Le 20 juillet 1960, Modibo Keïta est nommé chef du gouvernement de la Fédération du Mali (qui regroupe le Soudan français et le Sénégal). Après l’éclatement de cette fédération, le 22 septembre 1960, il proclame l’indépendance du Soudan français qui devient la république du Mali et en prend la présidence.
Le Mardi 19 novembre 1968, le lieutenant Moussa Traoré organise un coup d’État et renverse Modibo Keïta qu’il envoie en prison à Kidal. Durant neuf ans, de 1968 à 1977, le pays est alors dirigé par le Comité militaire de libération nationale (en) (CMLN).
Le 19 novembre 1968, Moussa Traoré participe au coup d’État qui renverse le président socialiste Modibo Keïta. Il devient président du Comité militaire de libération nationale, puis président de la République le 19 septembre 1969.
Le 22 mars 1991, une manifestation à Bamako composée de milliers d'étudiants est réprimée par les armes, faisant une centaine de morts.
Le Mardi 26 mars 1991, un coup d’État militaire mené par le lieutenant colonel Amadou Toumani Touré renverse Moussa Traoré. Le Comité de transition pour le salut du peuple est mis en place avec le colonel Touré à sa tête.
Dans la nuit du Mardi 21 au 22 mars 2012, un peu plus de deux mois avant la fin de son mandat, il est renversé par un coup d'État. Les mutins du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’État, dirigé par le capitaine Amadou Sanogo, dénoncent la gestion du conflit au nord Mali entre l'armée et la rébellion touareg dans le cadre de la guerre du Mali.
Le Mardi 18 août 2020, vers 16 h 30, le président Ibrahima Boubacar Keïta et son Premier ministre, Boubou Cissé, sont arrêtés par une garnison de militaires en révolte. Dans la nuit du Mardi au Mercredi, le président de la République, annonce au cours d'une allocution vers minuit, masque sur la bouche, sur la télévision publique ORTM, la dissolution du parlement et du gouvernement, ainsi que sa démission de ses fonctions de chef de l'État…
Le Mardi 19 novembre 1968, le lieutenant Moussa Traoré organise un coup d’État et renverse Modibo Keïta qu’il envoie en prison à Kidal. Durant neuf ans, de 1968 à 1977, le pays est alors dirigé par le Comité militaire de libération nationale (en) (CMLN).
Le 19 novembre 1968, Moussa Traoré participe au coup d’État qui renverse le président socialiste Modibo Keïta. Il devient président du Comité militaire de libération nationale, puis président de la République le 19 septembre 1969.
Le 22 mars 1991, une manifestation à Bamako composée de milliers d'étudiants est réprimée par les armes, faisant une centaine de morts.
Le Mardi 26 mars 1991, un coup d’État militaire mené par le lieutenant colonel Amadou Toumani Touré renverse Moussa Traoré. Le Comité de transition pour le salut du peuple est mis en place avec le colonel Touré à sa tête.
Dans la nuit du Mardi 21 au 22 mars 2012, un peu plus de deux mois avant la fin de son mandat, il est renversé par un coup d'État. Les mutins du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’État, dirigé par le capitaine Amadou Sanogo, dénoncent la gestion du conflit au nord Mali entre l'armée et la rébellion touareg dans le cadre de la guerre du Mali.
Le Mardi 18 août 2020, vers 16 h 30, le président Ibrahima Boubacar Keïta et son Premier ministre, Boubou Cissé, sont arrêtés par une garnison de militaires en révolte. Dans la nuit du Mardi au Mercredi, le président de la République, annonce au cours d'une allocution vers minuit, masque sur la bouche, sur la télévision publique ORTM, la dissolution du parlement et du gouvernement, ainsi que sa démission de ses fonctions de chef de l'État…