''Ces attaques de personnes inconnues ont fait sept morts au total (...) Nous avons perdu six éléments et au niveau des assaillants ils ont perdu un des leurs’’ ? a déclaré à la presse le ministre délégué à la Défense Paul Koffi Koffi, à l’issue d’une visite au camp d’Akouédo.
Le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a convoqué une réunion urgente avec la hiérarchie militaire après cette attaque survenue lundi matin au camp Akouédo, l’un des plus grands camps militaires d’Abidjan.
En moins de 24 heures, quatre attaques de camps militaires et commissariats ont été enregistrées en Côte d’Ivoire.
Dans la nuit de samedi à dimanche, cinq militaires des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) ont été tués dans l’attaque d’un commissariat et d’un poste de contrôle de l’armée par des hommes lourdement armés à Yopougon, quartier réputé pro-Gbagbo, à l’ouest d’Abidjan.
Plusieurs armes légères et de petits calibres circulent dans le pays qui tente de se reconstruire après une violente crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011.
Des mouvements d'humeur de certains ex-combattants et des tensions ethniques sont toujours vives en Côte d’Ivoire, notamment dans l’ouest du pays, à la frontière avec le Liberia.
Source:APA- Abidjan (Côte d’Ivoire)
Le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a convoqué une réunion urgente avec la hiérarchie militaire après cette attaque survenue lundi matin au camp Akouédo, l’un des plus grands camps militaires d’Abidjan.
En moins de 24 heures, quatre attaques de camps militaires et commissariats ont été enregistrées en Côte d’Ivoire.
Dans la nuit de samedi à dimanche, cinq militaires des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) ont été tués dans l’attaque d’un commissariat et d’un poste de contrôle de l’armée par des hommes lourdement armés à Yopougon, quartier réputé pro-Gbagbo, à l’ouest d’Abidjan.
Plusieurs armes légères et de petits calibres circulent dans le pays qui tente de se reconstruire après une violente crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011.
Des mouvements d'humeur de certains ex-combattants et des tensions ethniques sont toujours vives en Côte d’Ivoire, notamment dans l’ouest du pays, à la frontière avec le Liberia.
Source:APA- Abidjan (Côte d’Ivoire)