Montré du doigt pour son comportement jugé inadmissible face aux médias, Samir Nasri risque de voir sa carrière internationale en prendre un coup. Hier, L’Équipe annonçait en effet que le joueur de Manchester City pourrait être privé d’équipe de France pendant deux ans, ce qui le priverait du Mondial 2014 si la France se qualifie. Aujourd’hui, le quotidien sportif en remettait une couche en précisant que Laurent Blanc (s’il est maintenu) aurait d’ores et déjà choisi de se passer de lui, et ce, alors qu’aucune sanction n’a encore été formulée.
Muet depuis les incidents survenus en Ukraine, Samir Nasri a pris un peu tout le monde de court en sortant assez vite du silence en lâchant quelques phrases sur son compte Twitter. « Trop de contre-vérités circulent en ce moment. Que les supporters et tout particulièrement les enfants sachent que je regrette sincèrement que mes paroles aient pu les choquer. J’aime l’EDF (équipe de France), le football et j’ai un profond respect pour le public. Pour le reste, il s’agit d’une affaire personnelle entre quelques journalistes et moi. Je m’en expliquerai quand le moment sera venu. »
S’il regrette ses actes et rappelle son amour pour les Bleus, Nasri a au moins le mérite d’avoir présenté ses premières excuses, même si elles sont encore insuffisantes pour espérer une certaine clémence de la FFF. Néanmoins, on attend désormais avec impatience sa prochaine déclaration sur ses échanges musclés avec les journalistes ou sur la sanction qui l’attend.
Matthieu Margueritte
Muet depuis les incidents survenus en Ukraine, Samir Nasri a pris un peu tout le monde de court en sortant assez vite du silence en lâchant quelques phrases sur son compte Twitter. « Trop de contre-vérités circulent en ce moment. Que les supporters et tout particulièrement les enfants sachent que je regrette sincèrement que mes paroles aient pu les choquer. J’aime l’EDF (équipe de France), le football et j’ai un profond respect pour le public. Pour le reste, il s’agit d’une affaire personnelle entre quelques journalistes et moi. Je m’en expliquerai quand le moment sera venu. »
S’il regrette ses actes et rappelle son amour pour les Bleus, Nasri a au moins le mérite d’avoir présenté ses premières excuses, même si elles sont encore insuffisantes pour espérer une certaine clémence de la FFF. Néanmoins, on attend désormais avec impatience sa prochaine déclaration sur ses échanges musclés avec les journalistes ou sur la sanction qui l’attend.
Matthieu Margueritte