Bienvenu Sékou Traoré ! La société nationale de télécommunication (Sonatel) a un nouveau Directeur général. Il remplace Alioune Ndiaye, promu Directeur Exécutif de Orange Middle-East and Africa (OMEA), siégeant au comité Exécutif du groupe Orange et PCA de Sonatel.
Jusqu’à sa nomination à la tête de la Sonatel hier, Sékou Dramé était le Directeur général de Orange Sierra Leone. Mais il n’est pas un étranger à la maison qu’il dirige désormais. Agé de 45 ans, Sékou Dramé, un ingénieur télécoms diplômé de l’Ecole supérieure des télécommunications (Telecom Partistech), option Réseaux de télécommunications et téléinformatique, travaille au sein du Groupe Sonatel depuis 15 ans, et y a occupé de hautes fonctions.
Directeur résidentiels, Professionnels et entreprises (2006 à 2007), il est devenu directeur des entreprises à Sonatel (2014 à 2016), en passant par les postes de Directeurs General Adjoint et directeurs des services aux entreprises et operateurs à Orange Mali (2012 à2014), Directeur du pôle Exploitation des réseaux et du SI à Sonatel (2008 à 2012), Directeur du pôle Operations et maintenance des réseaux à Sonatel (2008 à 2009). Bonne chance.
Les Echos
Jusqu’à sa nomination à la tête de la Sonatel hier, Sékou Dramé était le Directeur général de Orange Sierra Leone. Mais il n’est pas un étranger à la maison qu’il dirige désormais. Agé de 45 ans, Sékou Dramé, un ingénieur télécoms diplômé de l’Ecole supérieure des télécommunications (Telecom Partistech), option Réseaux de télécommunications et téléinformatique, travaille au sein du Groupe Sonatel depuis 15 ans, et y a occupé de hautes fonctions.
Directeur résidentiels, Professionnels et entreprises (2006 à 2007), il est devenu directeur des entreprises à Sonatel (2014 à 2016), en passant par les postes de Directeurs General Adjoint et directeurs des services aux entreprises et operateurs à Orange Mali (2012 à2014), Directeur du pôle Exploitation des réseaux et du SI à Sonatel (2008 à 2012), Directeur du pôle Operations et maintenance des réseaux à Sonatel (2008 à 2009). Bonne chance.
Les Echos