Les enseignants ont envahi, hier, les rue de Diourbel, pour leur 7e plan d’actions pour contraindre le gouvernement à respecter les accords signés en février 2014. Au sujet de l’appel à la reprise des cours lancé par le gouvernement avant-hier, sur fond de menaces, le secrétaire général du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire(Saems), a prévenu qu’ils ne cèderont pas face à la menace du gouvernement.
« Nous avons toujours été ouverts au dialogue. Mais depuis que nous avons quitté le palais présidentiel, j’ai l’impression que le gouvernement ne veut pas nous rencontrer. Raison pour laquelle nous sommes sur le terrain de la revendication et des marches. Si le gouvernement avait pris sa responsabilité pour nous convoquer, peut-être qu’on n'en serait pas là. Mais ils opté pour les menaces. Et, je le dis à qui veut l’entendre, ce ne sont pas ces menaces qui feront reculer les enseignants », dit Saourou Sène.
Vox Populi
« Nous avons toujours été ouverts au dialogue. Mais depuis que nous avons quitté le palais présidentiel, j’ai l’impression que le gouvernement ne veut pas nous rencontrer. Raison pour laquelle nous sommes sur le terrain de la revendication et des marches. Si le gouvernement avait pris sa responsabilité pour nous convoquer, peut-être qu’on n'en serait pas là. Mais ils opté pour les menaces. Et, je le dis à qui veut l’entendre, ce ne sont pas ces menaces qui feront reculer les enseignants », dit Saourou Sène.
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