M. Ndiaye est entré à l’UCAD en 1988 par un poste d’assistant, après avoir enseigné l’histoire et la géographie au cours Sainte-Marie de Hann, puis au lycée Van Vollenhoven (devenu Lamine Guèye), à Dakar, pendant une dizaine d’années.
‘’Guerre et religion à Rome à l’époque républicaine. Etude sur les rites observés en période de guerre" a été le sujet de la thèse de doctorat d’Etat (Mention Très honorable) de ce spécialiste de l’histoire ancienne.
Avant cette thèse soutenue en 1993 à l’Université de Nancy 2, le nouveau recteur de l’UCAD a obtenu un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en administration des entreprises de la même université.
L’ancien doyen de la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH), de juin 2006 à sa nomination à la tête de l’université, en conseil des ministres jeudi, a fait ses études primaires et secondaires à Saint-Louis (nord), où il a fréquenté aussi l’école coranique.
Il a, depuis 19991, gravi les échelons à la FLSH, devenant maître-assistant, chargé d’enseignement, maître de conférences et professeur titulaire. Il a assumé les fonctions de chef du département d’histoire de cette faculté de juin 1998 à janvier 2001.
Saliou Ndiaye a aussi occupé d’importantes fonctions académiques à l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) de l’UCAD dont il est membre du comité scientifique, tout comme du Centre d’analyse des rhétoriques religieuses de l’antiquité (CARRA) de l’Université Marc Bloch (France).
L’ancien rédacteur en chef de la Revue du Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur (CAMES), membre aussi de l’assemblée de l’UCAD et ancien assesseur de la FLSH, a contribué à la réforme de l’université Cheikh Anta Diop.
Saliou Ndiaye a soutenu une thèse de doctorat de 3ème cycle de l’université de Nancy sur ‘’Les lois de la guerre à Rome. De la première guerre punique à la conquête de la Gaule’’.
Il a écrit de nombreux articles dont "Biographie des grands hommes de la décolonisation", publiée par les Dossiers documentaires pédagogiques de l’ex-Ecole normale supérieure (ENS), en 1984.
Saliou Ndiaye est membre du comité de rédaction du premier numéro de la Revue sénégalaise d’histoire, en 1995.
ESF/BK
‘’Guerre et religion à Rome à l’époque républicaine. Etude sur les rites observés en période de guerre" a été le sujet de la thèse de doctorat d’Etat (Mention Très honorable) de ce spécialiste de l’histoire ancienne.
Avant cette thèse soutenue en 1993 à l’Université de Nancy 2, le nouveau recteur de l’UCAD a obtenu un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en administration des entreprises de la même université.
L’ancien doyen de la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH), de juin 2006 à sa nomination à la tête de l’université, en conseil des ministres jeudi, a fait ses études primaires et secondaires à Saint-Louis (nord), où il a fréquenté aussi l’école coranique.
Il a, depuis 19991, gravi les échelons à la FLSH, devenant maître-assistant, chargé d’enseignement, maître de conférences et professeur titulaire. Il a assumé les fonctions de chef du département d’histoire de cette faculté de juin 1998 à janvier 2001.
Saliou Ndiaye a aussi occupé d’importantes fonctions académiques à l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) de l’UCAD dont il est membre du comité scientifique, tout comme du Centre d’analyse des rhétoriques religieuses de l’antiquité (CARRA) de l’Université Marc Bloch (France).
L’ancien rédacteur en chef de la Revue du Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur (CAMES), membre aussi de l’assemblée de l’UCAD et ancien assesseur de la FLSH, a contribué à la réforme de l’université Cheikh Anta Diop.
Saliou Ndiaye a soutenu une thèse de doctorat de 3ème cycle de l’université de Nancy sur ‘’Les lois de la guerre à Rome. De la première guerre punique à la conquête de la Gaule’’.
Il a écrit de nombreux articles dont "Biographie des grands hommes de la décolonisation", publiée par les Dossiers documentaires pédagogiques de l’ex-Ecole normale supérieure (ENS), en 1984.
Saliou Ndiaye est membre du comité de rédaction du premier numéro de la Revue sénégalaise d’histoire, en 1995.
ESF/BK