Un état caractérisé par les incessantes coupure de courant ou plutôt dirais-je délestages et surtout les inondations. C'est l'une des préocupations habituelles des populations et elle s'accentue d'années en années.
Des difficultés identifiées par les différents responsables mais qui continuent à tomber dans l'oreille d'un sourd. Ou plutôt, comme beaucoup de responsables dans ce continent, ils sont d'avantage intéressés par leur propres soucis politiques.
Depuis l'arrivée à la tête de ce pays, le record des querelles internes a été battu. Le parti au pouvoir ne cesse d'occuper le devant de la scène nationale avec des scandales politiques. Depuis 2000 sous l'air Wade, 6 premiers ministres ont défilé à la tête du gouvernement et deux d'entre eux ont connu par la suite la révolte du président à travers des activités de justice. Idrissa Seck et Macky Sall, accusés chacun pour détournement de fond ont goûté à la furia du secrétaire général du Parti au pouvoir.
Pour manifester leur mécontentement, les populations sont descendues sur les villes affrontant matraques électriques et fouets.
Les inondations un phénomène récurant qui a fait quelques 300 000 sinistrés dans la capitale du pays. Pour résoudre ce problèmes l'état a mis en place le plan Orsec. Une solution qui est confrontée à beaucoup d'inconvénients et a créé davantage de soucis et de querelles qu'il n'en a résolu.
L'autre grande interrogation suite à ces inondations est bien la gestion des compétences. Qui doit trouver solution à cela ? Pourquoi toute cette polémique. Pendant les élections locales de 2009 remportée par l'opposition ce fameux problème fut le principal thème de campagne
Elus à la tête des collectivités locales, ils renvoient la gestion de ce problème à l'état lequel pense , lui, qu'il est temps que les collectivités locales se prennent en charge et résolvent leur propre problème. Or celui ci relève de l'intégrité nationale et ne peut en aucun cas être pris pas les élus locaux.
Cette nouvelle opposition de taille qui alimente et occupe de nouveau la scène politique alors que les populations, ceux pour qui et grâce à qui ces responsables occupent leur fonction sont dans le désarroi total. Un désarroi dans lequel ils sont depuis un bout de temps et que seul l'élection présidentielle de 2012 a la capacité de changer.
Tout le peuple sénégalais attend cette échéance avec impatience pour trancher devant cette ultime interrogation.
Des difficultés identifiées par les différents responsables mais qui continuent à tomber dans l'oreille d'un sourd. Ou plutôt, comme beaucoup de responsables dans ce continent, ils sont d'avantage intéressés par leur propres soucis politiques.
Depuis l'arrivée à la tête de ce pays, le record des querelles internes a été battu. Le parti au pouvoir ne cesse d'occuper le devant de la scène nationale avec des scandales politiques. Depuis 2000 sous l'air Wade, 6 premiers ministres ont défilé à la tête du gouvernement et deux d'entre eux ont connu par la suite la révolte du président à travers des activités de justice. Idrissa Seck et Macky Sall, accusés chacun pour détournement de fond ont goûté à la furia du secrétaire général du Parti au pouvoir.
Pour manifester leur mécontentement, les populations sont descendues sur les villes affrontant matraques électriques et fouets.
Les inondations un phénomène récurant qui a fait quelques 300 000 sinistrés dans la capitale du pays. Pour résoudre ce problèmes l'état a mis en place le plan Orsec. Une solution qui est confrontée à beaucoup d'inconvénients et a créé davantage de soucis et de querelles qu'il n'en a résolu.
L'autre grande interrogation suite à ces inondations est bien la gestion des compétences. Qui doit trouver solution à cela ? Pourquoi toute cette polémique. Pendant les élections locales de 2009 remportée par l'opposition ce fameux problème fut le principal thème de campagne
Elus à la tête des collectivités locales, ils renvoient la gestion de ce problème à l'état lequel pense , lui, qu'il est temps que les collectivités locales se prennent en charge et résolvent leur propre problème. Or celui ci relève de l'intégrité nationale et ne peut en aucun cas être pris pas les élus locaux.
Cette nouvelle opposition de taille qui alimente et occupe de nouveau la scène politique alors que les populations, ceux pour qui et grâce à qui ces responsables occupent leur fonction sont dans le désarroi total. Un désarroi dans lequel ils sont depuis un bout de temps et que seul l'élection présidentielle de 2012 a la capacité de changer.
Tout le peuple sénégalais attend cette échéance avec impatience pour trancher devant cette ultime interrogation.