‘’Depuis le mois de janvier, nous n’avons pas fait de cours. La seule composition que certaines écoles ont faite est incomplète. Nous ne pouvons pas dans cette situation prétendre à être accepté dans les universités’’, Abdourahmane Ndiaye, le délégué général.
Pointant du doigt l’Etat qui refuse de prendre ce problème entre les mains, les élèves dénoncent par ailleurs l’égoïsme des professeurs qui, profitent de cette léthargie pour donner des cours dans les écoles privées.
‘’Nous n’acceptons pas de faire deux sessions et de prolonger l’année académique jusqu’en octobre. Déjà, à ce mois certaines régions du pays seront en pleine période d’hivernage et que les universités internationales vont fermer les inscriptions’’, a ajouté le délégué.
Pour eux, les dès sont jetés et aucune tentative n’est possible pour revenir à la normale. ’’Il ya 16 mille bacheliers non orientés cette année, même si nous obtenons le bac, notre situation sera pire’’.
Cheikh Saad Bou SEYE
Pointant du doigt l’Etat qui refuse de prendre ce problème entre les mains, les élèves dénoncent par ailleurs l’égoïsme des professeurs qui, profitent de cette léthargie pour donner des cours dans les écoles privées.
‘’Nous n’acceptons pas de faire deux sessions et de prolonger l’année académique jusqu’en octobre. Déjà, à ce mois certaines régions du pays seront en pleine période d’hivernage et que les universités internationales vont fermer les inscriptions’’, a ajouté le délégué.
Pour eux, les dès sont jetés et aucune tentative n’est possible pour revenir à la normale. ’’Il ya 16 mille bacheliers non orientés cette année, même si nous obtenons le bac, notre situation sera pire’’.
Cheikh Saad Bou SEYE