C’est le cas de Djibril Fall qui tient une boutique au marché Sandaga. D’après lui, « Ce sont des futilités ». Il est de ceux qui pensent que l’amour se célèbre au quotidien et que l’on n’a pas besoin d’un jour particulier pour montrer à son partenaire qu’on l’aime ou pour lui offrir des cadeaux.
Karamba Sané, vendeuse de fruits n’en dit pas moins. Elle estime que ceux qui se soucient de Saint-valentin « ont du temps à perdre ». D’ailleurs, elle en avait oublié la date.
Un homme répondant au nom de Fallou Gallas, voisin d’étal de Karamba Sané sur l’avenue Lamine Guèye, s’immisce dans la discussion. Lui avance qu’ « on n’est pas des chrétiens mais des musulmans. Cette fête n’est pas pour nous ». Aussi a-t-il lancé : « Sénégalais da fa mënë roy Daxx »
Karamba Sané, vendeuse de fruits n’en dit pas moins. Elle estime que ceux qui se soucient de Saint-valentin « ont du temps à perdre ». D’ailleurs, elle en avait oublié la date.
Un homme répondant au nom de Fallou Gallas, voisin d’étal de Karamba Sané sur l’avenue Lamine Guèye, s’immisce dans la discussion. Lui avance qu’ « on n’est pas des chrétiens mais des musulmans. Cette fête n’est pas pour nous ». Aussi a-t-il lancé : « Sénégalais da fa mënë roy Daxx »