A l’occasion d’une conférence à Paris, la semaine passée, des chercheurs belges ont dévoilé pour la première fois, les résultats d’une étude inédite. Il s’agit d’une première expérimentation belge pour un traitement pré-exposition contre le virus VIH.
Le traitement en question consiste à administrer à des séronégatifs qui courent un risque élevé de contamination, du Truvada, un médicament anti-rétroviral préventif.
200 volontaires d’un groupe à risques ont participé à l’essai, dont 1 sur 4 avait signalé avoir eu, dans les trois derniers mois, des rapports avec plus de 15 partenaires anonymes, dont il ne connaissait pas toujours le statut viral.
A l’issue de l’expérimentation, aucun des 200 patients n’a été contaminé. "C’est un résultat remarquable", commente Kristien Wouters, de la clinique ARC de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers, qui a mené l’étude.
"C’est même mieux qu’un vaccin, puisque cela protège complètement si l’on prend bien ses médicaments. Aux Pays-Bas, dans une étude comparable, ils ont constaté une contamination" , a expliqué la chercheuse.
Le traitement en question consiste à administrer à des séronégatifs qui courent un risque élevé de contamination, du Truvada, un médicament anti-rétroviral préventif.
200 volontaires d’un groupe à risques ont participé à l’essai, dont 1 sur 4 avait signalé avoir eu, dans les trois derniers mois, des rapports avec plus de 15 partenaires anonymes, dont il ne connaissait pas toujours le statut viral.
A l’issue de l’expérimentation, aucun des 200 patients n’a été contaminé. "C’est un résultat remarquable", commente Kristien Wouters, de la clinique ARC de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers, qui a mené l’étude.
"C’est même mieux qu’un vaccin, puisque cela protège complètement si l’on prend bien ses médicaments. Aux Pays-Bas, dans une étude comparable, ils ont constaté une contamination" , a expliqué la chercheuse.