Depuis jeudi, 1.015 personnes sont arrivées à bord de 37 embarcations sur les îles de Lanzarote, Fuerteventura, Grande Canarie et Tenerife, ces deux dernières étant les plus éloignées (250 à 300 km) des côtes africaines.
De source internet, un porte-parole de la Croix-Rouge a indiqué que les migrants étaient originaires du Maghreb ou d’Afrique sub-saharienne et qu’ils se trouvaient en bonne santé, malgré « quelques » hypothermies « sans gravité ». Des tests de détection de coronavirus ont été pratiqués sur tous les migrants, a ajouté le porte-parole.
Selon le porte-parole, cette cadence d’arrivées est « plus ou moins » la même que celle de 2006, année où 30.000 migrants étaient arrivés aux Canaries. Depuis plusieurs mois, les migrants africains ont repris la route des Canaries de préférence à la Méditerranée en raison d’accords de contrôles frontaliers conclus avec la Libye, la Turquie et le Maroc.
Du 1er janvier au 30 septembre, 6.081 migrants sont ainsi arrivés dans ces îles espagnoles, soit six fois plus que pour la même période de 2019, selon le ministère espagnol de l’Intérieur.
De source internet, un porte-parole de la Croix-Rouge a indiqué que les migrants étaient originaires du Maghreb ou d’Afrique sub-saharienne et qu’ils se trouvaient en bonne santé, malgré « quelques » hypothermies « sans gravité ». Des tests de détection de coronavirus ont été pratiqués sur tous les migrants, a ajouté le porte-parole.
Selon le porte-parole, cette cadence d’arrivées est « plus ou moins » la même que celle de 2006, année où 30.000 migrants étaient arrivés aux Canaries. Depuis plusieurs mois, les migrants africains ont repris la route des Canaries de préférence à la Méditerranée en raison d’accords de contrôles frontaliers conclus avec la Libye, la Turquie et le Maroc.
Du 1er janvier au 30 septembre, 6.081 migrants sont ainsi arrivés dans ces îles espagnoles, soit six fois plus que pour la même période de 2019, selon le ministère espagnol de l’Intérieur.