Au quatrième trimestre 2023, la valeur ajoutée du secteur secondaire a progressé de 8,9%, en termes réels, sur un an, en accélération, comparée au trimestre précédent pour lequel la croissance était ressortie à 8,0%. L’information est de la Bceao dans son « Rapport sur la politique monétaire dans l’Umoa », mars 2024.
Source : https://www.lejecos.com/Secteur-secondaire-de-l-Ue...
Selon la même source, l’indicateur du climat des affaires dans le secteur secondaire s’est établi à 101,6, au-dessus de sa tendance de longue période, traduisant une bonne tenue des activités.
La Bceao informe que l’indice de la production industrielle a augmenté de 5,7% au quatrième trimestre 2023, après une hausse de 4,7% un trimestre plus tôt. Cette accélération, explique-t-on, est imputable à la croissance de la production dans le secteur manufacturier.
En effet, l’activité manufacturière a connu un rebond de 9,8% au cours de la période sous revue, après une hausse de 7,6% un trimestre plus tôt, en lien notamment avec l’accroissement de la production alimentaire au Bénin, au Burkina et en Côte d’Ivoire, ainsi que des produits pétroliers raffinés en Côte d’Ivoire et au Sénégal.
La progression de l’indice s’explique également par l’accroissement de la production extractive (1,4%), notamment de pétrole brut en Côte d’Ivoire et d’or au Burkina et au Sénégal. La dynamique a été atténuée par une baisse de la production extractive au Niger, notamment d’uranium et d’or, ainsi que de produits chimiques au Burkina.
Adou Faye
La Bceao informe que l’indice de la production industrielle a augmenté de 5,7% au quatrième trimestre 2023, après une hausse de 4,7% un trimestre plus tôt. Cette accélération, explique-t-on, est imputable à la croissance de la production dans le secteur manufacturier.
En effet, l’activité manufacturière a connu un rebond de 9,8% au cours de la période sous revue, après une hausse de 7,6% un trimestre plus tôt, en lien notamment avec l’accroissement de la production alimentaire au Bénin, au Burkina et en Côte d’Ivoire, ainsi que des produits pétroliers raffinés en Côte d’Ivoire et au Sénégal.
La progression de l’indice s’explique également par l’accroissement de la production extractive (1,4%), notamment de pétrole brut en Côte d’Ivoire et d’or au Burkina et au Sénégal. La dynamique a été atténuée par une baisse de la production extractive au Niger, notamment d’uranium et d’or, ainsi que de produits chimiques au Burkina.
Adou Faye
Source : https://www.lejecos.com/Secteur-secondaire-de-l-Ue...