En ce mois béni, la pratique du sport s’accentue. Ce, à travers les discours sur la bienfaisance du sport lors du jeûne, qui justifient en partie cette augmentation. Le jogging et le football deviennent l’activité principale de bon nombre de sportifs pour différentes raisons: les uns pratiquent le sport pour passer le temps, les autres le font pour perdre du poids en cas de surpoids, d’autres encore pour se détendre ou se sentir bien, etc…
En effet, la course à pied ou le jogging exigent de l’endurance qui puise dans vos réserves. Ils sont donc réservés aux sportifs habitués à ce type d’efforts. Et qui peuvent s’entraîner lors de cette phase de jeûne.
C’est ce qui fait dire à coach Moussa Diop, préparateur physique et moniteur Fitness, que les sportifs de haut niveau doivent seulement viser le maintien de la forme, en changeant de programme.
«Si un compétiteur s’entraîne durant le Ramadan, il est obligé de le faire durant la journée. Dans ce cas, il s’agira juste d’un rapprochement avant l’heure de la rupture du jeûne. Mais avec des efforts moins intenses. Il faudra faire plus de cardio-musculaire que cardio-vasculaire. Il faudra travailler sur la musculation. Il faut surtout diminuer les activités intenses», a-t-il expliqué.
Par contre, estime ce dernier, les dangers en sont que le corps humain, durant le Ramadan, est faible musculairement. « Si le sportif a beaucoup mangé avant le sport, il peut y avoir des vomissements. Au cas contraire, avec des efforts intenses, le sportif peut avoir un arrêt cardiaque », prévient Moussa Diop.
Et le préparateur physique et moniteur Fitness, de recommander: « Ce qu’il faut faire, est de manger peu et faire peu d’exercices. Les risques sont nombreux, car les sportifs ne mangent pas et ne boivent pas dans la journée », a-t-il dit.
Ainsi, lors de ce mois sacré, le musulman change complètement son mode de vie et son mode alimentaire. Il se couche tardivement, ne dort parfois pas suffisamment et se nourrit uniquement la nuit.
Tribune
En effet, la course à pied ou le jogging exigent de l’endurance qui puise dans vos réserves. Ils sont donc réservés aux sportifs habitués à ce type d’efforts. Et qui peuvent s’entraîner lors de cette phase de jeûne.
C’est ce qui fait dire à coach Moussa Diop, préparateur physique et moniteur Fitness, que les sportifs de haut niveau doivent seulement viser le maintien de la forme, en changeant de programme.
«Si un compétiteur s’entraîne durant le Ramadan, il est obligé de le faire durant la journée. Dans ce cas, il s’agira juste d’un rapprochement avant l’heure de la rupture du jeûne. Mais avec des efforts moins intenses. Il faudra faire plus de cardio-musculaire que cardio-vasculaire. Il faudra travailler sur la musculation. Il faut surtout diminuer les activités intenses», a-t-il expliqué.
Par contre, estime ce dernier, les dangers en sont que le corps humain, durant le Ramadan, est faible musculairement. « Si le sportif a beaucoup mangé avant le sport, il peut y avoir des vomissements. Au cas contraire, avec des efforts intenses, le sportif peut avoir un arrêt cardiaque », prévient Moussa Diop.
Et le préparateur physique et moniteur Fitness, de recommander: « Ce qu’il faut faire, est de manger peu et faire peu d’exercices. Les risques sont nombreux, car les sportifs ne mangent pas et ne boivent pas dans la journée », a-t-il dit.
Ainsi, lors de ce mois sacré, le musulman change complètement son mode de vie et son mode alimentaire. Il se couche tardivement, ne dort parfois pas suffisamment et se nourrit uniquement la nuit.
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