L’expression d’Hélène Fontanaud, journaliste aux Inrocks est jolie : Thomas, Clémence, Julien et Flora sont autant de « traits d’union entre le passé et le présent » de François Hollande et Ségolène Royal.
Quatre enfants que l’on imagine tiraillés entre leurs parents depuis le clash entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler, la nouvelle compagne de leur père. Le jour de l’investiture de ce dernier, déjà, ils avaient brillé par leur absence. Raison officielle : ils souhaitaient éviter tout parallèle avec le clan Sarkozy. Raison officieuse : ils avaient choisi de soutenir leur mère, écartée de la cérémonie pour éviter « tout drame avec Valérie Trierweiler », comme Ségolène le confiait elle-même.
Le lendemain du tweet assassin de Valérie Trierweiler, Ségolène Royal, les larmes aux yeux avait demandé « le respect à l’égard (…) d’une mère de famille dont les quatre enfants entendent ce qui est dit ». Des enfants dont le président « sait qu’ils ont été blessés » par ce tweet, selon les Inrocks.
Hier, après sa défaite cinglante à La Rochelle, c’est auprès d’eux que Ségolène Royal est allée puiser le réconfort. Sitôt son discours à la presse terminé, la candidate malheureuse aux législatives est rentrée chez elle, dîner « avec ses quatre enfants ».
Si aucun d’eux n’a souhaité s’exprimer publiquement sur ce que traverse leur mère, Thomas, l’aîné, a décoché hier une petite flèche, à l’attention de Valérie Trierweiler, qui n’est pas passée inaperçue. Alors que la presse le questionnait à propos de Twitter, Thomas a confié qu’il avait bien un compte, mais qu’il ne « l’utilis(ait) pas », selon le Monde. La raison ? « François ne me fait pas confiance sur mes tweets », a glissé le jeune homme. Une parodie d’une phrase prononcée en avril par la compagne de François Hollande qui déclarait alors dans Femme Actuelle : « François me fait totalement confiance. Sauf sur mes tweets. »
Dans cette guerre sourde contre Valérie Trierweiler, Ségolène Royal sait qu’elle peut compter sur ses quatre petits, qui se tiennent à ses cotés depuis tant d’années dans un engagement désintéressé…
Quatre enfants que l’on imagine tiraillés entre leurs parents depuis le clash entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler, la nouvelle compagne de leur père. Le jour de l’investiture de ce dernier, déjà, ils avaient brillé par leur absence. Raison officielle : ils souhaitaient éviter tout parallèle avec le clan Sarkozy. Raison officieuse : ils avaient choisi de soutenir leur mère, écartée de la cérémonie pour éviter « tout drame avec Valérie Trierweiler », comme Ségolène le confiait elle-même.
Le lendemain du tweet assassin de Valérie Trierweiler, Ségolène Royal, les larmes aux yeux avait demandé « le respect à l’égard (…) d’une mère de famille dont les quatre enfants entendent ce qui est dit ». Des enfants dont le président « sait qu’ils ont été blessés » par ce tweet, selon les Inrocks.
Hier, après sa défaite cinglante à La Rochelle, c’est auprès d’eux que Ségolène Royal est allée puiser le réconfort. Sitôt son discours à la presse terminé, la candidate malheureuse aux législatives est rentrée chez elle, dîner « avec ses quatre enfants ».
Si aucun d’eux n’a souhaité s’exprimer publiquement sur ce que traverse leur mère, Thomas, l’aîné, a décoché hier une petite flèche, à l’attention de Valérie Trierweiler, qui n’est pas passée inaperçue. Alors que la presse le questionnait à propos de Twitter, Thomas a confié qu’il avait bien un compte, mais qu’il ne « l’utilis(ait) pas », selon le Monde. La raison ? « François ne me fait pas confiance sur mes tweets », a glissé le jeune homme. Une parodie d’une phrase prononcée en avril par la compagne de François Hollande qui déclarait alors dans Femme Actuelle : « François me fait totalement confiance. Sauf sur mes tweets. »
Dans cette guerre sourde contre Valérie Trierweiler, Ségolène Royal sait qu’elle peut compter sur ses quatre petits, qui se tiennent à ses cotés depuis tant d’années dans un engagement désintéressé…