Natif de Banjul (Gambie), Laba Sosseh a fait ses premiers pas dans la musique en 1963. Il a été l’un des pionniers de la Salsa au Sénégal et a démarré sa carrière hors des frontières de ce pays par la Côte d’Ivoire. La consécration internationale viendra de ses rencontres avec les stars cubaines à New York, ville de naissance de la «salsa». Laba Sosseh y enregistre en 1980 pour Sacodis plusieurs disques, dont «Akoguin Theresa» avec l’Orchestra Aragon au grand complet et 4 volumes de «Salsa Africana» : «Monguito El Unico Presents Laba Sosseh in Usa» avec Monguito El Unico, Alfredito Valdes, Bomberito Zarzuela, Mario Rivera ou encore Pupi Legarretta.
Il a eu une carrière riche de 40 ans où le succès était au rendez-vous avec des titres tels «Guantanamera», «El Manisero», «La Sitiera» et «Que se funan». Mais il faut attendre la parution de «El Sonero de Africa», vol 2 avec «El Manisero» et surtout «Seyni kay fonema» pour le voir crever l’écran. Dexter Johnson & Laba Sosseh sortent ensuite un 45 Tours chanté en wolof et en anglais et comprenant une reprise du célèbre «Seyni kay fonema» ou «Come my love».
Par la suite, vient la période de la traversée du désert qui a duré plusieurs années, avant que le maestro ne refasse son come-back en 2001 avec la sortie chez Africa Production/Mélodie de la compilation «El Maestro» composée d’une douzaine de titres.
En outre, on se rappelle que Laba Sosseh s’est éteint dans de difficiles conditions de détresse, ravagé par la maladie. Il a fallu un Téléthon pour venir à son chevet et aider sa famille à faire face aux frais médicaux. Pour lui rendre hommage, un projet de mémorial Laba Sosseh sera organisé prochainement en vue de magnifier son immense participation à l’édifice musical sénégalais et africain.
O. S. D le populaire
Il a eu une carrière riche de 40 ans où le succès était au rendez-vous avec des titres tels «Guantanamera», «El Manisero», «La Sitiera» et «Que se funan». Mais il faut attendre la parution de «El Sonero de Africa», vol 2 avec «El Manisero» et surtout «Seyni kay fonema» pour le voir crever l’écran. Dexter Johnson & Laba Sosseh sortent ensuite un 45 Tours chanté en wolof et en anglais et comprenant une reprise du célèbre «Seyni kay fonema» ou «Come my love».
Par la suite, vient la période de la traversée du désert qui a duré plusieurs années, avant que le maestro ne refasse son come-back en 2001 avec la sortie chez Africa Production/Mélodie de la compilation «El Maestro» composée d’une douzaine de titres.
En outre, on se rappelle que Laba Sosseh s’est éteint dans de difficiles conditions de détresse, ravagé par la maladie. Il a fallu un Téléthon pour venir à son chevet et aider sa famille à faire face aux frais médicaux. Pour lui rendre hommage, un projet de mémorial Laba Sosseh sera organisé prochainement en vue de magnifier son immense participation à l’édifice musical sénégalais et africain.
O. S. D le populaire