« Pays pauvre très endetté classé à la 166e place sur 182 pays en terme de développement humain, le Sénégal compte la minorité de directeurs généraux qui touchent de très gros salaires ainsi que des primes de départ faramineuses », dit le quotidien qui fait le « focus » sur le « paradoxe bien sénégalais ».
Selon ce titre, l’ancien directeur général de la Caisse de sécurité sociale (CSS), M. Yéri Diop, aurait reçu à son départ de la structure la semaine dernier une prime de 120 millions du Conseil d’administration.
Ce parachute doré n’est pas seulement l’apanage de la CSS. « Au Sénégal, plusieurs dirigeants de structures publiques en cas de départ peuvent bénéficier de ces largesses en cas de départ », indique le journal, le lequel toujours, à ces avantages « s’ajoutent des salaires faramineux permettant aux directeurs généraux d’être à l’abri de tous les besoins ».
« A la tête du conseil sénégalais des chargeurs (COSEC), Amadou Kane Diallo touche chaque mois 8 708 333 de francs CFA », poursuit Kotch, précisant que ce montant « inclut d’autres avantages comme la dotation mensuelle de 2000 litres de carburant, une indemnité mensuelle de logement établi à 2 millions de francs, un forfait de participation aux frais d’eau, d’électricité et de téléphone de 2 millions ».
Citant le rapport N°41/2008 de l’inspection générale d’Etat, Kotch de dire qu’en cas de départ du fait de l’Etat ou à l’initiative du Conseil d’administration, il sera attribué à Amadou Kane Diallo un bonus équivalent à 25% du montant des émoluments perçus au cours de la période de référence ».
A l’ARTP, le directeur général perçoit 8 300 000 de francs CFA en plus de « 14 véhicules de fonctions mis à sa disposition ». Toujours à l’ARTP, le secrétaire général touche 6 00 000 et les 10 directeurs 3 200 000 F CFA chacun.
Le journal d’indiquer que l’ancien directeur général de la Société africaine de raffinage (SAR), Jean Michel Seck, l’ancien président du Conseil d’administration Kamara Touré, le directeur des ressources humaines et l’ancien directeur financier « se sont partagés une prime d’assurance de plus d’un milliard de francs CFA ».
BAK/ASI24.info
Selon ce titre, l’ancien directeur général de la Caisse de sécurité sociale (CSS), M. Yéri Diop, aurait reçu à son départ de la structure la semaine dernier une prime de 120 millions du Conseil d’administration.
Ce parachute doré n’est pas seulement l’apanage de la CSS. « Au Sénégal, plusieurs dirigeants de structures publiques en cas de départ peuvent bénéficier de ces largesses en cas de départ », indique le journal, le lequel toujours, à ces avantages « s’ajoutent des salaires faramineux permettant aux directeurs généraux d’être à l’abri de tous les besoins ».
« A la tête du conseil sénégalais des chargeurs (COSEC), Amadou Kane Diallo touche chaque mois 8 708 333 de francs CFA », poursuit Kotch, précisant que ce montant « inclut d’autres avantages comme la dotation mensuelle de 2000 litres de carburant, une indemnité mensuelle de logement établi à 2 millions de francs, un forfait de participation aux frais d’eau, d’électricité et de téléphone de 2 millions ».
Citant le rapport N°41/2008 de l’inspection générale d’Etat, Kotch de dire qu’en cas de départ du fait de l’Etat ou à l’initiative du Conseil d’administration, il sera attribué à Amadou Kane Diallo un bonus équivalent à 25% du montant des émoluments perçus au cours de la période de référence ».
A l’ARTP, le directeur général perçoit 8 300 000 de francs CFA en plus de « 14 véhicules de fonctions mis à sa disposition ». Toujours à l’ARTP, le secrétaire général touche 6 00 000 et les 10 directeurs 3 200 000 F CFA chacun.
Le journal d’indiquer que l’ancien directeur général de la Société africaine de raffinage (SAR), Jean Michel Seck, l’ancien président du Conseil d’administration Kamara Touré, le directeur des ressources humaines et l’ancien directeur financier « se sont partagés une prime d’assurance de plus d’un milliard de francs CFA ».
BAK/ASI24.info