(L’As du 9 septembre 2010). Tiens, tiens, tiens !!! Voila une affirmation intéressante qui pourrait mettre d’éventuels enquêteurs, sur une piste non moins intéressante. Maitre, quels sont ces lobbyistes qui prétendaient jouer un rôle ? Des sénégalais ou des soudanais ? Si l’avocat fait cette déclaration, c’est que donc il a été question quelque part, dans cette affaire, un problème de commission dont parle le journaliste d’investigation, qui apparemment n’est pas aidé par les enquêteurs officiels de la République. Par ailleurs, M. Thierno Ousmane Sy qui cherche à faire dans la transparence précise de façon saugrenue que : « Quand je déposais ma plainte mon père n’était pas ministre de la justice ». Tous les sénégalais savent que cet argumentaire de défense n’a pas de pertinence et ne pèse pas lourd. Car c’est justement cette antériorité de sa plainte qui devait l’éloigner du département de la justice, si tant est sa volonté de contribuer à la manifestation de la vérité et donner une crédibilité au traitement du dossier. En tout état de cause, le fait que son Papa qui avait demandé à être décharger des fonctions ministérielles pour des raisons de santé, soit de retour à ce département STRATEGIQUE de SOUVERAINETE, pose problème à tous les observateurs sérieux.
Nous pensons que si la volonté de M. SY était réellement de faire dans la transparence pour mettre à l’aise tout le monde, il aurait dû articuler devant le peuple sénégalais des propositions allant dans le sens de la constitution d’une commission nationale d’enquête crédible, après avoir exigé la démission de son Papa de ministre. Au lieu de cela M. Sy verse dans une condescendance qui cache mal sa mauvaise posture du moment : « Si Latif présente ses excuses, j’apprécierais la question avec mes conseils, ma famille».
Cela dit, Me Diouf s’est gravement focalisé sur les preuves que devrait à apporter l’accusation. Mais il est de notoriété publique qu’avec les « techniques » usitées dans le domaine du « blanchiment », des preuves ne sont pas exhibées au pied levé, sur la place publique.
Nous terminons pour faire part, non pas à l’avocat, mais au Secrétaire général du Parti des Travailleurs (une posture qui ambitionne, à priori, à s’occuper des destinées du Sénégal), notre étonnement par rapport à son positionnement à coté de ceux qui malmènent tous les jours, la démocratie, la justice, saccagent les ressources et le patrimoine de notre République. Toutes choses qui favorisent la précarité, le chômage des jeunes, la pauvreté, la misère et les maladies.
Les citoyens sénégalais auraient bien aimé entendre celui qui se prenait, semble t-il, naguère, pour LENINE, se prononcer sur le rapatriement des fonds taïwanais qui dorment quelque part dans un compte bancaire à Nicosie, sur ce douteux montage financier et les royalties indues à verser à Wade, concernant de cette fameuse statue de Ouakam. Ou bien sur la traduction devant la justice, de cet ancien Ministre (qui nargue les sénégalais tous les jours, avec ses sorties biscornues, intempestives), commanditaire de la casse des locaux des quotidiens L’As et 24 Heures chrono, pour ne citer que ces cas dont les preuves crèvent les yeux de tous les citoyens sénégalais. De toute évidence devant son silence les citoyens, eux, savent, entre le journaliste et le chef de Parti, celui qui s’est fourvoyé.
Dakar, le 11 septembre 2010
Ababacar Fall-Barros.
Nous pensons que si la volonté de M. SY était réellement de faire dans la transparence pour mettre à l’aise tout le monde, il aurait dû articuler devant le peuple sénégalais des propositions allant dans le sens de la constitution d’une commission nationale d’enquête crédible, après avoir exigé la démission de son Papa de ministre. Au lieu de cela M. Sy verse dans une condescendance qui cache mal sa mauvaise posture du moment : « Si Latif présente ses excuses, j’apprécierais la question avec mes conseils, ma famille».
Cela dit, Me Diouf s’est gravement focalisé sur les preuves que devrait à apporter l’accusation. Mais il est de notoriété publique qu’avec les « techniques » usitées dans le domaine du « blanchiment », des preuves ne sont pas exhibées au pied levé, sur la place publique.
Nous terminons pour faire part, non pas à l’avocat, mais au Secrétaire général du Parti des Travailleurs (une posture qui ambitionne, à priori, à s’occuper des destinées du Sénégal), notre étonnement par rapport à son positionnement à coté de ceux qui malmènent tous les jours, la démocratie, la justice, saccagent les ressources et le patrimoine de notre République. Toutes choses qui favorisent la précarité, le chômage des jeunes, la pauvreté, la misère et les maladies.
Les citoyens sénégalais auraient bien aimé entendre celui qui se prenait, semble t-il, naguère, pour LENINE, se prononcer sur le rapatriement des fonds taïwanais qui dorment quelque part dans un compte bancaire à Nicosie, sur ce douteux montage financier et les royalties indues à verser à Wade, concernant de cette fameuse statue de Ouakam. Ou bien sur la traduction devant la justice, de cet ancien Ministre (qui nargue les sénégalais tous les jours, avec ses sorties biscornues, intempestives), commanditaire de la casse des locaux des quotidiens L’As et 24 Heures chrono, pour ne citer que ces cas dont les preuves crèvent les yeux de tous les citoyens sénégalais. De toute évidence devant son silence les citoyens, eux, savent, entre le journaliste et le chef de Parti, celui qui s’est fourvoyé.
Dakar, le 11 septembre 2010
Ababacar Fall-Barros.