La maladie de l’insuffisance rénale fait des ravages dans la zone Nord du pays. Plusieurs personnes en meurent, faute d'assistance. Le président de l’Association des hémodialysés de Saint-Louis, Banda Sarr, s’alarme du taux des hémodialysés dans sa localité. Il regrette l’absence de soutien du maire de Saint-Louis. Idem, pour le Conseil départemental de Saint-Louis. Ils n’ont jamais assisté les malades de cette localité. Il a juste remercié le Directeur de l’hôpital de Saint-Louis, le major Diallo, pour son engagement à accompagner les malades dans le traitement et les séances de dialyse. Il indique que rien n’est gratuit. A part prendre le malade sur le lit de l’hôpital, rien d’autre n’est pris en charge.
« L’Etat n’a pas porté assistance aux malades d’insuffisance rénale. Plus de 100 malades sont sur la liste d’attente et les pris en charge sont au nombre de 32. On a introduit sans suite, une demande au Conseil départemental pour la prise en charge. Et, la qualité des soins est déplorable. Encore, le Centre est trop petit pour la prise en charge de beaucoup de malades. On a des problèmes de kits et de médicaments. Les malades souffrent énormément », se plaint-il.
Banda Sarr ne reconnaît pas l’existence d’une mafia au sein de l’hôpital de Saint-Louis. Mais, des difficultés, il en connaît. « Le taux est élevé. Il y a des malades à qui on accorde un certain nombre de séances. Après ces séances, les malades sont laissés à eux-mêmes. C’est extrêmement dur pour les malades de Saint-Louis. Au centre de dialyse, les lits ne sont plus adaptés à la réalité de la séance.
Plusieurs malades tombent après des séances de dialyse. Ils ont exposés à des problèmes de transport. La gratuité n’existe pas. C’est vraiment de la non assistance à personnes en danger. Nous payons les séances qui doivent être accompagnée de beaucoup d’autres choses. L’Etat doit mettre la main à la pâte », a plaidé Banda Sarr.
Ainsi, le président de l’Association des hémodialysés de Saint-Louis invite à développer un système, afin de mettre les malades souffrant et mourant comme des mouches, dans de très bonnes conditions. « Les malades déboursent très cher et fort. Les médicaments sont généralement dans les officines et il faut débourser fort. Nous demandons aux nouvelles autorités à revoir tout ce qui gravite autour de l’hémodialyse. Nous demandons à toute la populations saint-louisienne, d’accompagner les malades », conclut-il.
« L’Etat n’a pas porté assistance aux malades d’insuffisance rénale. Plus de 100 malades sont sur la liste d’attente et les pris en charge sont au nombre de 32. On a introduit sans suite, une demande au Conseil départemental pour la prise en charge. Et, la qualité des soins est déplorable. Encore, le Centre est trop petit pour la prise en charge de beaucoup de malades. On a des problèmes de kits et de médicaments. Les malades souffrent énormément », se plaint-il.
Banda Sarr ne reconnaît pas l’existence d’une mafia au sein de l’hôpital de Saint-Louis. Mais, des difficultés, il en connaît. « Le taux est élevé. Il y a des malades à qui on accorde un certain nombre de séances. Après ces séances, les malades sont laissés à eux-mêmes. C’est extrêmement dur pour les malades de Saint-Louis. Au centre de dialyse, les lits ne sont plus adaptés à la réalité de la séance.
Plusieurs malades tombent après des séances de dialyse. Ils ont exposés à des problèmes de transport. La gratuité n’existe pas. C’est vraiment de la non assistance à personnes en danger. Nous payons les séances qui doivent être accompagnée de beaucoup d’autres choses. L’Etat doit mettre la main à la pâte », a plaidé Banda Sarr.
Ainsi, le président de l’Association des hémodialysés de Saint-Louis invite à développer un système, afin de mettre les malades souffrant et mourant comme des mouches, dans de très bonnes conditions. « Les malades déboursent très cher et fort. Les médicaments sont généralement dans les officines et il faut débourser fort. Nous demandons aux nouvelles autorités à revoir tout ce qui gravite autour de l’hémodialyse. Nous demandons à toute la populations saint-louisienne, d’accompagner les malades », conclut-il.