"Mon rôle est de réunir tout le monde. Par conséquent, j'appelle tout le monde au dialogue. J'écouterai ceux qui se sont engagés dans les assises nationales et je compte appliquer les conclusions de leurs travaux si c'est pour le bien du pays", a déclaré M. Wade sur la RTS (publique).
Le chef de l'Etat sénégalais s'exprimait en ouolof, langue la plus parlée au Sénégal, lors d'une rencontre hier à Dakar avec le chef des mourides du Sénégal, Serigne Bara Mbacké Falilou.
Il n'a pas cependant pas fait de déclaration sur une participation ou non de sa famille politique à ces assises ouvertes le 1er juin dernier et boycottées par la majorité. Celle-ci a accusé les initiateurs de ces conclaves de vouloir renverser M. Wade, élu en février 2007 pour cinq ans, ce qu'ont réfuté ces derniers.
Les "assises nationales", organisées par une vingtaine de formations membres de la coalition Front Siggil Senegaal (opposition) et la société civile, sont présidées par l'ancien directeur général de l'Unesco, Amadou Makhtar Mbow. Elles rassemblent des représentants issus d'une centaine d'organisations politiques, syndicales, socio-professionnelles, religieuses et de la société civile, et prévoient des discussions sur le terrain dans l'ensemble du pays pour trouver des solutions à "une crise multidimensionnelle aux conséquences multiples".
Le chef de l'Etat sénégalais s'exprimait en ouolof, langue la plus parlée au Sénégal, lors d'une rencontre hier à Dakar avec le chef des mourides du Sénégal, Serigne Bara Mbacké Falilou.
Il n'a pas cependant pas fait de déclaration sur une participation ou non de sa famille politique à ces assises ouvertes le 1er juin dernier et boycottées par la majorité. Celle-ci a accusé les initiateurs de ces conclaves de vouloir renverser M. Wade, élu en février 2007 pour cinq ans, ce qu'ont réfuté ces derniers.
Les "assises nationales", organisées par une vingtaine de formations membres de la coalition Front Siggil Senegaal (opposition) et la société civile, sont présidées par l'ancien directeur général de l'Unesco, Amadou Makhtar Mbow. Elles rassemblent des représentants issus d'une centaine d'organisations politiques, syndicales, socio-professionnelles, religieuses et de la société civile, et prévoient des discussions sur le terrain dans l'ensemble du pays pour trouver des solutions à "une crise multidimensionnelle aux conséquences multiples".