secrets mystiques, procurent de la richesse.
Les 23 et 27 juin dernier, le pays était en ébullition. Le pire, est-il à craindre?
Dans la nuit du Jeudi au vendredi, avant la Korité, la mer était agitée, signe que certaines personnes perturbaient la quiétude du pays. Mais, tout est rentré dans l’ordre. Je dis aux sénégalais, si le Yémen est en feu, le Sénégal n’échappera pas au feu et à la crise. La bande qui passe par le Yémen, traverse, également, deux grandes familles religieuses sénégalaises. Depuis que ce pays est en crise, le Sénégal est entré dans une ère de difficultés. Mais, je connais un lieu à Saint-Louis où, toute prière formulée un mercredi soir, sera acceptée par Dieu.
Propos recueillis par Ousseynou Diop rewmi