Ne supportant plus de voir la sexagénaire, il a attendu que cette derniére vienne un jour rendre visite à sa femme à Thiaroye pour lui assener trois violents coup de poing. Des coups qui ont eu pour effet de fracturer le poignet de la dame, laquelle s’en est sortie avec une incapacité temporaire de 40 jours. A la barre, Oumar Mbaye a juré par tous les saints qu’il n’a pas touché un seul cheveu de la victime. «Je pèse 120 kilos, si je l’avais frappée, elle ne serait pas debout aujourd’hui», a-t-il clamé. Pourtant, il avait avoué aux enquêteurs qu’il avait juste bousculé la victime. Mais hier, il est revenu sur ses déclarations pour dire que c’est son beau-frère qui est intervenu pour le faire sortir de
la chambre. Il avait, en effet, prévenu son épouse qu’il ne voulait pas voir la dame dans la maison. Ce qui fait que quand la victime est arrivée devant le salon où il se trouvait, le prévenu a souligné que personne n’a voulu répondre à ses salutations. Et poussant sa témérité à l’extrême, la dame est, selon lui, directement entrée dans la chambre à coucher de sa femme paralysée pour s’enquérir de ses nouvelles. C’est à ce moment précis, dit-il, qu’il a fait irruption dans la chambre pour la chasser de la maison. La dame qui lui a opposé un refus catégorique, a ainsi récolté des coups de poings à la figure. D’ailleurs, c’est en voulant parer à l’un de ses coups qu’elle a trébuchée sur le perron avant de se fracturer le poignet. Expliquant avoir failli recevoir un tabouret que la victime lui a jeté, le prévenu a confié que la dame était tombé il y a de cela un an, durant le Magal à Touba. Des propos qui ont crée l’hilarité totale dans la salle d’audience. Le petit frère de la femme du prévenu appelé comme témoin, a confirmé les dires de son «goro», en déclarant que c’est lui même qui a conduit la victime à la porte, en la tenant par la main gauche. Un témoignage qui n’a pas aidé le prévenu Oumar Mbaye qui a été condamné à deux mois ferme et à payer à la victime la somme de 600 000 francs Cfa, pour toute causes et préjudices confondus.
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la chambre. Il avait, en effet, prévenu son épouse qu’il ne voulait pas voir la dame dans la maison. Ce qui fait que quand la victime est arrivée devant le salon où il se trouvait, le prévenu a souligné que personne n’a voulu répondre à ses salutations. Et poussant sa témérité à l’extrême, la dame est, selon lui, directement entrée dans la chambre à coucher de sa femme paralysée pour s’enquérir de ses nouvelles. C’est à ce moment précis, dit-il, qu’il a fait irruption dans la chambre pour la chasser de la maison. La dame qui lui a opposé un refus catégorique, a ainsi récolté des coups de poings à la figure. D’ailleurs, c’est en voulant parer à l’un de ses coups qu’elle a trébuchée sur le perron avant de se fracturer le poignet. Expliquant avoir failli recevoir un tabouret que la victime lui a jeté, le prévenu a confié que la dame était tombé il y a de cela un an, durant le Magal à Touba. Des propos qui ont crée l’hilarité totale dans la salle d’audience. Le petit frère de la femme du prévenu appelé comme témoin, a confirmé les dires de son «goro», en déclarant que c’est lui même qui a conduit la victime à la porte, en la tenant par la main gauche. Un témoignage qui n’a pas aidé le prévenu Oumar Mbaye qui a été condamné à deux mois ferme et à payer à la victime la somme de 600 000 francs Cfa, pour toute causes et préjudices confondus.
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