Un homme, un trentenaire, s’est donné la mort par pendaison tôt dans la matinée. Pourtant, ce jour-là, il a effectué sa prière de l’aube à la mosquée. C’est à son retour, au petit matin, qu’apparemment A. S. a eu l’idée de mettre fin à ses jours.
Une grosse surprise pour certains. Mais, il semblerait que l’homme souffrait de problèmes de couple qui l’auraient affecté. Précisément, d’après plusieurs sources, ce suicide serait lié à une brouille qui l’opposait à sa femme. Les témoignages des voisins convergent vers l’infidélité.
En effet, l’épouse tromperait son mari avec un autre homme. Et ceci était d’autant plus connu de tous que la femme n’avait eu cesse de confier publiquement, qu’elle n’aimait pas son époux.
Et, soutient-on, le défunt aurait eu vent de ces paroles mais a tenté de supporter jusqu’au jour où, dit-on, il n’en pouvait plus de vivre dans cet enfer. Selon les mêmes témoignages, il s’agit d’un mariage forcé et la femme a toujours signifié à ses parents qu’elle n’aimait pas A. S., qu’ils lui ont imposée.
Mais la goutte d’eau qui a fait déborder le vase est que le défunt a perdu récemment son père qui lui était d’un grand secours. Ce dernier a toujours su le calmer. Hélas, A. S. n’a pu s’adapter à cette absence qui, pour beaucoup, a pesé dans cette décision fatale.
Les voisins ont été presque unanimes sur les qualités du défunt. «A. S. était un homme pieux, il ne ratait presque pas les prières de l’aube. Il était calme et n’avait de problème avec personne. Mais il avait des problèmes de couple. Il était aussi affecté par la mort de son père», témoigne un de ses voisins.
Bes Bi
Une grosse surprise pour certains. Mais, il semblerait que l’homme souffrait de problèmes de couple qui l’auraient affecté. Précisément, d’après plusieurs sources, ce suicide serait lié à une brouille qui l’opposait à sa femme. Les témoignages des voisins convergent vers l’infidélité.
En effet, l’épouse tromperait son mari avec un autre homme. Et ceci était d’autant plus connu de tous que la femme n’avait eu cesse de confier publiquement, qu’elle n’aimait pas son époux.
Et, soutient-on, le défunt aurait eu vent de ces paroles mais a tenté de supporter jusqu’au jour où, dit-on, il n’en pouvait plus de vivre dans cet enfer. Selon les mêmes témoignages, il s’agit d’un mariage forcé et la femme a toujours signifié à ses parents qu’elle n’aimait pas A. S., qu’ils lui ont imposée.
Mais la goutte d’eau qui a fait déborder le vase est que le défunt a perdu récemment son père qui lui était d’un grand secours. Ce dernier a toujours su le calmer. Hélas, A. S. n’a pu s’adapter à cette absence qui, pour beaucoup, a pesé dans cette décision fatale.
Les voisins ont été presque unanimes sur les qualités du défunt. «A. S. était un homme pieux, il ne ratait presque pas les prières de l’aube. Il était calme et n’avait de problème avec personne. Mais il avait des problèmes de couple. Il était aussi affecté par la mort de son père», témoigne un de ses voisins.
Bes Bi