« Je viens d’effectuer avec mes plus proches collaborateurs, le tour de certains lieux de vote. On a commencé d’abord par Keur Massar où on a visité quelques bureaux de vote. Lors de cette visite, nous avons constaté d’abord un engouement populaire. Nous avons noté que les Sénégalais vaquaient à leurs préoccupations citoyennes qui consistaient à entrer dans un bureau de vote, choisir des bulletins et choisir des coalitions. Et ils l’ont fait dans des conditions qui nous paraissaient paisibles », a-t-il notamment indiqué à la presse.
M. Ndir ajoute dans "Le Soleil": « Nous avions pensé qu’il s’agit là d’un exemple qui se perpétuera tout au long de la journée. Le premier signe perceptible, c’est que les Sénégalais votent paisiblement. C’est ce que nous avons constaté à Keur Massar. Nous avons poursuivi notre pérégrination qui nous a conduit à Rufisque, où l’on a constaté la même ambiance. Tout se passe dans le calme et dans la sérénité ».
Pour les incidents notés, il soutient que s’ils sont informés d’une telle situation, il n’est pas tard d’alerter le ministère de l’Intérieur, la Direction générale des élections, pour que des bulletins de vote manquants puissent être mis là où il y a eu des responsables politiques qui ont estimé qu’ils avaient le droit de conquérir des suffrages et une fois qu’ils sont investis et qu’ils sont sur la liste, il faut nécessairement qu’on leur mette des bulletins de vote.
« Je peux vous affirmer que le principe, c’est quand il y a des bureaux de vote qui, à l’heure de la fermeture, enregistrent encore des électeurs qui sont dans les rangs et munis de leurs cartes et qui sont inscrits sur les listes, on leur donne l’occasion en prolongeant l’heure de la fermeture », a rassuré le président de la Cena.
A l’en croire, à 10 heures, on était entre 13 et 14%. « Mais il y a eu un regroupement de personnes constaté. Rufisque est une particularité comme Thiès est une particularité, parce qu’il y a trois votes qui se font. Mais nous avons pu trouver une solution avec l’autorité pour aménager le mode de vote pour que ça aille plus vite », dit-il, rappelant qu’en cette demi-journée, nous avons des statistiques qui indiquent que le taux de participation est à peu près de 90%, qui est le taux de bureau de vote et de centre de vote qui ont commencé à l’heure.
« Pour la participation des citoyens au vote, nous avons axé notre attention sur les villes où on craignait un embouteillage du fait qu’il y avait trois modes de scrutin. C’est là que nous nous sommes rendus à Rufisque », a expliqué Doudou Ndir.
M. Ndir ajoute dans "Le Soleil": « Nous avions pensé qu’il s’agit là d’un exemple qui se perpétuera tout au long de la journée. Le premier signe perceptible, c’est que les Sénégalais votent paisiblement. C’est ce que nous avons constaté à Keur Massar. Nous avons poursuivi notre pérégrination qui nous a conduit à Rufisque, où l’on a constaté la même ambiance. Tout se passe dans le calme et dans la sérénité ».
Pour les incidents notés, il soutient que s’ils sont informés d’une telle situation, il n’est pas tard d’alerter le ministère de l’Intérieur, la Direction générale des élections, pour que des bulletins de vote manquants puissent être mis là où il y a eu des responsables politiques qui ont estimé qu’ils avaient le droit de conquérir des suffrages et une fois qu’ils sont investis et qu’ils sont sur la liste, il faut nécessairement qu’on leur mette des bulletins de vote.
« Je peux vous affirmer que le principe, c’est quand il y a des bureaux de vote qui, à l’heure de la fermeture, enregistrent encore des électeurs qui sont dans les rangs et munis de leurs cartes et qui sont inscrits sur les listes, on leur donne l’occasion en prolongeant l’heure de la fermeture », a rassuré le président de la Cena.
A l’en croire, à 10 heures, on était entre 13 et 14%. « Mais il y a eu un regroupement de personnes constaté. Rufisque est une particularité comme Thiès est une particularité, parce qu’il y a trois votes qui se font. Mais nous avons pu trouver une solution avec l’autorité pour aménager le mode de vote pour que ça aille plus vite », dit-il, rappelant qu’en cette demi-journée, nous avons des statistiques qui indiquent que le taux de participation est à peu près de 90%, qui est le taux de bureau de vote et de centre de vote qui ont commencé à l’heure.
« Pour la participation des citoyens au vote, nous avons axé notre attention sur les villes où on craignait un embouteillage du fait qu’il y avait trois modes de scrutin. C’est là que nous nous sommes rendus à Rufisque », a expliqué Doudou Ndir.