’’Ils seront jugés dans quinze jours’’, a révélé leur avocat Me Moustapha Mbaye qui a dénoncé ’’une tentative de neutraliser l’opposition, après en avoir fait de même pour Barthélémy Dias’’.
’’Vous constatez que les libéraux se promènent avec des armes mais le procureur a préféré voir ailleurs’’, a ajouté Me Mbaye qui a ajouté que ’’la loi prescrit que pour le flagrant délit, le procès se tient à la première audience contrairement au cas présent’’.
Seck et ses camarades ont été conduits à la Maison d’arrêt et de correction, après leur inculpation.
Le jeune leader socialiste était à Saint-Louis, lundi, dans le cadre d’une caravane de sensibilisation sur le retrait de la candidature d’Abdoulaye Wade.
Malick Noël Seck a bénéficié le 11 janvier d’une grâce présidentielle.
Placé sous mandat de dépôt le 12 octobre dernier pour menaces de mort et outrage à magistrat, Malick Noël Seck a été condamné en première instance à deux ans de prison ferme.
Transféré à Tambacounda (est), Seck a été reconduit à Dakar dans le cadre de son jugement en appel.
Le 2 janvier, la Cour d’appel de Dakar a prononcé contre lui une peine de deux an de prison dont 4 mois ferme. Les juges ont confirmé le délit d’outrage à magistrat mais infirmé celui de menaces de mort.
Seck avait été arrêté après avoir adressé, le 10 octobre dernier, une lettre intitulée ‘’Doléances du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel’’.
AMD/AD/OID
’’Vous constatez que les libéraux se promènent avec des armes mais le procureur a préféré voir ailleurs’’, a ajouté Me Mbaye qui a ajouté que ’’la loi prescrit que pour le flagrant délit, le procès se tient à la première audience contrairement au cas présent’’.
Seck et ses camarades ont été conduits à la Maison d’arrêt et de correction, après leur inculpation.
Le jeune leader socialiste était à Saint-Louis, lundi, dans le cadre d’une caravane de sensibilisation sur le retrait de la candidature d’Abdoulaye Wade.
Malick Noël Seck a bénéficié le 11 janvier d’une grâce présidentielle.
Placé sous mandat de dépôt le 12 octobre dernier pour menaces de mort et outrage à magistrat, Malick Noël Seck a été condamné en première instance à deux ans de prison ferme.
Transféré à Tambacounda (est), Seck a été reconduit à Dakar dans le cadre de son jugement en appel.
Le 2 janvier, la Cour d’appel de Dakar a prononcé contre lui une peine de deux an de prison dont 4 mois ferme. Les juges ont confirmé le délit d’outrage à magistrat mais infirmé celui de menaces de mort.
Seck avait été arrêté après avoir adressé, le 10 octobre dernier, une lettre intitulée ‘’Doléances du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel’’.
AMD/AD/OID