Le défunt, vigile à l’agence Senelec de Hann Maristes, a été victime d’un malaise avant de rendre l’âme, révèle Source A, repris par Seneweb.
Selon des confidences faites au journal, « le jour des faits, samedi dernier, Assane Sène était en service avec son collègue, Idy, vigile, qui lui avait partagé sa connexion internet. Il était donc en train de se connecter quand il a éprouvé des problèmes respiratoires. »
Il a ainsi demandé, poursuit la source, « à Idy d’appeler leur ami en commun, également vigile ». Inquiet, le nommé Idy s’exécute rapidement. Et, à l’arrivée de son ami, le père de famille lui a fait cette demande : « veille sur mes enfants ».
Puis, sollicité par les témoins, le fils d’un ancien ministre, qui habite à côté, a mis la main à la poche pour payer le taxi afin de conduire le malade à l’hôpital des Maristes. Mais, c’était déjà trop tard. Assane Sène a succombé, lors de son évacuation. Le corps a été déposé à la morgue pour les besoins de l’autopsie, souligne le quotidien d’information.
Selon des confidences faites au journal, « le jour des faits, samedi dernier, Assane Sène était en service avec son collègue, Idy, vigile, qui lui avait partagé sa connexion internet. Il était donc en train de se connecter quand il a éprouvé des problèmes respiratoires. »
Il a ainsi demandé, poursuit la source, « à Idy d’appeler leur ami en commun, également vigile ». Inquiet, le nommé Idy s’exécute rapidement. Et, à l’arrivée de son ami, le père de famille lui a fait cette demande : « veille sur mes enfants ».
Puis, sollicité par les témoins, le fils d’un ancien ministre, qui habite à côté, a mis la main à la poche pour payer le taxi afin de conduire le malade à l’hôpital des Maristes. Mais, c’était déjà trop tard. Assane Sène a succombé, lors de son évacuation. Le corps a été déposé à la morgue pour les besoins de l’autopsie, souligne le quotidien d’information.
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