Karim Wade s'était engagé à n'ouvrir le capital de Sénégal airlines qu'à des nationaux. Il a enfreint la règle, en acceptant d'encaisser les parts d'un étranger. Il s'est aussi dédit ailleurs : Il avait déclaré que la compagnie aérienne Sa allait démarrer ses activités depuis le mois de janvier dernier. Mais, les avions de sa société de transport aérien ne parcourront pas le ciel, en provenance ou en partance de Dakar, avant le mois d'août. Une mauvaise période, qu'il s'entête à maintenir. Elle coïncide avec l'arrivée de l'hivernage au Sénégal ; soit une période pas trop favorable au tourisme.
Les spécialistes pensent qu'il va faire courir des risques à ceux qu'il a réussi à convaincre d'investir dans Sa. Ils indiquent que le moment idéal pour le lancement de la compagnie serait le mois de novembre ; soit 11 mois après la prévision de Karim. Son amateurisme a coûté aux pilotes sénégalais, qui se sont vus retirer leurs licences, pour être restés assez longtemps sans voler. D'ailleurs, pour que ses avions vrombissent en août prochain, il sera obligé de revoir à la hausse les dépenses prévisionnelles de sa compagnie. Car, il sera contraint de louer des pilotes.
Karim Wade est, aussi, si complexé, qu'il n'a pas foi à l'expertise locale. Ainsi, c'est un Européen qui sera le Directeur général de Sénégal Airlines. Une compagnie qui risque d'être, longtemps, rivée au sol, pour absentéisme du fils du président. Son père voulait démontrer que seul Karim est le génie sénégalais, le surhomme pour lui succéder. Ainsi, il lui taillera le département ministériel le plus vaste, depuis que le Sénégal existe : Coopération internationale, Aménagement du territoire, Transport aérien et Infrastructures. Conséquence : Karim, qui ne peut même pas gérer un seul de ses quatre départements, n'est jamais visible à l'aéroport ; sauf pour ses fréquents atterrissages et décollages.
Les syndicalistes de l'aéroport sont catégoriques : il n'amènera nulle part la compagnie aérienne. Son père a perdu la mémoire. Il a oublié que « qui trop embrasse, mal étreint. C'est le président Wade qui torpille l'avenir de son fils, Karim, qui ne lui pas aussi rendu service ; en voulant être au four et au moulin et à satisfaire ses caprices d'enfant tardivement gâté.
La Redaction xibar
Les spécialistes pensent qu'il va faire courir des risques à ceux qu'il a réussi à convaincre d'investir dans Sa. Ils indiquent que le moment idéal pour le lancement de la compagnie serait le mois de novembre ; soit 11 mois après la prévision de Karim. Son amateurisme a coûté aux pilotes sénégalais, qui se sont vus retirer leurs licences, pour être restés assez longtemps sans voler. D'ailleurs, pour que ses avions vrombissent en août prochain, il sera obligé de revoir à la hausse les dépenses prévisionnelles de sa compagnie. Car, il sera contraint de louer des pilotes.
Karim Wade est, aussi, si complexé, qu'il n'a pas foi à l'expertise locale. Ainsi, c'est un Européen qui sera le Directeur général de Sénégal Airlines. Une compagnie qui risque d'être, longtemps, rivée au sol, pour absentéisme du fils du président. Son père voulait démontrer que seul Karim est le génie sénégalais, le surhomme pour lui succéder. Ainsi, il lui taillera le département ministériel le plus vaste, depuis que le Sénégal existe : Coopération internationale, Aménagement du territoire, Transport aérien et Infrastructures. Conséquence : Karim, qui ne peut même pas gérer un seul de ses quatre départements, n'est jamais visible à l'aéroport ; sauf pour ses fréquents atterrissages et décollages.
Les syndicalistes de l'aéroport sont catégoriques : il n'amènera nulle part la compagnie aérienne. Son père a perdu la mémoire. Il a oublié que « qui trop embrasse, mal étreint. C'est le président Wade qui torpille l'avenir de son fils, Karim, qui ne lui pas aussi rendu service ; en voulant être au four et au moulin et à satisfaire ses caprices d'enfant tardivement gâté.
La Redaction xibar