Ségolène Royal a été fair-play tant qu’elle a pu, avalant les couleuvres les unes après les autres sans se départir d’une certaine retenue. La dernière humiliation aura été celle de trop.
Alors qu’elle se trouvait hier à quelques mètres de François Hollande dans le hall d’un bâtiment de l’ONU, celui-ci a préféré tourner ostensiblement les talons pour éviter de la saluer devant la presse.
Un geste d’autant plus blessant que quelques minutes auparavant, Ségolène Royal confirmait à la presse qu’elle comptait pour sa part aller saluer le président de la République.
Face à la goujaterie du père de ses quatre enfants, Ségolène Royal a décidé de ne plus se taire. « Ça suffit ! explique-t-elle aujourd’hui excédée au Figaro. Si cela avait été Martine Aubry ou Harlem Desir, il serait venu les saluer. »
Reprenant ironiquement à son compte une formule de François Hollande, elle conclut « À présidence normale, relations normales. » C’est mal parti…
Alors qu’elle se trouvait hier à quelques mètres de François Hollande dans le hall d’un bâtiment de l’ONU, celui-ci a préféré tourner ostensiblement les talons pour éviter de la saluer devant la presse.
Un geste d’autant plus blessant que quelques minutes auparavant, Ségolène Royal confirmait à la presse qu’elle comptait pour sa part aller saluer le président de la République.
Face à la goujaterie du père de ses quatre enfants, Ségolène Royal a décidé de ne plus se taire. « Ça suffit ! explique-t-elle aujourd’hui excédée au Figaro. Si cela avait été Martine Aubry ou Harlem Desir, il serait venu les saluer. »
Reprenant ironiquement à son compte une formule de François Hollande, elle conclut « À présidence normale, relations normales. » C’est mal parti…