Les enquêteurs ont exploité la vidéosurveillance et constaté que les voleurs ont pu accéder à l’intérieur de l’immeuble, grâce à un habitant des lieux qui a été identifié sous le nom de R. Masry.
En effet, selon nos informations, c’est lui qui a ouvert la porte permettant l’accès des voleurs à l’immeuble abritant le magasin. Face aux images, lors de son interrogation, il a reconnu les faits sans ambages. Il a, par la suite, livré les détails du cambriolage.
Il a confessé aux hommes du commissaire Bara Sangharé, patron de la Su, avoir remarqué la présence d’un coffre-fort contenant de fortes sommes d’argent dans les bureaux du rez-de-chaussée. C’est ainsi qu’il a mûri un plan, de concert avec un ami du nom de M. Ettaouille, pour mettre la main sur contenu du coffre-fort.
Ettaouille en a, à son tour, informé une autre connaissance du nom de Hamady, appelé dans leur milieu “Commissaire’’. Leur décision prise, ils se sont armés d’un arrache-clou, de deux pinces et d’une cisaille pour pouvoir défoncer la porte. Le jour des faits, poursuit-il, aux environs de 23 h, ils ont coupé le système de sécurité de la porte des locaux, grâce à de l’acide. Mais ils n’ont pas pu ouvrir les coffres-forts, puisqu’ils étaient bien scellés. C’est ainsi, qu’ils ont décidé de voler la moto trouvée sur les lieux.
Interpellé à son tour, M. Ettaouille a dévoilé que la bande n’en était pas à son coup d’essai. S’étant renforcée de deux membres, elle a commis, au mois de février, le cambriolage d’un magasin situé au 2e étage du même immeuble. Ils avaient réussi à emporter avec eux 5 millions FCfa et des téléphones portables. Ils avaient aussi volé une moto près de la mosquée Massalikoul Jinane.
Après ces aveux circonstanciés, les enquêteurs ont procédé à l’interpellation de H. Thiam, un ancien militaire qui est présenté comme le cerveau de la bande, A. Diop alias “Amath’’ et M. Diop. Thiam a soutenu avoir volé la moto pour avoir de quoi régler les frais du baptême de son fils. Les deux Diop, après avoir reconnu les faits, ont confié avoir reçu chacun un million pour les cambriolages auxquels ils ont participé.
Les enquêteurs ont trouvé chez eux la moto volée. Au terme de leur période de garde-à-vue, les cinq comparses ont été déférés au parquet pour les faits d’association de malfaiteurs et vols avec effraction.
EnQuête
En effet, selon nos informations, c’est lui qui a ouvert la porte permettant l’accès des voleurs à l’immeuble abritant le magasin. Face aux images, lors de son interrogation, il a reconnu les faits sans ambages. Il a, par la suite, livré les détails du cambriolage.
Il a confessé aux hommes du commissaire Bara Sangharé, patron de la Su, avoir remarqué la présence d’un coffre-fort contenant de fortes sommes d’argent dans les bureaux du rez-de-chaussée. C’est ainsi qu’il a mûri un plan, de concert avec un ami du nom de M. Ettaouille, pour mettre la main sur contenu du coffre-fort.
Ettaouille en a, à son tour, informé une autre connaissance du nom de Hamady, appelé dans leur milieu “Commissaire’’. Leur décision prise, ils se sont armés d’un arrache-clou, de deux pinces et d’une cisaille pour pouvoir défoncer la porte. Le jour des faits, poursuit-il, aux environs de 23 h, ils ont coupé le système de sécurité de la porte des locaux, grâce à de l’acide. Mais ils n’ont pas pu ouvrir les coffres-forts, puisqu’ils étaient bien scellés. C’est ainsi, qu’ils ont décidé de voler la moto trouvée sur les lieux.
Interpellé à son tour, M. Ettaouille a dévoilé que la bande n’en était pas à son coup d’essai. S’étant renforcée de deux membres, elle a commis, au mois de février, le cambriolage d’un magasin situé au 2e étage du même immeuble. Ils avaient réussi à emporter avec eux 5 millions FCfa et des téléphones portables. Ils avaient aussi volé une moto près de la mosquée Massalikoul Jinane.
Après ces aveux circonstanciés, les enquêteurs ont procédé à l’interpellation de H. Thiam, un ancien militaire qui est présenté comme le cerveau de la bande, A. Diop alias “Amath’’ et M. Diop. Thiam a soutenu avoir volé la moto pour avoir de quoi régler les frais du baptême de son fils. Les deux Diop, après avoir reconnu les faits, ont confié avoir reçu chacun un million pour les cambriolages auxquels ils ont participé.
Les enquêteurs ont trouvé chez eux la moto volée. Au terme de leur période de garde-à-vue, les cinq comparses ont été déférés au parquet pour les faits d’association de malfaiteurs et vols avec effraction.
EnQuête