Le préfet du département de Saint-Louis, Abou Sow, a remis, jeudi, à leurs bénéficiaires, 70 logements définitifs du site de recasement des sinistrés de Diougop, dans le cadre du Projet de relèvement d’urgence et de résilience (SERRP, sigle en anglais), a constaté l’APS.
”Il s’agit d’une deuxième séance du genre, mais la différence est qu’ici, on le fait avec des déplacés involontaires”, a dit dans un entretien avec l’APS, l’expert en sauvegarde environnemental de l’Agence pour le développement municipal (ADM), Insa Fall.
Il signale que la première vague de bénéficiaires vivaient dans des logements provisoires.
Les personne affectées par le projet (PAP), ne reçoivent que des maisons en rez-de-chaussée, dont le nombre de pièces n’excède pas cinq, a précisé M. Fall.
Parmi les bénéficiaires, seuls quatre seront logés dans des maisons R + 1, a-t-il précisé, expliquant que ‘’la répartition se fait au gré des dommages et du nombre de pièces perdues’’.
Les personnes qui avaient cinq pièces, sont relogées dans des maisons en rez-de-chaussée, tandis que celles ayant perdu entre six et 10 pièces, ont reçu des R +1. Celles ayant eu des pertes supérieures, bénéficient d’un R +2.
Pour la cérémonie de ce jeudi, les bénéficiaires viennent majoritairement de Santhiaba et de Goxu-Mbaac, des quartiers de la ville de Saint-Louis, a indiqué l’expert environnemental de l’ADM.
Le projet SERRP prend en charge les frais d’abonnement pour l’eau, qui s’élèvent à plus de 100 000 francs Cfa, précise M. Fall. Par contre, ce sont bénéficiaires elles-mêmes, qui prennent en charge l’électricité pour un montant inférieur à 6 000 francs Cfa.
Le SERRP supportera par ailleurs les frais de déménagement en contractualisant avec un transporteur, pour l’acheminement des bagages des bénéficiaires.
D’une durée de cinq ans (2018-2025), le SERP, qui est financé par la Banque mondiale, a été initié pour reloger les populations de la Langue de Barbarie, victimes d’intempéries.
Aps
”Il s’agit d’une deuxième séance du genre, mais la différence est qu’ici, on le fait avec des déplacés involontaires”, a dit dans un entretien avec l’APS, l’expert en sauvegarde environnemental de l’Agence pour le développement municipal (ADM), Insa Fall.
Il signale que la première vague de bénéficiaires vivaient dans des logements provisoires.
Les personne affectées par le projet (PAP), ne reçoivent que des maisons en rez-de-chaussée, dont le nombre de pièces n’excède pas cinq, a précisé M. Fall.
Parmi les bénéficiaires, seuls quatre seront logés dans des maisons R + 1, a-t-il précisé, expliquant que ‘’la répartition se fait au gré des dommages et du nombre de pièces perdues’’.
Les personnes qui avaient cinq pièces, sont relogées dans des maisons en rez-de-chaussée, tandis que celles ayant perdu entre six et 10 pièces, ont reçu des R +1. Celles ayant eu des pertes supérieures, bénéficient d’un R +2.
Pour la cérémonie de ce jeudi, les bénéficiaires viennent majoritairement de Santhiaba et de Goxu-Mbaac, des quartiers de la ville de Saint-Louis, a indiqué l’expert environnemental de l’ADM.
Le projet SERRP prend en charge les frais d’abonnement pour l’eau, qui s’élèvent à plus de 100 000 francs Cfa, précise M. Fall. Par contre, ce sont bénéficiaires elles-mêmes, qui prennent en charge l’électricité pour un montant inférieur à 6 000 francs Cfa.
Le SERRP supportera par ailleurs les frais de déménagement en contractualisant avec un transporteur, pour l’acheminement des bagages des bénéficiaires.
D’une durée de cinq ans (2018-2025), le SERP, qui est financé par la Banque mondiale, a été initié pour reloger les populations de la Langue de Barbarie, victimes d’intempéries.
Aps