Les politiques sont toujours à couteaux tirés alors que sous les lambris c’est copains et coquins.
Ils sont maladroits et imprudents. Avec un mélange des genres dont plus personne ne se soucie. Des innocents disculpés. Des coupables qui jamais ne seront châtiés alors que tout haut ils n’arrêtent de clamer que rien ne saurait faire obstacle à la justice !
Quand il leur arrive d’avoir des doutes, vite, ils se font aider pour avoir plus d’assurance. D’où, comme les loups, la chasse en bandes qui se font et se défont.
Ils prétendent représenter le pays. Qu’ils le connaissent. Que c’est leur job. Pourtant, ils lui font tellement de mauvais par les délits d’abus d’actifs que…
Ils se conduisent en gens ayant aménagé dans nos têtes oublieux qu’un jour, silence. Ils ne seront plus là.
Ils obligent à marcher dans l’engouement, l’admiration, à défaut de faire dans l’extase.
Tout autour des affaires qui les impliquent un peu trop personnellement. Sans souci de transparence et d’honnêteté.
Au Sénégal, les papis sont fatigués mais comme le premier qui flanche est mort, ils veulent être tous enterrés. Les amis se poignardent dans le dos dans le nouveau style : Les choses se passaient sous la table, eux retirent la table. Carrément. Pourris, menteurs. Ils veulent tout sans jamais rien payer de leurs poches.
L’honneur d’un homme, à jeter aux chiens. Ils ont un énorme déficit de considération. Ils vous abandonnent si facilement. Surtout quand vous fûtes des leurs. Avec eux, çà finit toujours par un divorce. On vous prend, on vous jette ; vous rejette. Et pour se donner bonne conscience l’on vous calomnie, vilipende, après avoir longuement médis de vous. Drôle de maîtresse que la politique sous les lambris.
L’avertissement du 17 mars 2009, l’annonce d’un naufrage historique ? Ils ne veulent pas y croire. Ils ont un fabuleux trésor. Notre argent si vite devenu le leur.
Auto proclamation, autoglorification, initiatives intempestives, inauguration, exploitation, répartition des recettes, étrange inculture des dirigeants e l’alternoce qui en sont encore à une appropriation de culture clanique.
Pour l’Afrique, que de rendez-vous manqués. Ce sont ceux qui ne voulaient pas de l’indépendance qui aujourd’hui sont devenus ses responsables après que les premiers aient trahi tous les engagements pour arriver au pouvoir, eux tout aussi incorrigibles francophiles nous font les poches. Et à nous les problèmes de santé, d’eau, d’électricité. Le racket du téléphone, le franc des colonies françaises d’Afrique. Toujours le consensus de Berlin de 1963. Nos républiques caricaturales.
Que de fumées, des miroirs pour créer l’illusion. Souhaitons qu’en fin de parcours ils soient seuls avec leur enfer.
Que de sacrifices exigés à ceux qui à leurs yeux ne sont que la plèbe. Une plèbe au nom de laquelle on dit parler en riant sous cape. Tout en étant si dépourvu d’humour. Maintenant, on les connaît. Tous. Toutes ces élites dites modernes et si dangereusement déculturées, si vite intégrationnistes de tout ce qui vient d’ailleurs, sans participer à la production.
Qui parle de réintégration des valeurs traditionnelles africaines quand l’erreur sur le cadeau Alex SEGURA ne vaut pas le prix d’un appartement parisien!
Nos 50 années d’indépendance, bien, réussi, moins réussi, critiquable, échec ?
Abdoulaye Y. DABO
Dabniomi2002@yahoo.fr
Ils sont maladroits et imprudents. Avec un mélange des genres dont plus personne ne se soucie. Des innocents disculpés. Des coupables qui jamais ne seront châtiés alors que tout haut ils n’arrêtent de clamer que rien ne saurait faire obstacle à la justice !
Quand il leur arrive d’avoir des doutes, vite, ils se font aider pour avoir plus d’assurance. D’où, comme les loups, la chasse en bandes qui se font et se défont.
Ils prétendent représenter le pays. Qu’ils le connaissent. Que c’est leur job. Pourtant, ils lui font tellement de mauvais par les délits d’abus d’actifs que…
Ils se conduisent en gens ayant aménagé dans nos têtes oublieux qu’un jour, silence. Ils ne seront plus là.
Ils obligent à marcher dans l’engouement, l’admiration, à défaut de faire dans l’extase.
Tout autour des affaires qui les impliquent un peu trop personnellement. Sans souci de transparence et d’honnêteté.
Au Sénégal, les papis sont fatigués mais comme le premier qui flanche est mort, ils veulent être tous enterrés. Les amis se poignardent dans le dos dans le nouveau style : Les choses se passaient sous la table, eux retirent la table. Carrément. Pourris, menteurs. Ils veulent tout sans jamais rien payer de leurs poches.
L’honneur d’un homme, à jeter aux chiens. Ils ont un énorme déficit de considération. Ils vous abandonnent si facilement. Surtout quand vous fûtes des leurs. Avec eux, çà finit toujours par un divorce. On vous prend, on vous jette ; vous rejette. Et pour se donner bonne conscience l’on vous calomnie, vilipende, après avoir longuement médis de vous. Drôle de maîtresse que la politique sous les lambris.
L’avertissement du 17 mars 2009, l’annonce d’un naufrage historique ? Ils ne veulent pas y croire. Ils ont un fabuleux trésor. Notre argent si vite devenu le leur.
Auto proclamation, autoglorification, initiatives intempestives, inauguration, exploitation, répartition des recettes, étrange inculture des dirigeants e l’alternoce qui en sont encore à une appropriation de culture clanique.
Pour l’Afrique, que de rendez-vous manqués. Ce sont ceux qui ne voulaient pas de l’indépendance qui aujourd’hui sont devenus ses responsables après que les premiers aient trahi tous les engagements pour arriver au pouvoir, eux tout aussi incorrigibles francophiles nous font les poches. Et à nous les problèmes de santé, d’eau, d’électricité. Le racket du téléphone, le franc des colonies françaises d’Afrique. Toujours le consensus de Berlin de 1963. Nos républiques caricaturales.
Que de fumées, des miroirs pour créer l’illusion. Souhaitons qu’en fin de parcours ils soient seuls avec leur enfer.
Que de sacrifices exigés à ceux qui à leurs yeux ne sont que la plèbe. Une plèbe au nom de laquelle on dit parler en riant sous cape. Tout en étant si dépourvu d’humour. Maintenant, on les connaît. Tous. Toutes ces élites dites modernes et si dangereusement déculturées, si vite intégrationnistes de tout ce qui vient d’ailleurs, sans participer à la production.
Qui parle de réintégration des valeurs traditionnelles africaines quand l’erreur sur le cadeau Alex SEGURA ne vaut pas le prix d’un appartement parisien!
Nos 50 années d’indépendance, bien, réussi, moins réussi, critiquable, échec ?
Abdoulaye Y. DABO
Dabniomi2002@yahoo.fr