Autre tentative d'immolation enregistrée cette semaine après celui de Malick Ndao. Cette fois c'est un enseignant, Saliou guèye qui a voulu se mettre le feu pour dénoncer le blocage de sa prise en charge sociale.
Saliou Guèye a voulu se donner la mort devant les locaux du ministère de l'action sociale vendredi dernier pour dénoncer la lenteur de sa prise en charge. Depuis 2009, le premier ministre a instruit sur ordre du président de la république, le ministre de l'action sociale, de prendre en charge cet ancien surveillant au Lycéé Malick Sy de Thiès. Mr Guèye avait contracté un prêt de 3 millions auprès d'une banque. Son salaire mensuel ne dépassant pas de trop les 200 000 francs, et ayant du retards sur le paiement du prêt, il se retrouvait avec 40 000 francs à la fin du mois. C'est ainsi qu'il saisit le gouvernement pour une prise en charge sociale. Mais au lieu de cela, il avait été interné dans un hôpital psychiatrique durant 45 jours. Les policiers qui l'ont empêché de commettre un tel acte, ont pu le faire revenir à de meilleurs sentiments.
Saliou Guèye a voulu se donner la mort devant les locaux du ministère de l'action sociale vendredi dernier pour dénoncer la lenteur de sa prise en charge. Depuis 2009, le premier ministre a instruit sur ordre du président de la république, le ministre de l'action sociale, de prendre en charge cet ancien surveillant au Lycéé Malick Sy de Thiès. Mr Guèye avait contracté un prêt de 3 millions auprès d'une banque. Son salaire mensuel ne dépassant pas de trop les 200 000 francs, et ayant du retards sur le paiement du prêt, il se retrouvait avec 40 000 francs à la fin du mois. C'est ainsi qu'il saisit le gouvernement pour une prise en charge sociale. Mais au lieu de cela, il avait été interné dans un hôpital psychiatrique durant 45 jours. Les policiers qui l'ont empêché de commettre un tel acte, ont pu le faire revenir à de meilleurs sentiments.
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