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SINDIELY WADE, DELEGUEE ADJOINTE DU FESTIVAL MONDIAL DES ARTS NEGRES : « Je préfère m’entourer de discrétion dans tout ce que je fais »

En dépit de la position défendue par bon nombre de spécialistes du milieu culturel qui tablent sur un énième report du Festival mondial des arts nègres (Fesman) prévu en décembre prochain, Sindiély Wade fait preuve d’un optimisme inébranlable. Ni le retard noté dans la livraison des infrastructures culturelles telles que le Grand Théâtre encore en chantier, ni l’opération de torpillage menée par Gad Weil de Médiatique Events n’ont réussi à la faire douter de la tenue de la manifestation à date échue. Dans l’interview qu’elle nous a accordée, la déléguée adjointe du Fesman s’est prononcée sur plusieurs points parmi lesquels : les préparatifs de l’événement, la participation du Président Lula, le contentieux judiciaire entre l’Etat du Sénégal et Médiatique Events, l’opération de sabordage menée par Gad Weil. Sindiély Wade, qui a également évoqué son implication dans le milieu culturel et la gestion de la Fondation du Monument de la renaissance qui lui serait confiée, a systématiquement refusé de faire une incursion dans le domaine politique. Entretien


Rédigé par leral.net le Mardi 1 Juin 2010 à 22:37 | | 6 commentaire(s)|

SINDIELY WADE, DELEGUEE ADJOINTE DU FESTIVAL MONDIAL DES ARTS NEGRES  : « Je préfère m’entourer de discrétion dans tout ce que je fais »
L’As : A six mois du Fesman, où en est-on aujourd’hui avec les préparatifs de l’événement ?

Sindiély Wade : Nous formons une équipe qui travaille sur le Festival. Certains ont en charge les infrastructures, la rénovation et l’organisation. Il y a aussi l’aspect technique qui consiste en l’installation technique des salles. On peut également citer l’aspect programmation. Des responsables de programmation, très compétents dans leurs domaines, s’occupent avec brio de la programmation des différentes manifestations artistiques annoncées et même sportives, parce que la manifestation prévoit également des événements sportifs.
Sindiély Wade, le Pr Iba Der Thiam, Modou Bousso Lèye, Aziz Sow et Alioune Badara Bèye : voilà l’équipe qui a en charge l’organisation du Festival. En quoi consiste exactement le rôle de chacun d’entre vous ?

Le Festival est placé sous la présidence du ministre de la Culture, Serigne Modou Bousso Lèye qui a pour adjoint, donc comme vice-président, Alioune Badara Bèye. Par conséquent, ce sont eux qui chapeautent la préparation de l’événement. Et l’organisation est confiée à une délégation générale qui est dirigée par Abdoul Aziz Sow que je seconde. Donc, la grande partie du travail de la mise en place du Festival repose sur la délégation générale. Nous avons en charge de mettre en place les infrastructures pour la programmation artistique et sportive.

Aujourd’hui, tous les spécialistes s’accordent à dire que le Festival ne pourra pas se tenir en décembre prochain et qu’il s’achemine vers un autre report.

Je dois rappeler que le Festival mondial des arts nègres est une manifestation qui a été reportée plusieurs fois, aussi bien du temps du Président Wade que du temps du Président Senghor. C’est une manifestation qui attire beaucoup de convoitises. Mais nous pouvons dire aujourd’hui que nous avons réussi à former un groupe de personnes qui sont là pour que l’événement réussisse, pour qu’il soit un succès éclatant pour le Sénégal, pour l’Afrique et pour les pays de la diaspora.

Cela ne risque-t-il pas d’être une gageure que le Festival se tienne à date échue dans la mesure où les infrastructures, comme le Grand Théâtre, ne sont pas encore livrées ?

L’existence d’infrastructures n’est pas un facteur limitant pour organiser un festival. Vous faites référence au Grand Théâtre. C’est très bien qu’il soit en construction, mais s’il n’est pas terminé avant le festival, il n’y aura pas de souci. Le succès d’un festival se rapporte à son degré de popularité, donc il doit avoir lieu en majorité dans la rue. Nous savons depuis le début que le Grand Théâtre ne sera pas prêt. D’ailleurs, il n’a jamais fait partie des sites que nous avons ciblés pour l’organisation du festival.

Il s’y ajoute que Gad Veil de Médiatique Events a envoyé des mails à différentes fondations, à des chefs d’Etat et à des artistes pour leur demander de ne pas prendre part au festival

Je n’ai pas vu les mails de Monsieur Gad Veil et de Pierre-Bloch qui circulent demandant aux gens de ne pas s’impliquer vis-à-vis du festival. Je sais qu’il y a un litige entre l’Etat du Sénégal et ces deux personnes. Je n’ai pas une grande connaissance du dossier, mais je sais que M.Gad Veil avait déposé (bien sûr pour le compte du Sénégal, parce qu’il ne peut pas s’approprier quelque chose qui ne lui appartient) la marque Fesman au nom d’une de ses sociétés. Fort heureusement, nous avons été extrêmement prudents et avons décidé de changer le nom du festival et de lui redonner son nom initial qui est celui de Festival mondial des arts nègres. Cela signifie, en conséquence, que le sujet qui a été évoqué n’a pas lieu d’être. Gad Veil est propriétaire de la marque Fesman, tandis que l’Etat du Sénégal est propriétaire de la marque Festival mondial des arts nègres.

Il est fait état du découragement de la communauté internationale ; on avance même que le Président Lula, parrain de la manifestation, ne serait plus emballé. N’avez-vous pas des appréhensions par rapport à tous ces facteurs ?

Le Brésil va vers des élections à la fin de l’année ; le Président Lula ne sera pas de la course, parce qu’il a déjà terminé les mandats que lui autorise la Constitution brésilienne. Il ne va pas donc se représenter. Récemment, nous avons effectué une mission au Brésil justement pour relancer les choses avec les autorités brésiliennes. Je peux certifier qu’elles ont été ravies du nouveau format que nous leur avons présenté. Nous leur avons présenté une programmation concrète et nous travaillons ensemble avec une Fondation qui dépend du ministère de la Culture, pour définir le niveau de la participation du Brésil au festival. Car le Brésil reste l’invité d’honneur du festival.

J’en reviens toujours à ma question, le Président Lula sera-t-il de la partie ?

Les élections auront lieu en fin décembre. Durant la période du festival, le Président Lula n’exercera plus les fonctions de président de la République du Brésil, même si la passation de service avec son successeur se fera en janvier.



Depuis dix ans que votre père est à la tête du pays, vous aviez toujours réussi à être dans l’ombre. Subitement, vous voilà propulsée à la tête de la Fondation du Monument de la renaissance et du Fesman. Qu’est-ce qui vous attire dans le milieu culturel ?

Au Sénégal, on écrit beaucoup sur la base des rumeurs. La Fondation du Monument n’est pas créée à ce jour et je ne la dirige pas. Et il n’a jamais été question que je la dirige. Le président de la République m’a demandé de gérer une fondation créée à son nom. C’est la fondation Abdoulaye Wade qui regroupera l’ensemble de ses œuvres, de ses ouvrages qu’il a eu à créer tout au long de sa vie. Et l’objectif de cette fondation, c’est de pouvoir financer un projet qui lui tient vraiment à cœur et qui concerne la petite enfance : la Case des Tout Petits. Donc, beaucoup de choses erronées, fausses, ont été dites et écrites. Encore une fois, je ne dirige pas la fondation du Monument de la Renaissance.

Par rapport aux dossiers qui ont trait à la culture, je crois tout simplement que le président de la République a décidé de nous faire confiance, à Abdoul Aziz Sow et moi, pour que ce festival ait lieu. Nous lui avons proposé un concept, une stratégie pour y arriver. Certes, six mois c’est très court pour organiser un festival, mais bon au Sénégal, nous avons l’habitude des défis. Et nous comptons bien tout faire pour les relever.

Médiatique Events a attaqué l’Etat du Sénégal pour rupture abusive de contrat. Comment appréhendez-vous ce contentieux judiciaire ?

Je ne maîtrise pas les principaux éléments du litige qui oppose le Sénégal à Médiatique Events qui représente Jean-Pierre Pierre Bloch. Je l’ai été au départ, parce que Gad Weil m’avait demandé d’être médiateur entre eux et l’Etat du Sénégal. Il m’était impossible d’accepter ce rôle, dans le sens où je ne peux pas être juge et partie ; même si j’ai, quand même, une bonne connaissance du dossier puisque j’ai eu à travailler quelques temps avec Médiatique Events.

Quelles assurances donnez-vous à l’opinion que le festival se tiendra à date échue ?

C’est une question de confiance ! Qu’ils aient confiance ! Je ne peux pas donner plus de garanties. Nous travaillons vraiment d’arrache-pied dans la discrétion. Je préfère m’entourer de discrétion dans tout ce que je fais. Vous êtes bien entendu au courant de l’affaire Mame Faguèye Ba dans laquelle je suis intervenue dès le départ, vous ne le savez peut-être certainement pas. Et cela a pu être un succès, parce que l’affaire a été gérée dans la discrétion. Malheureusement, nous avons, à un moment donné, un tapage médiatique qui a été un énorme problème pour la sécurité togolaise. Car vous ne pouvez pas mener une enquête et traquer des criminels en les informant par voie de presse de ce que vous comptez faire. Mais fort heureusement, Mame Faguèye Ba a pu être sortie des griffes de ces criminels. Et elle est en vie aujourd’hui.

Propos recueillis par Hawa BOUSSO l'asquotidien

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1.Posté par ANCIEN SOLDAT le 02/06/2010 11:03 | Alerter
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QUAND T'ES VOUS ETES AFRIQUAINE POUR DEFENDRE LA NEGRITUDE ...? EN L'AN 2000 FOUTER NOUS LA PAIX.

2.Posté par DIALLO le 02/06/2010 11:17 | Alerter
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A quand Viviane Wade vive-présidente du Sénégal, depuis qu'on attend, ensuite ça sera le tour des oncles et des cousins ministre d'états et ministre conseillers. Il semble au pays de la téranga seule la famille Wade est capable.

3.Posté par babs le 02/06/2010 12:06 | Alerter
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Ce qui me fait mal aujourd'hui c'est l'attribution la responsablité, honneur et les priviléges aux enfants du papi qui étaient aux maristes n'ont jamais bénéficiés au concours général ni au tableau dhonneur. C'est ca le senegal emergent .

4.Posté par laye le 02/06/2010 20:04 | Alerter
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Personne ne peut organiser un FESMAN au Sénégal en faisant fi des organismes privés qui on l'habitude d'organiser des événements et des artistes

5.Posté par Abdoulaye Soumaré le 02/06/2010 20:53 | Alerter
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Encore une fois " le festival mondial des arts nègres n`aura pas lieu " parce que je vous le repete " NÈGRE " c´est une insulte c´est raciste, consultez les nouveaux dictionnaires. Et voila est ce que l´on peut laisser des cordonniers pratiquer une opération chirurgical ? Alors laissz aux artistes les arts.


Indépendance

Je suis l´homonyme du général Abdoulaye Soumaré, camarade de lutte du Pr Modibo Keita, des Khruma, Lumumba. Anta et autres. Les lumières… Il est bien de parler des héros, car leur bonnes œuvres elles, elles restent immortelles. Ces écrits nous les avons envoyés comme devoir de citoyens à la présidence du Sénégal, á monsieur Abdoulaye Wade, sans suite. Maintenant notre décision est de la rendre publique.

Pour Modibo Soumaré.

( Lettre ouverte )

Cher monsieur le président.

Nous vous prions, de nous apporter votre solidarité. Notre intention, est de supprimer, le mot “ nègres ” une expression insultante et qui manque de dignité, dans le titre du festival qui doit avoir lieu à Dakar, par le mot “ Bantu ” qui signifie uni. L’objet de la recherche “ l’union ” retrouvée.

Ainsi, nous aurons à la place de
Festival mondial des arts nègres. Festival mondial des arts Bantus.
Signée par

Abdoulaye Soumaré Kanakassy Mansour

Etre

Toujours pareil à notre existence, nous exprimons par cette force, un souhait de paix véritable. Le cœur, la tendance est une prière voir clair. Notre solidarité, allant vers tous ceux qui souffrent des guerres, catastrophes et autres calamités terrestres.

L’identité, est toujours à la recherche, de dignité durable, un souvenir de sa source, c’est primaire...très authentique. Dans l’antiquité, on ne pouvait, ni recevoir une nouvelle identité, ni perdre celle que l’on avait déjà. C’est seulement, dans les temps modernes, que les préoccupations, se sont élargies consciemment sur les sujets, et depuis, l’individu est vu comme quelque chose, étant une existence paradoxe. Depuis lors, l’identité change vite, ou moins vite, peut être individuel, ou collective. Mais surtout, on est individu, avant d’être collectif. Identité veut dire, littéralement traduit, une unité où entente parfaite.

La vision du monde, est liée à l'identité.

Comment mieux apprendre et appréhender l’évolution de l’art “ nègre ” invective à caractère raciste “ saga bahul ”. Le mot nègre, discrédite une personne avec une peau noire. ( internet ) L’insulte, nègre, ce mot n’est aujourd’hui, presque plus utilisé publiquement, et à cause de sa connotation raciste, de plus en plus bannit. Comme du temps du marin Enrico, les mythes des caravelles et corsaires monstrueux, dégueulasse. La poubelle et marionnette de tout le monde. C’est Affreux, comme Afrique, allez y voir, sale race, nègre sont des mots que vous ne retrouverez dans aucunes des langues, originaires du peuple et aujourd’hui parlée encore. Nègre, Afrique, Affreux, pourquoi des millions de gens persisteraient-ils à se taxer, ou bien se laisser chiffrer, s’appeler, se voir et être vu ainsi, par d’autres et par eux même? C’est même, contre toutes les logiques d’amour propre, qui sont Indispensables, pour un beau sentiment des autres.

Héritage coloniale, suprématie des idées fausses, sans aucun fondement. Je pense comme beaucoup d’autres, au sous développement, à la marginalisation, un produit du manque, des fausses informations. C’est la Propagande, manipulation de l’identité est possible et très fréquent. Identité provisoire, rien pour l’éternité, des identités sous contrainte, les identités en pleine communication urbaine, savoir ou se situer par rapport aux autres. Problématique de l’identité en général. Les gens sont très manipulés, s’identifier à la politique, le joug, l’orientation vers les idées malsaines. Indécrottable Afrique, une forme d’impuissance historique. Passéisme, rétroactif, prisonnier du temps. Visions figées des cultures africaines, vouées à la reproduction et aux répétitivités. Politique arriérée, focalisée sur le derrière, passé malsain maudit par qui ? Qui est sous tutelle, les histoires de malédictions. Chroniqueur...le maître d’école coranique et Ibnou, qui déteste que l’on frappe ses enfants. Ma dignité, est de me battre aussi, pour la liberté de ma sœur. Je ne veux pas me refaire sur le travail de ma sœur, car son travail est le mien. Le travail, n’exclue pas la collaboration, nous, nous inspirons les uns des autres. C’est comme ca, que nous allons traduire Adama et Abdou au festival de Dakar, nous sommes pour une interdiction générale, de la punition corporelle dans l’éducation, arabe aussi. “ Hale ken du ko dor ” les enfants, cela ne se frappe pas entendez, garçons et filles, respect mutuel triompher sur les haines.

La couleur de la peau, ne détermine pas l’identité, mais plutôt l’individualité dit-on sagement. Vanité, envie, jalousie. Histoire, des mauvaises langues. Niorai, c’est Bouddha lors de leur rencontre, Mao avait raté l’occasion. La Chine à Dresde, collection d’art étatique. Un, sur neuf habitants de la terre, est chinois dit Moustique. C’est lorsque l’armée, dirige une grande partie de l’économie. Communisme, la réalité est une plus grande utopie encore et puis, en plus, il n’existe qu’un Dalai Lama. L’honneur n’est qu’un brin d’allumette, on ne peut s’en servir qu’une seule fois “ proverbe chinois”. Mais la tige est encore là, certain gens se débouchent les oreilles avec, “ djur gottu ”. Pensez, les boites à feu, alternance avec “ le Boxeur ” Cap Grundheber, cela fait un peu plus de punch. L’exception qui défie la règle, classe économique et propre.

Cap : Est ce qu’il y a, des papiers hygiéniques là-bas.
Lay : Prend de l’eau.
Cap : Non, non, non. Pour toi oui, pour moi non.
Lay : Rien que des bêtises, eau ou papier hygiénique Je prends les deux, le passage d’une
pratique à l’autre, n’est nullement compliqué.

Déplorer l’absence d’écriture, d’esprit collectif. Assimilation, ou diversité culturelle. Les uns demandent aux autres, de s’intégrer à leur mode de vie, ou de démocratie, comme si la liberté était à comprendre selon les humeurs. Il n’existe pas de démocratie locale, la liberté n’est pas divisible, l’idéal de paix. Tous sont contents.
C’est la Télé, qui le dit. Les phénomènes de recherches identitaires, continueront. Le nationalisme, est rétrogradé. Fiasco, “ Bign, fas sa kanam, bind si allahira ”. Afficher une grande répulsion, visage froissé, c’est écrit lisible là dessus, au jour dernier et les enfers. Très fâché, par la vient peut-être le fascisme, “ fascho ”, faché. La haine, provoque la défense “ lo may diay yav ” qu’est ce que tu veux me vendre toi. C’est bon, c’est bon “ Bana, bana ” sait que le commerce, n’est pas tout. Qui peut dire maintenant, si la libre concurrence, l’économie libérale, est compromise. Dans le libéralisme l’âme personnelle se dégrade en un gardien tout court, un chien méchant, une compréhension étroite de l’idée de bien, la richesse commune de l’humanité âme et Dieu, se détériore en un diable et démon, frontières, inapprochable vide spirituel du matérialisme. De plus en plus perce l’ambition de rendre compte de la réalité, transparence, exprimer l’univers dans sa complexité, mais aussi de trouver l’unité, le sens. Littérature, structure mentale, un goût pour le savoir encyclopédique et rationnel, pour l’allégorie. On veut percer le sens des symboles non plus par le cœur mais par l’esprit.
Dans les mutations culturelles et leurs évolutions, il n’a jamais été question, ni aujourd’hui, ni hier, de se dévider de sa vigueur, ou validité.

“ Je suis ”.

La visite, de la vielle dame. “ On a dit que, ce n’est pas à cause de l’argent, mais Djbi, a dit que oui, c’est à cause du fric. Une lampe, Ndoumbelane, au lieu de Niokolo Koba. De la corde au cercueil, cela va très vite, avec la lumière. Nègre, la valeur adoptée est fausse, tout le monde le sait. Elle contrecarre, la vérité de la sentence, connue comme quoi, tous les hommes naissent libres et égaux. L‘honneur, n’est pas héritable mais l’humiliation, les esclaves du monde, djames-nations, les damnés de la terre. Ce n’est pas écrit dans les gênes, mais plutôt dans le caractère. Nègre, c’est comme macaque, sauvage, il faut se méfier. Les descendants des tirailleurs, n’ont pas droit aux honneurs et mérites, de leur aïeuls, anciens combattants, mais les dettes exorbitantes et étouffantes reviennent par un inexplicable miracle et pourtant expliqué, aux nouveaux nés africains. Les relations monétaires. La muse soignée du peuple de France, ne traduit vraiment pas son élévation morale. Liberté, égalité, fraternité.

Ma grande mère, la mère de Ibnou le petit frère du général Abdoulaye Soumaré, s’appelle Caroline Marie Parsine Soumaré, signare de Saint Louis. Saint Louis les clés de la ville et les clés du paradis sont les mêmes choses. Saint Louis est le premier roi de France, à pratiquer une politique monétaire “ qui inaugure l’ère de la puissance de l’argent ” et il adapte, les institutions dans un sens, qui donne une existence reélle, à la notion d’État “ amémagement de la chancellerie, création d`une commission de contrôle du trésor royal et de l’hotel du Roi, où sont distingués les fonctions d’État et les emplois domestiques. ” Ce n’est pas juste, c’est tristes, les rafles. La question des sans papiers, le problème étant politique. Les insupportables, les situations précaires, une jeune congolaise ligotée par des policiers par, de surcroît des hommes, elle menace de les mordre devant des millions de téléspectateurs. Incroyable, et ceci dans le vingt et unième siècle.
Patte d’éléphant, notre très, très grande victoire, Djbril Diop Mambetty, pensez à l’ange. Le destin, nous on ne croit pas à la coïncidence. Senghor, l‘intelligence, les enfants, l’argent et les démunis. Cinéma mendicités par tous les bords, famines incurables, maladies bénignes, épidémies sans arrêt. La poésie vivante des millions d’affreux, les gens qui souffrent. Un jour sacré, ils ont tous eu leur rémunérations, d’avoir étés à l’heure et au lieu. Devant la camera, pris en considération, guéris et heureux. “ Hyènes ” le film est essentiellement, tourné par des freaks. Des pauvres, des gueux, un chef-d’œuvre a vu jour.

Drahman Drame : Banga deme ba tay
Sama dund gi de ko gen.
“ depuis que tu est partis. La mort vaut mieux que ma vie d’aujourd’hui. ”
Ramatulay : Dafa fek ne aduna man may boroman.
“ C’est ainsi, le monde m’appartient. ”
Drahman Drame : Dama tabi safara.
“J’ai atterri en plein enfer. ”
Ramatulay : Man mi may safara.
“ L’enfer c’est moi même.

Je ne suis pas morte dans la géhenne, sachez que bien avant la préhistoire, depuis, j’ai plutôt apprivoisé le feu, la vie, comme elle devrait être. Voir “ Djef diel ” grande force on sème, on récolte. Travail dans l’absolu, c’est Baye Fall. “ Considérer le dévouement, pour les guides, comme une semence dont on espère récolter quelques fruits, car l’intention comme le dit le prophète vaut l’action accomplie. ” Touchés, très zélés, c’est très réussi. Nous devons être fiers de pouvoir dire à nos enfants ce qui est présumé être un bon futur. La sauvegarde de l’environnement mode de vie et de développement serein et durable Chirac, éloignés des colonisations masqués. Saint Louis c’est présenter Laye N’diaye à ma façon, au son de Mandiu o Kanakassy. Universel mon beau père, et mon ami quel honneur d’avoir des petits fils de Bamba. Les enfants reçoivent les afros, une monnaie avec valeur juste, comme Yobente pour sen Yay, pour leur Maman Absa M’backé domi, fille de Gaindé Fatma cœur et courage de Lion ba Serin Tuba. La chance, les bases d’un fondement sur et certain, pour un travail conceptuel à venir.


Notre nouvelle adresse.
Le palais de l’Onu
à
La place Faidherbe
à Saint Louis

- Entretien d’un trésor inestimable l’amour, la paix.
- Dialogue des cœurs.
- Culture et développement.
- Education Santé.
- Infrastructure et Démocratie.

Redonner une âme au continent, à la case, aux châteaux et aux maisons. Comme une fois Jimi Hendrix moulons tous les hymnes nationales ensemble. C’est convaincant de sacrifier se que l’on possède le plus cher en une symbiose, amour. One Word, palais des Nations unies au Sénégal. Motifs, croyances, incroyances, les identités, assez d’un dialogue politique malade. Remise en question et des réponses, sont nécessaires à la souffrance. Qui dit visualiser, pour accompagner les écritures, ne sous entend pas informer. Par quelle presse ? Pas celle là, qui encore sous estime, la signification de la liberté et de la justice. Comment, peut-on être victime. Prévention et thérapie. “ Nit nitay garabam ”, l’homme est le remède de l’homme. Apporter visions et critiques. Radio et éditeurs indépendants partout, des livres pour le rêve et la tolérance. “ Manam ”, comment dire les choses, on se souvient de “ l’Afro ndeup ” exorcisme, guérir les mentalités hantées, par la diplomatie de l’art, une autre façon de dialoguer, utilisé aussi par les guérisseurs et chamans, qui peuvent sauver, des traumatismes coloniales, entre le marteau et l’enclume, soumis au capitalisme sans foi ni loi. “ Afro ndeup ” fortifiant, accompagné de tama et sabar, ce rythme endiablé. Afro ndeup est le vrai rythme, Cassy, c’est plastique, la mythologie dynamique. Le tempérament, la sueur dans l’identité, est un caractère primordial. Il détermine, les relations interpersonnelles. Il est actif, c’est agressif, c’est la participation de l’action même pour débloquer le temps dans sa stupeur.

Pour stimuler, ou faire sauter.

C’est dense, un double, produit artistique. Mais qui est ce gars là, magique. Personnage bien nourri un bel ensemble, pantalon gris, veston, veste, en dessus l’inoubliable casque colonial jaunit, on se souvient, on est dans le temporel, prête y attention, nous flottons sans relâche dans l’air. Remarque bien, sur quoi ton attention est fixée, lorsque tu respires. Le souffle c’est l’inspiration, ce n’est pas du cirque. Mérite d’élargir les frontières, dans le sens d’éliminer les difficultés et barrières. C’est clair le large, l’ouverture sans fardeaux, en bas les Dogmes, les hégémonies, Il faut en premier lieu s’en défaire et grandir au delà de ça. Cap une indice… pas de lignes de conduite téléguidées dans le progrès… Laïcité liberté de conscience. Professeur, le temps c’est de l’argent, découle de l’être. Cherchez, il ne faut pas être soumis, dupé, alors le sens nous échappe. Comme dit Mama Sam, “ on n’est consterné, nous cherchons des explications ”.

L'africaine Occidentale (Non, Je Ne Connais Pas L'afrique)

Chedid Mathieu

Quand je te revois, mamma Sam
je retrouve les vraies valeurs...
un si grand cœur, une si belle âme...
qui ne se soucie jamais de l'heure

quand je pense qu'elle était comme moi
issue de ce pays glacial
maintenant qu'elle vit au Kenya
c'est l'africaine occidentale

refrain:
non, je ne connais pas l'afrique (bis chœurs)
aigrie est ma couleur de peau
la vie est une machine à fric
où les afreux n'ont pas d'affros

tous ces jeunes américanisés
nikés de la tête aux pieds
génération très très marquée
Mamma Sam est consternée

A cette époque où faire l'amour
est un danger pour l'humanité
il est indécent d'afficher "Nike"
sur nos vêtements dégénérés

Refrain

Mamma Sam, cette fois, c'est décidé
m'éloigner de Paname me feras le plus grand bien
et si ça se trouve, je ne reviendrais jamais...
je serais le plus blanc-bec de tous les africains

Refrain (x2

On n’a pas besoin de fausses constructions, perceptions ou identité de soi et des autres. Amis et ennemis sur des bases de duperie et de malheur, pour être humain, heureux. Bjour, bonsoir, les mouvements migratoires, voir se rencontrer, de se définir, de se raconter, de se constituer une perception du monde, au sein duquel, on se positionne et se passionne. L’objet “ d’art ” est la valeur scientifique. Transposition (art ) conversion, transformation. Voyageur, la soif d’expérience. Il faut, faire du bien, voyager contre le nazisme, ceux qui ne sortent jamais de chez eux, qui n’ont jusqu’ici, pas eu la chance de pouvoir comparer, ce qui est commun aux uns et aux autres et apprécier, ce qui fait leurs différences. La créativité, dans les changements et Continuités. On apprend à se soigner soi même, du temps, et beaucoup de choses. Médecine pour les oubliés, pendant ce temps, les gens affreux, attendent et attendent quoi au juste, meurent et meurent, pourquoi au juste. Naguère, c’était un conseil d’éthique, d’aller à la rencontre des sévices et des maladies la vocation. Dr. N’diaye, il a fait son devoir. Les chaleurs de Linguere jusqu’à Tambacounda, se sont métamorphosées, une idylle. Le paradis est ouvert, il n’a jamais été fermé, mal compris. Richesse, une prospérité qui se comprend, se transcende et ne sert, qu’à embellir la face de la terre, guérir les malades, qu’importe leur nationalité. Le serment, on apprend de nouveaux trucs et l’auréole de la sainteté, ne tarde pas à venir.

Voila, la destinée de l’argent, de l’or et des pierres précieuses et non aiguiser l’envie et l’égoïsme. La paix mondiale, l’amour, un dynamisme de progrès, contre toutes formes d’isolationnisme social. Je t’estime bien, est le meilleur début, pour toutes les formes d’infrastructures, voir les développements des marchés et des dialogues. Les enjeux économiques, un esprit calme, il y va du tout au tout. Comment harmoniser, la justice et le développement. Les manières de faire, d’être, de penser, d’agir. La marche, les drapeaux, ne veulent rien dire, constate comme d’autres une mère, qui à perdu un fils, sur un quelconque champ de bataille, quelque part dans le monde. Aujourd’hui dit elle en plus, rien n’est glorieux, dans la guerre. On peut mieux faire, travailler en commun, ensemble, être juste “ Expo Fair ”, de connivence. Voila...voila on est d’accord sur ce sujet. Les conditions élémentaires d’existence sont les mêmes, se nourrir, se vêtir ou se dévêtir selon les cas...sucré ou poivré. Je suis mulâtre et me bute à la question - suis-je plus belle que les blondes ? ”. Séduction depuis sa tour personnelle, question d’exotisme.

Plagiat ou original.
Sans toi,
les leçons d’antan,
ne sont que des coquilles, vides.
Hyppolite.
Quel merveilleux monde, Amélie.

Le métissage, est une responsabilité il faut le gérer. Devenir des origines biologiques, origines mentales, changements des structures génétiques etc. Conscient, il n’y pas à avoir peur, il n’y a pas de danger. Bien au contraire, on a entendu le Bob Marley du peintre “ Emancipate yourself for mental slavery ”. “ La belle histoire de l’humanité, n’est pas falsifiable par les mensonges ethnographiques, les pharaons d’Egypte et les nubiens nègres d’Afrique, les reines noires de Meroé, merde... des lions ou bien des lionnes ? ô Point d’interrogation. Pourquoi comparer, pourquoi respirer toujours du nez, quand on voit quelque chose. Laisser les gens, vivrent ensemble. Les barrières, les murs, les frontières, les visas d'entrées, des démocrates collaborent avec des dictateurs au delà des frontières et appellent cela, des politiques de non ingérence. Allez, pour la libre circulation des capitaux et des marchandises et non des gens. Pourquoi, vouloir sous estimer le rôle du soleil, dans les topos énergétiques futures. Considère ses rayons comme des mains qui offrent la vie. Anch Key Hospitalité gaieté joyeux. Le cauchemar, ce qui se passe, montre des gens victimes des sols aurifères et des boues diamantineux sur lesquelles ils habitent. La raquette, achat à bas prix des ressources naturelles des uns, leur gaspillage et exploitation, pour le luxe des autres, tout cour, la cause de la pauvreté et le malheur, les lois du marché nègre.

Les chiens, les attaques c’est fréquent encore et empire plus tu vas vers l’est pour les noirs, les blancs. “ Il n’a pas oublié, comme la bête en voulait à ses couilles ”. Obama se dit ô Dieu, ce que c’est honteux, ce qui se passe dans ma famille, c’est sans dignité entre nous. Félicitations, monsieur Wade. Je vais mettre un peu d’ordre, Change, “ sopi len ”. Et si on vous dit, vous êtes juifs, vous êtes allemands vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, siii on peut. Et si on vous dit, vous êtes noirs, vous êtes blancs, vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, oui, oui, on peut. Et si on vous dit. vous êtes musulman, vous êtes chrétien, vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, bien sur on peut très bien. Bravo, vous comprenez une mondialisation très bien réussie, changer nos mentalités, nos organisations le plus pacifiquement que possible, sans prétention, sans vanité, ni arrogance.

Allez voir Barack, le titre, Baraka, “ Barké. ”. La bonté.

Il faut être raisonnable, la sagesse est nécessaire pour la paix. L’identité semble plus que tout, être un fantôme. L’esprit, est le créateur de l’identité, source aussi bien des sujets, que des objets. Ce que l’on sait au juste, de l’esprit, est sa subjectivité. “ Je suis ” “ Être ”. L’égoïsme, n’étant pas n’est pas exclu, il est important alors, de savoir, quel genre d’intérêts, sont poursuivis, dans la création des identités. C’est l’art. Internet... Bantu est le nom commun, collectif porté par un peu plus de 400 ethnies du sud et du centre de l’Afrique hop... hop. Aujourd’hui “ 2007 ” ils existent plus de 200Million de Bantus. Dans le langage des sud-africains blancs, ( où est ce que je suis blanche moi ? Cap ). Bantu est souvent utilisé, pour nommer tous les africains de peaux noires . “ Isshee.. ! Sede Yallah. Confiance en soi-même, ou conviction profonde. Bantu est la culture, ce n’est pas du folklore, pour touristes. Le tourisme est en sens unique, surveillé et limité ce n’est pas le symbole approprie, pour promouvoir l’entente entre les peuples voir, comment sortir de la crise sociopolitique.

Bantula c’est comme Bantu. L’union c’est l’unité, la réécriture de soi, la reconquête du pouvoir de s’auto-identifier. Des Bantus, comme les séréres, valafs diolas et autres, se nomment dans l’union. Bantula, est leur habitat, Bantula est la demeure des Bantus. Un Passeport Bantula, ainsi, voila, enfin, on amène une réponse à nos dispositions identitaires, et nous sommes aptes à mettre en valeur nos produits, aussi bien pour nous, que pour les autres. Construire la civilisation, démilitariser les comportements, c’est mieux que faire la guerre, mieux que la barbarie. On peut s’en rendre compte, la panique, au feu, au feu, la case de Birama brûle. Cela se voit, avec “ afrique ” c’était un malentendu “ Até niakal ” la faillite totale, on ne sait pas quoi faire au juste, mais une fois Bantula... hop là, la solution es là. Oui, oui, là tête va aussitôt beaucoup mieux, aérer c’est important, et cela passe pour tout le monde. La fin du drame, le début d’un beau conte et d’une belle poésie “ universel ” et qui le respire le premier, ira au paradis. ” Ici, la dignité… pureté. Chaque être humain, est un individu, il a sa dignité, le droit à une vie saine. Ils n’acceptent pas les violences, ils n’acceptent pas les brutalités, les répressions.

Lay : C’est si beau, quand on a une vision de Bantula.
Cap : Et surtout, si elle se comprend elle même.

Voir, El’hadj Sarr est heureux. “ Yan gi dis na, vaye atan nan ko ”. La charge est lourde, mais on peut la porter. Il faut voir Schritti, consommer après des millénaires. Interprétation, exégèse Cap. Cheick Anta et Senghor, l’un procède par l’énergie, l’autre dans le temps, toujours selon elle, Cap. Ce qui est bon dans les projets, c’est leur étoffe interactive. Ils communiquent, dans la mémoire du temps. Imagination, Impulse et Vision. Le concret. Confiance, sentiment de sa propre valeur, la situation est clarifiée et le problème est élucidé. Exécuter les idées, ce n’est pas exagérer. Il n’y a à cela, pas de raison d’être belliqueux. Nous voulons, l’avoir à nouveau, notre bâtiment “ Tour du monde ”. Pour célébrer... j’ai nommé, M’baye Diop, Djbril Diop Mambetty, Ibou Diouf, Modou Niang, Kébé, Seydou Barry, j’en viens à Joe Ouakam, Xulu, Muntaga, Babacar, la piste “ des blindés ” est longue. Rien que d’illustres, représentants de la dignité, de l’être humain, ce droit inaliénable.

Saluez une mémoire, inoubliable.

L’air frais que l’on respire, l’eau salée, l’océan Atlantique, à la plage veuillez ramener vos déchets. Travaux de recherche, pour le royaume de l’enfance. Etudes et documentation. Conservation, pour les rapports futurs. Un véritable ministère. Environnement et culture, peuvent si bien allez de pair, ivre de paix, amoureux. Nul n’a besoin, de la dignité des autres, la vertu est partout. “ Alle man, nous sommes les noirs, nous sommes les rouges et les jaunes, des gens dignes parce qu’ils s’aiment les uns et les autres, parce qu’ils sont unis. Ici, nous sommes. Identité, exprime encore une fois, égalité parfaite, ou entente complète, s’agissant de personnes ou de choses. ”

Vous voyez Gudrun Ciss, la mère de Malaika, elle est si remplie d’amour, qu’elle se pose la question, comment quittez un jour de si grands hospitaliers. Bamako. Au contraire, une perspective inverse. Bantus ne veut pas dire une ethnie quelconque, sinon tous unifiés.

“ Nieep ben lan ”. Amour collectif.

Ankh key, Bravo Thot pour le climat. La teranga, hospitalité, pardonner, partager, j’ouvre grand mon cœur et attend... L’affirmation d’une modernité, ne pose pas un problème, la science est universelle. Elle est si vaste, l’univers. L’ensemble, où tout est lié à tout, indissociable, tous unis. Rien ne manque, vous êtes tous les bienvenus.

être

Dans un futur où il fait bon vivre, car les prières s’exaucent. Le présent est calme et le passé, se repose... vraiment. C’est comme un peu l’initiation, le Bois sacré. Bantu, veut simplement dire, les hommes, les femmes comprises, unies. C’est aussi une prévention contre le chauvinisme politique et un remède contres les discriminations sociales. Sémantique, la signification, le sens des mots, il faut en avoir. Ainsi on a, pour parler Cheick Anta Diop “ ba ” les “ ntu ” hommes et femmes - Mensch, comme Nit en valaf ou Nke en Bambara. On n’a pas besoin d’autrui, pour nous dire qui nous sommes.

Bantu = Benit= Un “ vieux valaf ”

L’union, est la femme ou l’homme aboutit dans les autres, un bien aimé. Un Réalisateur les deux à la fois, soi même et l’autre, un dirigeant, un conscient, un éclairé “ illuminé, inspiré ” demandez Cheick Anta Diop “ Internet ” ou bien écoutez Samba Diarra “ Nous sommes des mallettes de paroles, si tu nous ouvres, nous nous transformons dans la langue du seigneur ”. Ce qui est destiné a la recherche, est scientifique. Il ne peut pas y avoir, d’animosité ou de concurrence. Les moyens, les forts, les biens forts et les moins forts, encore par ces utiles outils, on prend notre temps, puis on élabore les sujets, qui nous préoccupent. Irritable ? Non sans stress !

Exprimer le changement, le formuler, l’organiser. Et même des fois, le promouvoir, aller l’encourager, comme une fois l’ANC. Art contre Apartheid.

Oui..!
Les années de combat contre le racisme la xénophobie et autres, n’étaient pas destinées à la création d’un état indépendant sud-africain. Les Illusions, sont les états indépendants africains séparés. Au contraire comme le nom le dit : ( ANC ) African National Congress, le but du combat était de trouver une solution aux problèmes en général du continent.

Vive Bantula, vive l’union des Bantu.
La lutte continue
Cap et Lay.
Congre de réunification, où division eut lieu. Berlin.

Il ne fait pas bon vivre, au dépend des générations futures. Et lorsque les adultes, auront bien rempli leurs fonctions, les enfants peuvent se réjouir, d’un présent vierge, et bénéficient de forces nouvelles pour maîtriser leur propre destin.
Mérite.

Allée Djbril Diop Mambetty, à rêver.
Cassy : Beaucoup sont partis.
Lay : Où sont-ils partis.
Cassy : Ils sont morts.
Lay : Ils se réincarnent, dans les enfants.
Cassy : C’est exactement cela.

La défaite, la poussière, peuf, peuf, léger, c’est mobile ça. Rien que du sabotage en commun, le manque de confiance réciproque, qui est à surmonter. Vous savez, CFA et Afrique, les intérêts dépendent du jusqu’au-boutisme, “ du ba sa yah ba ”, le jusqu’à l’os, de la détermination politique, mais pour l’instant, le dialogue est au point mort. Kiik Ethnologie Rouch, le rêve est plus puisant que la mort, penser juste et réaliser le contraire, la vérité n’est pas à discréditer, par l’ésotérisme. C’est accepté, intégration des Griaules dans le Yassiguina. Ainsi nous retrouvons dans le Manga, le Bars ah, ou Jenseits, à l’au-delà une grande diversité. Il faut bien, expliquer les grandes fatigues, des cérémonies de deuil. C’est fini, Yassi geen.
La révélation, Bantula et vivent les afros, coupures franches et net. Un jour le terme Afrique est mort, alors enterrons le en Dogon, avec cérémonie dans les falaises. Bandiagarra Inchaalla.

Tu peux diviser, comme tu peux unir. Les esprits subtils, il fallait passer par l’abstraction, pour visualiser l’invisible ”. C’est difficile, de comprendre l’inconnu et l´étrange.
A “ diang ”, le savoir. Dix sur dix.

Champion, je suis invincible, je suis imbattable, souvent le cri de victoire, des enfants dans le jeu. Ce qui naît à besoin d’orientation, la jeunesse n’a pas d’argent. Dans quel esprit éduquer les enfants, plutôt dans l’amitié. Cosmos, voir avec la lumière. La clarté, est une cargaison de temps, entre dormir et se réveiller elle était, la lumière et elle ne connaît pas, de Pauvreté, alors en finir avec les dettes contraignantes, Bantula un continent non endetté, notre droit à un épanouissement libre, un présent propre, laver propre des incapacités des adultes, de régler leurs différents politiques, entre eux, des murs partout, et même dans les têtes.

Et pour le futur.

Ethique... le flou, qui a besoin de transparence et que l’on nomme obscurantisme est, qui est sujet et maître, et qui est objet ou subordonné. En vérité il n’y a ni sujet ni objet. Ni maître ni esclave. Ecoutez pareils, il y a identité, égalité.



Dès lors le Nègre n´éxiste plus, dès lors capable de ressaisir la continuité de son passé historique, de tirer de celui-ci le bénéfice moral nécessaire pour reconquérir sa place dans le monde moderne, sans verser dans le nazisme à rebours, le racisme tout cour.

Le Tournant, c´est la bonne démarche à suivre avec BANTULA.

Coupure franche et net. Le nom du continent des maintenant, est: BANTULA ( cela veut dire ) UNION. Afrique est un terme marchand colonial, un terme affreux. Comme nègre. Ce n´est pas un mot dans nos langues du valaf jusqu´au swahili en passant par le bambara, alors corriger. Ne l.utiliser plus. Cest le bon debut et grand tournant de l´histoire et de la renaissance, à la memoire d´Anta. Mais voila, l´islam ne peut pas être notre tradition ni notre culture. Asservi, colonialisme religieux, d´ou le rôle médiocre de la femme. Exploitation. Abdoulaye vient de la langue arabe et veut dire ( esclave de dieu. Sotisse. L´amour ne traite pas, n´échange pas en terme d´oppressioin, exploitation. J´ai changé mon nom. Appelez moi Amary ngone sobel soumaré.

date : introduction de l'Islam dans le royaume toucouleur de Tekrour. Vous pouvez dire ce que vous voullez, mais l ´islam n´est ni notre tradition ni notre culture.

Il néxiste plus d´afrique, il n´existe plus de noir, racial, jargon pornographique. Il néxistent plus les états esclavagistes crées par la conférence de Berlin ( 1885 ? ). Ce sont des créations illegitimes, qui condamnent des millions d´hommes, des femmes et des enfants dans l´incertitude, l´ignorance de valeurs réelles et humaine. Du Maroc, jusqu´au Sénégal en passant par les commores et pour finir en Sudafrique, aucun de ces soit-disants états n´ont étée fondés par ceux qui se laissent nommés africains. Même ce prérogatif africain n´est pas leur propre création. Alors il ne faut pas, en aucun cas en être fiers.

Nous sommes des BANTUS mes parents. Notre terre s´appelle aujourd´huit BANTULA. C´est notre continent, on peut en être heureux.

BANTU ( ba = les + ntu = humains )
BANTULA ( je suis humain )
Zobelart@web.de

6.Posté par lumière le 02/06/2010 20:57 | Alerter
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IL A RAISON nègre C`EST UNE INSULTE

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