Ce financement vise à appuyer les efforts du gouvernement Sénégalais dans le cadre de sa politique de santé pour le couple mère enfant. A travers ce don le Japon continue dans sa logique de participation à la réduction de a fracture sociale en termes d’accès aux soins au Sénégal entamé depuis plusieurs décennies. «Depuis 2001, le Japon et l’ENDSS ont réalisé ensemble plusieurs projets de coopérations dont le premier a porté sur le renforcement de la formation des enseignants des cours d’infirmeries et de sages-femmes dans le cadre de la coopération technique. Le nouveau centre d’application sera composé d’une maternité avec salles d’accouchement, d’un département pour les consultations médicales avec des sales de soins et un laboratoire. D’un département de formation avec salles de travaux. Des équipements médicaux nécessaires tels l’échographie», a fait savoir son excellence. Il insiste sur le fait que les élèves infirmiers n’avaient pas la possibilité de mettre en pratique leurs enseignements théoriques abordés en cours durant tout le processus d’enseignement. Ce à quoi va remédier la construction ce centre.
Pour sa part, le ministre de l’économie des finances et du plan à indiquer que cet appui du Japon vient soutenir l’engagement du Sénégal dans sa volonté de diminuer autant que possible la mortalité maternelle et celle infanto-juvénile encore trop forte dans nos pays. «Le taux de mortalité maternelle est de 392 pour 100 000 naissances vivantes et celui de la mortalité infanto juvénile évaluée à 72décés pour 1000 naissances vivantes sont trop élevés. Le nouveau centre aura la capacité de pratiquer plus de 900 accouchements par an, ce qui participera à désengorger les autres hôpitaux de Dakar», a déclaré Amadou Bâ. Il n’a pas omis de souligner que depuis l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall d’importants efforts financiers ont été fait pour améliorer les offres de santé aux sénégalais mais aussi, améliorer la qualité des infrastructures. Ainsi, de 17 milliards en 2011, le budget de la santé a été porté à 33 milliards en 2014. Il a spécifié que le gouvernement a inscrit 46 milliards de francs CFA dans le Plan triennal d’investissement public en vue de réduire la mortalité infantile et 88 milliards pour améliorer la santé maternelle.
Dans son allocution, le représentant résident de la JICA Kyuichi Kato a insisté sur la pratique de soins humanisés sur les personnes qui viendront dans ce centre avec des accouchements à style libre développés par le projet et enseigné aux futurs étudiants.
Pour sa part, le ministre de l’économie des finances et du plan à indiquer que cet appui du Japon vient soutenir l’engagement du Sénégal dans sa volonté de diminuer autant que possible la mortalité maternelle et celle infanto-juvénile encore trop forte dans nos pays. «Le taux de mortalité maternelle est de 392 pour 100 000 naissances vivantes et celui de la mortalité infanto juvénile évaluée à 72décés pour 1000 naissances vivantes sont trop élevés. Le nouveau centre aura la capacité de pratiquer plus de 900 accouchements par an, ce qui participera à désengorger les autres hôpitaux de Dakar», a déclaré Amadou Bâ. Il n’a pas omis de souligner que depuis l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall d’importants efforts financiers ont été fait pour améliorer les offres de santé aux sénégalais mais aussi, améliorer la qualité des infrastructures. Ainsi, de 17 milliards en 2011, le budget de la santé a été porté à 33 milliards en 2014. Il a spécifié que le gouvernement a inscrit 46 milliards de francs CFA dans le Plan triennal d’investissement public en vue de réduire la mortalité infantile et 88 milliards pour améliorer la santé maternelle.
Dans son allocution, le représentant résident de la JICA Kyuichi Kato a insisté sur la pratique de soins humanisés sur les personnes qui viendront dans ce centre avec des accouchements à style libre développés par le projet et enseigné aux futurs étudiants.