Parmi elles, figure la révision de la Convention de la mécanique générale qui régit les travailleurs des chantiers de réparation navale.
«Nous réclamons l’application de la convention de réparation navale. La convention de la mécanique générale est obsolète. Elle date de 1958», tonne Pascal Gomis. À en croire le secrétaire général réélu du Satnav, la facturation au niveau de la réparation des bateaux est internationale.
«Ce que le bateau en réparation paie en Turquie, c’est ce qu’il paie au Sénégal. Pourquoi doit-on nous payer sur la base de la convention de la mécanique générale ?», s’interroge M. Gomis. Selon le secrétaire général du Satnav, ils sont frappés par la précarité et réclament réparation.
«Nous sommes obligés de travailler des heures supplémentaires à n’en plus finir, car nos salaires sont très maigres. C’est pourquoi, nous exigeons sans délai la révision de la convention de la mécanique générale. Elle date de 1958. C’est notre cheval de bataille», martèle Pascal Gomis.
Le thème de ce 4e congrés a été axé sur : «Quel avenir pour les travailleurs des chantiers de réparation navales, au Sénégal ». Ils interpellent les autorités compétentes sur le renforcement de la formation des travailleurs, eu égard à l’évolution de la technologie. «Certes nous nous débrouillons pour s’en sortir, mais si nous avons une formation adéquate, c’est sûr que nous allons faire mieux. Nous comptons sur le soutien de l’État, car les défis de demain sont nombreux», clame Pascal Gomis.
Tribune
«Nous réclamons l’application de la convention de réparation navale. La convention de la mécanique générale est obsolète. Elle date de 1958», tonne Pascal Gomis. À en croire le secrétaire général réélu du Satnav, la facturation au niveau de la réparation des bateaux est internationale.
«Ce que le bateau en réparation paie en Turquie, c’est ce qu’il paie au Sénégal. Pourquoi doit-on nous payer sur la base de la convention de la mécanique générale ?», s’interroge M. Gomis. Selon le secrétaire général du Satnav, ils sont frappés par la précarité et réclament réparation.
«Nous sommes obligés de travailler des heures supplémentaires à n’en plus finir, car nos salaires sont très maigres. C’est pourquoi, nous exigeons sans délai la révision de la convention de la mécanique générale. Elle date de 1958. C’est notre cheval de bataille», martèle Pascal Gomis.
Le thème de ce 4e congrés a été axé sur : «Quel avenir pour les travailleurs des chantiers de réparation navales, au Sénégal ». Ils interpellent les autorités compétentes sur le renforcement de la formation des travailleurs, eu égard à l’évolution de la technologie. «Certes nous nous débrouillons pour s’en sortir, mais si nous avons une formation adéquate, c’est sûr que nous allons faire mieux. Nous comptons sur le soutien de l’État, car les défis de demain sont nombreux», clame Pascal Gomis.
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