A en croire l’organisation de défense des droits de l’homme, Ciré Wagne est aujourd’hui gravement malade du fait de sévices et de tortures perpétrés au moment de son arrestation par les gendarmes. Une arrestation survenue à la suite des événements de Kédougou.
Pour rappel, ces évènements survenus le 23 décembre dernier avaient éclaté à la suite d’une marche organisée par des étudiants et jeunes de Kédougou. Ces derniers, compte tenu de la richesse du sol de leur région et de la présence d’exploitants industriels, réclamaient entre autre plus d’emplois et de meilleures conditions d’étude à Dakar.
Toutefois, la marche qui était pacifique avait fini par se transformer en émeute à la suite de la répression perpétrée par le forces de l’ordre à l’endroit des manifestants. Il y avait, un mort, des blessés et plusieurs manifestants avaient été arrêtés. Et certaines personnes arrêtées ont fait savoir qu’elles avaient été victimes de torture.
C’est pourquoi, l’Ondh exige "une enquête impartiale et indépendante" sur l’ampleur des cas de tortures avérés lors de ces évènements. Et ceci, lit-on dans le communiqué, afin de déterminer les responsabilités individuelles conformément aux dispositions de la convention de 1984 sur l’interdiction de la torture et les actes cruels, inhumains et dégradants.
nettali
Pour rappel, ces évènements survenus le 23 décembre dernier avaient éclaté à la suite d’une marche organisée par des étudiants et jeunes de Kédougou. Ces derniers, compte tenu de la richesse du sol de leur région et de la présence d’exploitants industriels, réclamaient entre autre plus d’emplois et de meilleures conditions d’étude à Dakar.
Toutefois, la marche qui était pacifique avait fini par se transformer en émeute à la suite de la répression perpétrée par le forces de l’ordre à l’endroit des manifestants. Il y avait, un mort, des blessés et plusieurs manifestants avaient été arrêtés. Et certaines personnes arrêtées ont fait savoir qu’elles avaient été victimes de torture.
C’est pourquoi, l’Ondh exige "une enquête impartiale et indépendante" sur l’ampleur des cas de tortures avérés lors de ces évènements. Et ceci, lit-on dans le communiqué, afin de déterminer les responsabilités individuelles conformément aux dispositions de la convention de 1984 sur l’interdiction de la torture et les actes cruels, inhumains et dégradants.
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