Dr Gueï a visité des champs du Centre du Riz pour l’Afrique (Africa Rice) à Saint-Louis où plusieurs variétés de riz homologuées sont développées.
« Nous sommes venus ici pour voir avec les institutions partenaires comme l’ISRA et Africa Rice qui est une institution de recherche internationale, ce qu’elles offrent au Sénégal et offrent également à tous les autres pays de la sous-région en matière de résultats de science, de technologie et d’innovation pour le développement de la riziculture.
Dans notre sous-région en général et au Sénégal en particulier, le riz occupe une place très importante dans l’alimentation de la population. Il faut dans la nouvelle politique du gouvernement assurer la souveraineté alimentaire, augmenter la production locale et tout ce qui est consommé ici au Sénégal.
Dans cette politique, nous avons besoin en tant que FAO d’aider le gouvernement à atteindre cet objectif. Donc dans la collaboration entre la FAO et la recherche », at-il rappelé tout en précisant que la recherche trouve des technologies mais la FAO et d’autres partenaires sont chargés d’aider à diffuser et à aider les paysans à produire .Cela se fera avec les acteurs et des technologies et innovations afin d’augmenter la production locale », a-t-il recommandé.
« C’est pourquoi nous sommes venus rencontrer Africa Rice et les autres partenaires pour voir ce qui existe. Nous avons été satisfaits de ce qu’Africa Rice propose aujourd’hui. Il y a 21 gammes de variétés qui ont été homologuées, c’est-à-dire qui ont été acceptées par le gouvernement sénégalais pour la diffusion sur le territoire du Sénégal mais nous avons été agréablement surpris de voir que plusieurs nouvelles variétés y compris les variétés hybrides sont en création et donc ça veut dire que cette institution va mettre sur le marché et de façon continue de nouvelles variétés, et de meilleures technologies pourla riziculture », a rassuré M. Gueï avant d’annoncer qu’il ira rencontrer le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage pour lui faire le compte rendu de ce qu’ils ont décidé.
« Nous allons essayer d’appuyer le gouvernement d’abord pour faire des études au niveau du développement de la chaine de valeur rizicole du Sénégal. Il y a déjà beaucoup d’information qui sont disponibles, donc il faut essayer de synthétiser cela avec les directions appropriées au niveau du Ministère pour voir exactement où nous sommes aujourd’hui, qu’est ce qu’ily a lieu de faire, quelles sont les insuffisances et quelles sont les initiatives qui sont en cours, et comment est-ce que nous allons nous attaquer à ces insuffisances très rapidement avec le Ministère pour voir comment est-ce que le gouvernement du Sénégal peut très rapidement augmenter la production du riz et ça c’est une des solutions à la cherté de la vie et c’est d’actualité », a-t-il déclaré
Mais à la question à savoir quel regard porte-t-il sur la politique agricole du Sénégal ? Il a tout simplement répondu en disant que le Sénégal est l’un des rares pays africains où ily a une stratégie de politique agricole qui est développée.
. « Aujourd’hui, quand nous parlons d’agriculture, ce n’est pas seulement la production végétale mais nous parlons également de la production animale, la santé animale, nous parlons également de la pêche, de l’aquaculture, des problèmes liés à l’environnement, aux changements climatiques et donc c’est tout ça qui est l’agriculture », a-t-il expliqué tout en rappelant que « le Sénégal s’est vraiment doté de plusieurs stratégies notamment celle de la souveraineté alimentaire qui est une très bonne stratégie. »
Selon toujours le représentant de la FAO, le Sénégal peut augmenter la production nationale au besoin du blé. Mais, a-t-il ajouté, « ce qui est plus important pour nous ce n’est pas le blé en tant que blé, il faut que le Sénégal puisse aussi faire la promotion des autres céréales. Nous avons le maïs, le mil, le sorgho etc et ces céréales peuvent être mélangés au blé et au riz pour nourrir les Sénégalais. La souveraineté alimentaire, c’est ça, il faut que l’Etat et les acteurs essaient de voir comment avec la production nationale de blé, introduire les autres céréales pour diminuer l’argent qu’on dépense à l’importation »
« Nous sommes venus ici pour voir avec les institutions partenaires comme l’ISRA et Africa Rice qui est une institution de recherche internationale, ce qu’elles offrent au Sénégal et offrent également à tous les autres pays de la sous-région en matière de résultats de science, de technologie et d’innovation pour le développement de la riziculture.
Dans notre sous-région en général et au Sénégal en particulier, le riz occupe une place très importante dans l’alimentation de la population. Il faut dans la nouvelle politique du gouvernement assurer la souveraineté alimentaire, augmenter la production locale et tout ce qui est consommé ici au Sénégal.
Dans cette politique, nous avons besoin en tant que FAO d’aider le gouvernement à atteindre cet objectif. Donc dans la collaboration entre la FAO et la recherche », at-il rappelé tout en précisant que la recherche trouve des technologies mais la FAO et d’autres partenaires sont chargés d’aider à diffuser et à aider les paysans à produire .Cela se fera avec les acteurs et des technologies et innovations afin d’augmenter la production locale », a-t-il recommandé.
« C’est pourquoi nous sommes venus rencontrer Africa Rice et les autres partenaires pour voir ce qui existe. Nous avons été satisfaits de ce qu’Africa Rice propose aujourd’hui. Il y a 21 gammes de variétés qui ont été homologuées, c’est-à-dire qui ont été acceptées par le gouvernement sénégalais pour la diffusion sur le territoire du Sénégal mais nous avons été agréablement surpris de voir que plusieurs nouvelles variétés y compris les variétés hybrides sont en création et donc ça veut dire que cette institution va mettre sur le marché et de façon continue de nouvelles variétés, et de meilleures technologies pourla riziculture », a rassuré M. Gueï avant d’annoncer qu’il ira rencontrer le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage pour lui faire le compte rendu de ce qu’ils ont décidé.
« Nous allons essayer d’appuyer le gouvernement d’abord pour faire des études au niveau du développement de la chaine de valeur rizicole du Sénégal. Il y a déjà beaucoup d’information qui sont disponibles, donc il faut essayer de synthétiser cela avec les directions appropriées au niveau du Ministère pour voir exactement où nous sommes aujourd’hui, qu’est ce qu’ily a lieu de faire, quelles sont les insuffisances et quelles sont les initiatives qui sont en cours, et comment est-ce que nous allons nous attaquer à ces insuffisances très rapidement avec le Ministère pour voir comment est-ce que le gouvernement du Sénégal peut très rapidement augmenter la production du riz et ça c’est une des solutions à la cherté de la vie et c’est d’actualité », a-t-il déclaré
Mais à la question à savoir quel regard porte-t-il sur la politique agricole du Sénégal ? Il a tout simplement répondu en disant que le Sénégal est l’un des rares pays africains où ily a une stratégie de politique agricole qui est développée.
. « Aujourd’hui, quand nous parlons d’agriculture, ce n’est pas seulement la production végétale mais nous parlons également de la production animale, la santé animale, nous parlons également de la pêche, de l’aquaculture, des problèmes liés à l’environnement, aux changements climatiques et donc c’est tout ça qui est l’agriculture », a-t-il expliqué tout en rappelant que « le Sénégal s’est vraiment doté de plusieurs stratégies notamment celle de la souveraineté alimentaire qui est une très bonne stratégie. »
Selon toujours le représentant de la FAO, le Sénégal peut augmenter la production nationale au besoin du blé. Mais, a-t-il ajouté, « ce qui est plus important pour nous ce n’est pas le blé en tant que blé, il faut que le Sénégal puisse aussi faire la promotion des autres céréales. Nous avons le maïs, le mil, le sorgho etc et ces céréales peuvent être mélangés au blé et au riz pour nourrir les Sénégalais. La souveraineté alimentaire, c’est ça, il faut que l’Etat et les acteurs essaient de voir comment avec la production nationale de blé, introduire les autres céréales pour diminuer l’argent qu’on dépense à l’importation »