Les performances remarquables de l’élève Yaya Sy, du lycée de Madina Wandifa, titulaire du Baccalauréat à l’âge de 17 ans, à l’issue de la session de juillet 2024, avec la mention «Très Bien», en série S2, porte un honneur sublime à toute l’académie de Sédhiou.
Le Proviseur du lycée de Madina Wandifa, Marcel Rémi Natrang explique que le jeune Yaya Sy est issu d’une famille modeste d’enseignant. «Yaya Sy est né le 13 janvier 2007 à Madina Bocar Sy. Son père s’appelle El Hadji Bocar Sy, enseignant à l’école élémentaire Darou Baïda, dans la commune de Bogal. Sa mère s’appelle Khadidiatou Sy. Elle est femme au foyer».
Et c’est à l’âge de cinq ans qu’il a commencé à fréquenter l’école, non sans émerveiller ses ainés et camarades de classe. «D’après son père, Yaya est entré à l’école à l’âge de quatre à cinq ans, en suivant son grand-frère dans les classes. Au début, le Directeur de l’école ne voulait pas l’inscrire, en raison de son âge jugé trop bas ; mais, finalement, avec l’intervention de ses collègues, il l’a laissé s’inscrire. Et c’est lui qui répondait à l’essentiel des questions, surtout en cours de langage», dit-il.
Travailleur et discipliné, les témoignages sur le nouveau futur étudiant, Yaya Sy, sont unanimes, nous dit son Proviseur de lycée, Marcel Rémi Natrang. «Il est très calme, sérieux et discipliné. Mes professeurs du lycée sont unanimes sur son comportement. Ils le décrivent comme un élève calme et travailleur, qui n’hésite pas à poser des questions pour comprendre ou s’il n’est pas d’accord».
Le bienheureux bachelier Yaya Sy déclare qu’il s’attendait plutôt à une mention «Excellent», en lieu et place de «Très Bien». «Franchement je m’attendais à une mention «Excellent» car durant tout mon cursus, j’avais d’excellentes notes. Même durant mon cycle secondaire, j’avais des notes supérieures à 18 sur 20. Et, de ce point de vue, je pensais avoir la mention ‘’Excellent’’», rassure-t-il avec un large sourire, le teint clair et le visage manifestement très jeune.
A en croire le Proviseur, le souhait de ses parents est de disposer d’une «bourse étrangère», pour se hisser au rang des génies de la planète. «Effectivement, ses parents sollicitent l’accompagnement de l’Etat pour la poursuite des études à l’étranger. C’est pour se mettre dans le peloton des grands scientifiques de la planète et au besoin, revenir servir son pays comme cadre», confie son chef d’établissement, M. Natrang.
Le lycée de Madina Wandifa réalise bien souvent des performances de ce genre. Et suffisant pour le Proviseur de solliciter l’amélioration de son cadre. «J’éprouve une très grande fierté d’avoir enregistré une mention «Très Bien» dans mon établissement, dans un lycée en construction. Je sollicite le soutien des pouvoirs publics pour améliorer les conditions de travail et de faire de ce temple du savoir un hub de l’excellence», plaide-t-il.
L’Inspecteur d’Académie (IA) de Sédhiou, Papa Gorgui Ndiaye, lui adresse ses vifs remerciements et encourage les élèves à embrasser les disciplines scientifiques et surtout, dans la perspective de la mise en service, à Sédhiou, du LYNEQ, le Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité.
Le Proviseur du lycée de Madina Wandifa, Marcel Rémi Natrang explique que le jeune Yaya Sy est issu d’une famille modeste d’enseignant. «Yaya Sy est né le 13 janvier 2007 à Madina Bocar Sy. Son père s’appelle El Hadji Bocar Sy, enseignant à l’école élémentaire Darou Baïda, dans la commune de Bogal. Sa mère s’appelle Khadidiatou Sy. Elle est femme au foyer».
Et c’est à l’âge de cinq ans qu’il a commencé à fréquenter l’école, non sans émerveiller ses ainés et camarades de classe. «D’après son père, Yaya est entré à l’école à l’âge de quatre à cinq ans, en suivant son grand-frère dans les classes. Au début, le Directeur de l’école ne voulait pas l’inscrire, en raison de son âge jugé trop bas ; mais, finalement, avec l’intervention de ses collègues, il l’a laissé s’inscrire. Et c’est lui qui répondait à l’essentiel des questions, surtout en cours de langage», dit-il.
Travailleur et discipliné, les témoignages sur le nouveau futur étudiant, Yaya Sy, sont unanimes, nous dit son Proviseur de lycée, Marcel Rémi Natrang. «Il est très calme, sérieux et discipliné. Mes professeurs du lycée sont unanimes sur son comportement. Ils le décrivent comme un élève calme et travailleur, qui n’hésite pas à poser des questions pour comprendre ou s’il n’est pas d’accord».
Le bienheureux bachelier Yaya Sy déclare qu’il s’attendait plutôt à une mention «Excellent», en lieu et place de «Très Bien». «Franchement je m’attendais à une mention «Excellent» car durant tout mon cursus, j’avais d’excellentes notes. Même durant mon cycle secondaire, j’avais des notes supérieures à 18 sur 20. Et, de ce point de vue, je pensais avoir la mention ‘’Excellent’’», rassure-t-il avec un large sourire, le teint clair et le visage manifestement très jeune.
A en croire le Proviseur, le souhait de ses parents est de disposer d’une «bourse étrangère», pour se hisser au rang des génies de la planète. «Effectivement, ses parents sollicitent l’accompagnement de l’Etat pour la poursuite des études à l’étranger. C’est pour se mettre dans le peloton des grands scientifiques de la planète et au besoin, revenir servir son pays comme cadre», confie son chef d’établissement, M. Natrang.
Le lycée de Madina Wandifa réalise bien souvent des performances de ce genre. Et suffisant pour le Proviseur de solliciter l’amélioration de son cadre. «J’éprouve une très grande fierté d’avoir enregistré une mention «Très Bien» dans mon établissement, dans un lycée en construction. Je sollicite le soutien des pouvoirs publics pour améliorer les conditions de travail et de faire de ce temple du savoir un hub de l’excellence», plaide-t-il.
L’Inspecteur d’Académie (IA) de Sédhiou, Papa Gorgui Ndiaye, lui adresse ses vifs remerciements et encourage les élèves à embrasser les disciplines scientifiques et surtout, dans la perspective de la mise en service, à Sédhiou, du LYNEQ, le Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité.