Gaston Mbengue a décidé récemment, « après une première année d’expérience », de mettre un terme au partenariat, après avoir « attendu le moment opportun pour leur signifier la rupture », également prononcée par son avocat Me Alassane Cissé.
« Sur les montants des sponsors qu’ils mettaient directement dans leur compte, ils prélevaient 35 %, et me reversaient les 65%. Mais le contrat stipule aussi qu’ils doivent apporter leur portefeuille. Ce qu’ils n’ont pas fait. Au total, les 35% représentent 156 millions francs CFA gagnés par eux, l’année dernière, sur mon portefeuille, soit 156 millions, sans rien faire, sur un portefeuille de 600 millions que je mettais en place avec le concours des banques », explique-t-il.
Il poursuit : « Le seul sponsor qu’ils ont apporté est Nasuba qui appartient d’ailleurs à Christian Lagnidé, le propriétaire de la chaîne de télévision LC2. Ils l’ont fait diffuser, ils ont fait le marketing, ils ont assuré la promotion pendant quatre mois, jusqu’en mai 2009, et sont venus me voir pour me dire que Christian ne voulait plus poursuivre l’aventure. Sans jamais m’avoir envoyé le pré contrat de 150 millions pour Nasuba, d’ailleurs. Un jour, ils se lèvent et me disent que Nasuba ne vient plus. iIs l’ont retiré après l’avoir bien exploité dans mes organisations de lutte », explique dépité Gaston Mbengue, ajoutant : « A ma grande surprise, quand j’ai vu Lagnidé à Paris, il m’a dit qu’il n’était pas au courant de cette décision ».
« Au vu de tout cela », le promoteur affirme avoir fait remarquer à ses partenaires, qu’ils avaient signé un contrat, « pour cinq ans avec une clause d’un an renouvelable ».
« Je leur ai dit, ‘soit on se partage les frais, parce que c’est moi qui payais les lutteurs, et après le bénéfice, soit on laisse tomber, parce que je ne peux plus contracter des dettes pendant que vous n’installez que les barrières et, ne portez que vos costumes et gagner, finalement trop, c’est trop facile. Nous ne sommes plus dans les années 1960 mais dans les années 2000. Nous ne sommes plus colonisés’ ».
Pour la suite, notamment la dénonciation de ses partenaires pour rupture abusive du contrat, le promoteur affirme ne pas « être inquiet ». « Je ne redoute pas leur foudre, Ce sont des gens qui ne représentent rien en Europe et je l’ai su très tard. De plus, il y a un contrat de cinq renouvelable tous les ans. Même mes sponsors me disent que j’ai été exploité, sans parler de mon avocat et mon personnel. Heureusement que durant toute la discussion avec eux, j’étais avec mon avocat Me Alassane Cissé qui était sur place aussi, pendant 15 jours en Europe, parce que je ne les connaissais pas ».
Faisant l’économie de la genèse du partenariat, Gaston Mbengue indique que « c’est Christian Lagnidé de LC2 que j’ai connu à Dakar, qui m’a appelé, je précise que je ne le connaissais pas encore, et qui m’a dit : ‘Gaston, félicitation, je suis la lutte et je voudrais qu’on l’exploite ensemble’. Il m’a dit qu’il allait me faire gagner beaucoup de milliards et j’ai commencé à rêver ».
« Il m’a invité, on a fait un pré contrat, on a été à Paris pendant 15 jours avec mon avocat, en réunion, Il m’a mis en rapport avec Sport Vision que je ne connaissais pas également. Après deux jours de boulot avec eux, j’ai commencé à avoir des soucis. Ils avaient dit qu’ils pouvaient mettre à ma disposition, sous forme de crédit, 200 millions de francs pour démarrer, ce que j’ai accepté parce que j’étais dans le besoin ».
Selon Gaston Mbengue, le contrat stipule outre la répartition des parts à hauteur de 35% pour son partenaire et 65 pour lui-même, la mise en place d’un portefeuille du partenaire.
« Sur les montants des sponsors qu’ils mettaient directement dans leur compte, ils prélevaient 35 %, et me reversaient les 65%. Mais le contrat stipule aussi qu’ils doivent apporter leur portefeuille. Ce qu’ils n’ont pas fait. Au total, les 35% représentent 156 millions francs CFA gagnés par eux, l’année dernière, sur mon portefeuille, soit 156 millions, sans rien faire, sur un portefeuille de 600 millions que je mettais en place avec le concours des banques », explique-t-il.
Il poursuit : « Le seul sponsor qu’ils ont apporté est Nasuba qui appartient d’ailleurs à Christian Lagnidé, le propriétaire de la chaîne de télévision LC2. Ils l’ont fait diffuser, ils ont fait le marketing, ils ont assuré la promotion pendant quatre mois, jusqu’en mai 2009, et sont venus me voir pour me dire que Christian ne voulait plus poursuivre l’aventure. Sans jamais m’avoir envoyé le pré contrat de 150 millions pour Nasuba, d’ailleurs. Un jour, ils se lèvent et me disent que Nasuba ne vient plus. iIs l’ont retiré après l’avoir bien exploité dans mes organisations de lutte », explique dépité Gaston Mbengue, ajoutant : « A ma grande surprise, quand j’ai vu Lagnidé à Paris, il m’a dit qu’il n’était pas au courant de cette décision ».
« Au vu de tout cela », le promoteur affirme avoir fait remarquer à ses partenaires, qu’ils avaient signé un contrat, « pour cinq ans avec une clause d’un an renouvelable ».
« Je leur ai dit, ‘soit on se partage les frais, parce que c’est moi qui payais les lutteurs, et après le bénéfice, soit on laisse tomber, parce que je ne peux plus contracter des dettes pendant que vous n’installez que les barrières et, ne portez que vos costumes et gagner, finalement trop, c’est trop facile. Nous ne sommes plus dans les années 1960 mais dans les années 2000. Nous ne sommes plus colonisés’ ».
Pour la suite, notamment la dénonciation de ses partenaires pour rupture abusive du contrat, le promoteur affirme ne pas « être inquiet ». « Je ne redoute pas leur foudre, Ce sont des gens qui ne représentent rien en Europe et je l’ai su très tard. De plus, il y a un contrat de cinq renouvelable tous les ans. Même mes sponsors me disent que j’ai été exploité, sans parler de mon avocat et mon personnel. Heureusement que durant toute la discussion avec eux, j’étais avec mon avocat Me Alassane Cissé qui était sur place aussi, pendant 15 jours en Europe, parce que je ne les connaissais pas ».
Faisant l’économie de la genèse du partenariat, Gaston Mbengue indique que « c’est Christian Lagnidé de LC2 que j’ai connu à Dakar, qui m’a appelé, je précise que je ne le connaissais pas encore, et qui m’a dit : ‘Gaston, félicitation, je suis la lutte et je voudrais qu’on l’exploite ensemble’. Il m’a dit qu’il allait me faire gagner beaucoup de milliards et j’ai commencé à rêver ».
« Il m’a invité, on a fait un pré contrat, on a été à Paris pendant 15 jours avec mon avocat, en réunion, Il m’a mis en rapport avec Sport Vision que je ne connaissais pas également. Après deux jours de boulot avec eux, j’ai commencé à avoir des soucis. Ils avaient dit qu’ils pouvaient mettre à ma disposition, sous forme de crédit, 200 millions de francs pour démarrer, ce que j’ai accepté parce que j’étais dans le besoin ».
Selon Gaston Mbengue, le contrat stipule outre la répartition des parts à hauteur de 35% pour son partenaire et 65 pour lui-même, la mise en place d’un portefeuille du partenaire.