«Le président n’accorde aucune importance à ce type de rumeurs. On ne sait pas d’où cela sort», confie un conseiller de l’ancien président de la République Française, dans l’hebdomadaire "le Point", infirmant ainsi l’information du quotidien marocain. «C’est seulement à la rentrée que Nicolas (Sarkozy) se penchera sur les différentes sollicitations qui affluent sur son bureau», indique le conseiller de l’ancien chef de l’Etat, qui précise que le successeur de Jacques Chirac et prédécesseur de François Hollande «considérera, en priorité, les propositions de conférences internationales qui seront rétribuées». C’est d’ailleurs à cet effet que Nicolas Sarkozy a rouvert son cabinet parisien.
Ira-t-il monnayer son savoir auprès du souverain chérifien ? «Pour l’heure, répond encore le conseiller de l’ancien Président, il se repose au Cap Nègre, après quelques jours passés en famille près d’Avignon, chez son ami Jean-Michel Goudard et deux séjours au Canada et au Maroc». Au Maroc, justement, où il manqué de peu l’ancien chef de l’Etat sénégalais, Abdoulaye Wade, qui vient de séjourner pendant plus d’un mois à Tanger. Simple coïncidence ou nouvelle démarche du roi Mohamed VI en faisant appel à l’expertise d’anciens chefs d’Etat ?
A demeurant, on notera que le Maroc, qui n’est pas membre de l’Union africaine (UA), depuis qu’il a boudé l’Organisation de l’Unité africaine (OUA), parce que la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le front Polisario, y a été admise. Et comme le Maroc est à cheval sur les deux continents (Afrique et Europe), un rôle de plaque-tournante placerait le royaume de Mohamed VI au centre des relations eurafricaines, avec surtout des collaborateurs ou conseillers comme Abdoulaye Wade et Nicolas Sarkozy.
Parlant de ce dernier, «pendant que ses anciens collaborateurs l’abreuvent de notes, il entretient d’excellentes relations avec ses anciens homologues, tels Macky Sall (Sénégal), Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Jean Charest (Québec)», lit-on encore dans "le Point". On rappelle d’ailleurs que le chef de l’Etat sénégalais, une fois élu, a réservé sa première visite d’Etat à une France en pleine campagne électorale. A l’occasion, "Sarko", dont les lendemains à la tête de l’Etat français étaient des moins rassurantes, avait signé avec Macky Sall d’importants accords de défense.
Au lendemain de sa défaite, rappelle l’hebdomadaire français, «Angela Merkel (chancelière de l’Allemagne) lui avait fait parvenir une longue lettre de soutien.»
Source: Le Point
Ira-t-il monnayer son savoir auprès du souverain chérifien ? «Pour l’heure, répond encore le conseiller de l’ancien Président, il se repose au Cap Nègre, après quelques jours passés en famille près d’Avignon, chez son ami Jean-Michel Goudard et deux séjours au Canada et au Maroc». Au Maroc, justement, où il manqué de peu l’ancien chef de l’Etat sénégalais, Abdoulaye Wade, qui vient de séjourner pendant plus d’un mois à Tanger. Simple coïncidence ou nouvelle démarche du roi Mohamed VI en faisant appel à l’expertise d’anciens chefs d’Etat ?
A demeurant, on notera que le Maroc, qui n’est pas membre de l’Union africaine (UA), depuis qu’il a boudé l’Organisation de l’Unité africaine (OUA), parce que la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le front Polisario, y a été admise. Et comme le Maroc est à cheval sur les deux continents (Afrique et Europe), un rôle de plaque-tournante placerait le royaume de Mohamed VI au centre des relations eurafricaines, avec surtout des collaborateurs ou conseillers comme Abdoulaye Wade et Nicolas Sarkozy.
Parlant de ce dernier, «pendant que ses anciens collaborateurs l’abreuvent de notes, il entretient d’excellentes relations avec ses anciens homologues, tels Macky Sall (Sénégal), Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Jean Charest (Québec)», lit-on encore dans "le Point". On rappelle d’ailleurs que le chef de l’Etat sénégalais, une fois élu, a réservé sa première visite d’Etat à une France en pleine campagne électorale. A l’occasion, "Sarko", dont les lendemains à la tête de l’Etat français étaient des moins rassurantes, avait signé avec Macky Sall d’importants accords de défense.
Au lendemain de sa défaite, rappelle l’hebdomadaire français, «Angela Merkel (chancelière de l’Allemagne) lui avait fait parvenir une longue lettre de soutien.»
Source: Le Point