Pour cette fin tragique, dans une maison située au quartier Sourwacounda, Bacar Sidy Diédhiou, la victime, et Sékou Sano partageaient le même lit avant qu’un coup de poignard mortel les sépare, la nuit dernière, renseignent des témoignages recueillis sur place par nons confrères du journal « Le Quotidien ».
Selon plusieurs sources, tout est parti d’une dispute au sujet de l’usage du robinet dont le coût élevé de la dernière facture a poussé le propriétaire de la maison, un expatrié, à revoir la gestion de l’eau. C’est ainsi que la victime était chargée de mettre un cadenas.
Pris au dépourvu par cette nouvelle mesure, Sékou qui voulait s’approvisionner en liquide précieux n’aurait trouvé mieux que de briser le cadenas soigneusement verrouillé.
Il s’en suit un échange de propos violents entre les deux protagonistes qui ont failli en venir aux mains. L’intervention des voisins a permis de calmer les ardeurs mais c’est sans compter avec la détermination de Sékou Sano qui, se disant offensé, veut laver cet affront.
Aux environs de deux heures du matin s’éclate la bagarre au cours de laquelle il réussit à administrer un coup de couteau à l’ami intime de son oncle. Violemment atteint dans la région des côtes, la victime s’affale et rend son dernier soupir dans une mare de sang.
Réalisant la gravité de l’acte qu’il vient de commettre, le jeune apprenti-tailleur qui est âgé de 18 ans s’est résolu à prendre la tangente. Mais alors qu’il tentait de rallier la capitale du pays à bord d’un bus, il est cueilli et placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Sédhiou où il attend d’être livré au procureur pour une affaire de coup et blessure volontaire entraînant la mort.
Nos confrères du « Quotidien » rappellent que ce drame qui a coûté la vie à ce jeune âgé d’une vingtaine d’années, survient quelques jours après la mort tragique de 3 jeunes du village de Pakao Dassilamé, dans un accident de la circulation qui continue
Selon plusieurs sources, tout est parti d’une dispute au sujet de l’usage du robinet dont le coût élevé de la dernière facture a poussé le propriétaire de la maison, un expatrié, à revoir la gestion de l’eau. C’est ainsi que la victime était chargée de mettre un cadenas.
Pris au dépourvu par cette nouvelle mesure, Sékou qui voulait s’approvisionner en liquide précieux n’aurait trouvé mieux que de briser le cadenas soigneusement verrouillé.
Il s’en suit un échange de propos violents entre les deux protagonistes qui ont failli en venir aux mains. L’intervention des voisins a permis de calmer les ardeurs mais c’est sans compter avec la détermination de Sékou Sano qui, se disant offensé, veut laver cet affront.
Aux environs de deux heures du matin s’éclate la bagarre au cours de laquelle il réussit à administrer un coup de couteau à l’ami intime de son oncle. Violemment atteint dans la région des côtes, la victime s’affale et rend son dernier soupir dans une mare de sang.
Réalisant la gravité de l’acte qu’il vient de commettre, le jeune apprenti-tailleur qui est âgé de 18 ans s’est résolu à prendre la tangente. Mais alors qu’il tentait de rallier la capitale du pays à bord d’un bus, il est cueilli et placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Sédhiou où il attend d’être livré au procureur pour une affaire de coup et blessure volontaire entraînant la mort.
Nos confrères du « Quotidien » rappellent que ce drame qui a coûté la vie à ce jeune âgé d’une vingtaine d’années, survient quelques jours après la mort tragique de 3 jeunes du village de Pakao Dassilamé, dans un accident de la circulation qui continue