Si les Senghor, Nkrumah, Gamal Abdel Nasser et autres Nasser ou Sékou Touré, ont joué leur partition pour le développement de l’Afrique, Elie Charles Moreau et sa maison d’Edition « Le Nègre International » croient fermement qu’il faudra encore penser et panser cette Afrique toujours à sa recherche. Pour se faire, dit-il « l’organisateur » ou les géniteurs ne doivent pas être dans des carences, mais créer les conditions optimales de changements positifs dans la continuité. D’où son idée de poursuivre l’œuvre déjà entamée l’année derrière avec la première édition du symposium de St Louis.
Il s’agira surtout pour ladite maison de ne pas serfer sur des tintamarres, mais d’aller dans des profondeurs avec des professionnels de verbe pour ensemble « penser l’Afrique dans les temps actuels du monde. » « A St Louis, il s’agira d’écouter de considérables penseurs, de leur prêter oreille et, surtout, de les entendre jouer leurs partitions durant cinq jours » Sans souci, ni équivoque, Elie précise « je parle d’écrivains vraiment incontestables et respectables et qui ne demandent ni la lune sur un plateau d’or massif, ni qu’on arrête la mer par ses bras… »
Sur un autre registre, M Moreau très en verbe devant la presse, fiat savoir qu’il agit plutôt que de rendre dynamique la décentralisation en son volet culturel, et particulièrement intellectuelle « la culture étant des domaines transférés. Ainsi, nous offrons une belle opportunité aux autorités de la commune à travers cette tribune. C’est pourquoi trente six vaillants soldats intellectuellement debout pour contribuer à notre commun devoir de conforter notre présence dans le monde et viabiliser nos souverainetés. »
Ce sera donc à l’Université Gaston Berger de St Louis, au Cirlac de Aminata Sow Fall pour qu’à la fin que les différentes communications soient compilées dans un livre qui portera l’intitulé du thème avec comme autre finalité un mémorandum suivie d’une résolution qui sera présenté au premier protecteur des arts et des lettres, le président Me Abdoulaye Wade. Mieux, l’écrivain-administrateur du « Nègre-International » prévoit l’édition de ce livre (transcription) dans toutes les mangues des pays colonisés d’Afrique, Français, Portugais, Espagnole, Anglais ; sans exclure les langues nationales, si toute fois les moyens le permettent.
Par Ousmane LY
Il s’agira surtout pour ladite maison de ne pas serfer sur des tintamarres, mais d’aller dans des profondeurs avec des professionnels de verbe pour ensemble « penser l’Afrique dans les temps actuels du monde. » « A St Louis, il s’agira d’écouter de considérables penseurs, de leur prêter oreille et, surtout, de les entendre jouer leurs partitions durant cinq jours » Sans souci, ni équivoque, Elie précise « je parle d’écrivains vraiment incontestables et respectables et qui ne demandent ni la lune sur un plateau d’or massif, ni qu’on arrête la mer par ses bras… »
Sur un autre registre, M Moreau très en verbe devant la presse, fiat savoir qu’il agit plutôt que de rendre dynamique la décentralisation en son volet culturel, et particulièrement intellectuelle « la culture étant des domaines transférés. Ainsi, nous offrons une belle opportunité aux autorités de la commune à travers cette tribune. C’est pourquoi trente six vaillants soldats intellectuellement debout pour contribuer à notre commun devoir de conforter notre présence dans le monde et viabiliser nos souverainetés. »
Ce sera donc à l’Université Gaston Berger de St Louis, au Cirlac de Aminata Sow Fall pour qu’à la fin que les différentes communications soient compilées dans un livre qui portera l’intitulé du thème avec comme autre finalité un mémorandum suivie d’une résolution qui sera présenté au premier protecteur des arts et des lettres, le président Me Abdoulaye Wade. Mieux, l’écrivain-administrateur du « Nègre-International » prévoit l’édition de ce livre (transcription) dans toutes les mangues des pays colonisés d’Afrique, Français, Portugais, Espagnole, Anglais ; sans exclure les langues nationales, si toute fois les moyens le permettent.
Par Ousmane LY