Le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, Karim Wade, a écarté toute possibilité de dévolution monarchique du pouvoir au Sénégal, affirmant que : ‘’le pouvoir ne s’hérite pas, il se mérite’’. ‘’Il n’est pas dans l’intention du président de la République, Me Abdoulaye Wade, ni dans mon intention de procéder à une dévolution monarchique du pouvoir’’, a notamment dit le ministre d’Etat Karim Wade en réponse à une question d’un journaliste d’une chaîne de télévision américaine à la veille des festivités marquant la fête du 14 juillet à l’occasion de laquelle plusieurs délégations africaines sont présentes actuellement à Paris. ‘’C’est insulter les Sénégalais que de parler de projet de dévolution monarchique du pouvoir. Ceux qui évoquent cette tentative de dévolution monarchique du pouvoir et font des accusations ignorent tout de l’histoire du Sénégal’’, a martelé Karim Wade, affirmant : ‘’la faculté de désigner le successeur du président Wade, le moment venu, sera dévolue au peuple sénégalais’’.
Par conséquent, a-t-il ajouté, ‘’toute personne qui veut accéder à la magistrature suprême doit sillonner le pays pour présenter son projet et sa vision du Sénégal et les Sénégalais, en toute liberté et de manière transparente, décideront oui ou non de lui faire confiance’’. A la question de savoir s’il faisait partie de la nouvelle génération des combattants pour la démocratie, M. Wade a répondu que ‘’la démocratie est un combat de tous les jours’’. Pour lui, ‘’dans le domaine de la démocratie comme dans d’autres secteurs de la vie rien n’est acquis définitivement’’.
Parlant des acquis pour les Sénégalais, Karim Wade a indiqué que le président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, a conféré aux Sénégalais de nombreux droits, notamment aux femmes avec l’avènement de la parité’’. Ces avancées démocratiques ‘’font qu’aujourd’hui, les Sénégalais sont plus exigeants que par le passé’’, a expliqué le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, ajoutant : ‘’nous, de la nouvelle génération, devons être à la hauteur de ces exigences démocratiques’’. Interpellé enfin sur les nouveaux défis qui se posent à la démocratie au Sénégal, le ministre d’Etat Karim Wade a soutenu qu’’’au-delà des valeurs de liberté et d’égalité que nous devons consolider et développer, nous avons également l’obligation de satisfaire les doléances des citoyens dans les domaines économique et social’’. Pour lui, ‘’le principal défi est d’éradiquer la pauvreté par la création d’emplois’’.
APS
Par conséquent, a-t-il ajouté, ‘’toute personne qui veut accéder à la magistrature suprême doit sillonner le pays pour présenter son projet et sa vision du Sénégal et les Sénégalais, en toute liberté et de manière transparente, décideront oui ou non de lui faire confiance’’. A la question de savoir s’il faisait partie de la nouvelle génération des combattants pour la démocratie, M. Wade a répondu que ‘’la démocratie est un combat de tous les jours’’. Pour lui, ‘’dans le domaine de la démocratie comme dans d’autres secteurs de la vie rien n’est acquis définitivement’’.
Parlant des acquis pour les Sénégalais, Karim Wade a indiqué que le président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, a conféré aux Sénégalais de nombreux droits, notamment aux femmes avec l’avènement de la parité’’. Ces avancées démocratiques ‘’font qu’aujourd’hui, les Sénégalais sont plus exigeants que par le passé’’, a expliqué le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, ajoutant : ‘’nous, de la nouvelle génération, devons être à la hauteur de ces exigences démocratiques’’. Interpellé enfin sur les nouveaux défis qui se posent à la démocratie au Sénégal, le ministre d’Etat Karim Wade a soutenu qu’’’au-delà des valeurs de liberté et d’égalité que nous devons consolider et développer, nous avons également l’obligation de satisfaire les doléances des citoyens dans les domaines économique et social’’. Pour lui, ‘’le principal défi est d’éradiquer la pauvreté par la création d’emplois’’.
APS