‘’Aucun diplôme de spécialiste du son n’est délivré en Afrique pour la simple raison qu’aucune école ne dispense de formation en son dans le continent’’, a relevé Saintrick dans un entretien avec l’APS, en marge d’un atelier de formation en son.
‘’On compte seulement des écoles de formation en audiovisuel, avec des unités de formation en son. Mais, une école de formation spécialisée dans le son, il n’en existe pas en Afrique’’, a constaté l’artiste-musicien. Il déclare sillonner le continent pour dispenser des cours de son.
En raison de cette situation, ‘’il est abusif de se donner le titre d’ingénieur du son’’ quand on est formé en Afrique, a-t-il ajouté, préférant parler d’‘’opérateur du son’’ pour ceux qui n’ont pas étudié cette discipline ailleurs que dans le continent.
Saintrick dit avoir écrit un livre intitulé ‘’Comprendre et pratiquer la sonorisation de qualité’’. Cet ouvrage, qu’il dit avoir produit de concert avec des spécialistes belges, peut servir de ‘’bréviaire à la formation en son en Afrique’’, a-t-il fait valoir.
‘’Le son occupe une place importante dans la vie. […] Imaginez une journée sans son’’, a-t-il commenté, réitérant que la demande ‘’existe bel et bien’’ vu ‘’le grand nombre de festivals de musique qui émergent partout dans le continent’’ africain.
‘’Ce métier (le son) a aussi besoin d’une bonne base éthique, car il a pour public des personnes dont le jugement est subjectif. Il faut un minimum de consensus sur la qualité du son’’ destiné au public, a-t-il expliqué.
SOURCE:Aps
AMD/ESF
‘’On compte seulement des écoles de formation en audiovisuel, avec des unités de formation en son. Mais, une école de formation spécialisée dans le son, il n’en existe pas en Afrique’’, a constaté l’artiste-musicien. Il déclare sillonner le continent pour dispenser des cours de son.
En raison de cette situation, ‘’il est abusif de se donner le titre d’ingénieur du son’’ quand on est formé en Afrique, a-t-il ajouté, préférant parler d’‘’opérateur du son’’ pour ceux qui n’ont pas étudié cette discipline ailleurs que dans le continent.
Saintrick dit avoir écrit un livre intitulé ‘’Comprendre et pratiquer la sonorisation de qualité’’. Cet ouvrage, qu’il dit avoir produit de concert avec des spécialistes belges, peut servir de ‘’bréviaire à la formation en son en Afrique’’, a-t-il fait valoir.
‘’Le son occupe une place importante dans la vie. […] Imaginez une journée sans son’’, a-t-il commenté, réitérant que la demande ‘’existe bel et bien’’ vu ‘’le grand nombre de festivals de musique qui émergent partout dans le continent’’ africain.
‘’Ce métier (le son) a aussi besoin d’une bonne base éthique, car il a pour public des personnes dont le jugement est subjectif. Il faut un minimum de consensus sur la qualité du son’’ destiné au public, a-t-il expliqué.
SOURCE:Aps
AMD/ESF