«Le Sénégal n’a pas de candidat pour la Présidence de la Francophonie », a déclaré Serigne M’backé Ndiaye au cours de son passage à l’émission Pencco de Walf/Tv, ajoutant que «si le Sénégal avait un candidat, il serait, en ce moment, en train de faire campagne pour lui». C’est pourquoi, souligne l’ancien « Réformiste », «nous ne savons pas encore pour qui nous allons voter».
Toutefois, M. Serigne Mbacké Ndiaye a fait comprendre que le Sénégal n’est pas contre la candidature de l’ancien Président de la République, M. Abdou Diouf qui se présente pour la troisième fois.
A noter que l’élection du Sécrétaire général de la Francophonie se déroulera du 22 au 24 octobre prochain à Montreux (Suisse). Le Secrétaire sortant est en concurrence avec la franco-camerounaise, Calixte Beyala.
Sur la dernière publication de Reporters sans frontière, le porte-parole de la présidence dit ignorer les critères de l’organisation à la base ce classement. Il dit d’ailleurs ne pas connaître un pays où la liberté de la presse est plus avancée au Sénégal. Il en veut pour preuve le code de la presse en gestation dont le chef de l’Etat dit adhérer totalement. Rappelons que l’organisation non gouvernementale Reporters sans frontière a publié le baromètre 2010 de la liberté de la presse. Sur 178 pays considérés le Sénégal se retrouve à la 93e place contre le 89e rang en 2009 soit un recul de quatre places. Un recul est constat : 47e en 2002, 83e en 2007 et 86e en 2008.
Charles Thialice SENGHOR
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Toutefois, M. Serigne Mbacké Ndiaye a fait comprendre que le Sénégal n’est pas contre la candidature de l’ancien Président de la République, M. Abdou Diouf qui se présente pour la troisième fois.
A noter que l’élection du Sécrétaire général de la Francophonie se déroulera du 22 au 24 octobre prochain à Montreux (Suisse). Le Secrétaire sortant est en concurrence avec la franco-camerounaise, Calixte Beyala.
Sur la dernière publication de Reporters sans frontière, le porte-parole de la présidence dit ignorer les critères de l’organisation à la base ce classement. Il dit d’ailleurs ne pas connaître un pays où la liberté de la presse est plus avancée au Sénégal. Il en veut pour preuve le code de la presse en gestation dont le chef de l’Etat dit adhérer totalement. Rappelons que l’organisation non gouvernementale Reporters sans frontière a publié le baromètre 2010 de la liberté de la presse. Sur 178 pays considérés le Sénégal se retrouve à la 93e place contre le 89e rang en 2009 soit un recul de quatre places. Un recul est constat : 47e en 2002, 83e en 2007 et 86e en 2008.
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