
Le comité d’organisation est en pleine installation au stade 30 juin de Caire, nous informe afriquesports.
« C’est une mesure de prudence. Quand vous voyez les différents pays qui utilisent la VAR, ils ne se précipitent pas d’aller dès le début. C’est une technologie que beaucoup de gens n’utilisent totalement pas encore. Au début, c’était prévu pour les demi-finales mais nous avons exigé qu’il faut aller un peu plus en avant », rappelle Hamad Hamad, Président de la CAF.
L’Assistance vidéo à l’arbitrage n’est pas très aimée en Afrique. Plusieurs équipes l’ayant découvert lors de la Coupe du monde 2018, se sont senties lésées par ce système. Salif Sané, en conférence de presse avant match, n’a pas caché son manque d’enthousiasme pour la VAR: « Je ne suis pas trop fan, lâche le défenseur, en conférence de presse. Ça peut nous aider comme ça peut nous pénaliser. De toutes les façons, on n’a pas le choix. On va faire avec. Mais on ne va pas se fier à la VAR ».
« C’est une mesure de prudence. Quand vous voyez les différents pays qui utilisent la VAR, ils ne se précipitent pas d’aller dès le début. C’est une technologie que beaucoup de gens n’utilisent totalement pas encore. Au début, c’était prévu pour les demi-finales mais nous avons exigé qu’il faut aller un peu plus en avant », rappelle Hamad Hamad, Président de la CAF.
L’Assistance vidéo à l’arbitrage n’est pas très aimée en Afrique. Plusieurs équipes l’ayant découvert lors de la Coupe du monde 2018, se sont senties lésées par ce système. Salif Sané, en conférence de presse avant match, n’a pas caché son manque d’enthousiasme pour la VAR: « Je ne suis pas trop fan, lâche le défenseur, en conférence de presse. Ça peut nous aider comme ça peut nous pénaliser. De toutes les façons, on n’a pas le choix. On va faire avec. Mais on ne va pas se fier à la VAR ».