La comédienne, qui s’entretenait avec l’APS, a appelé ‘’les scénaristes et les comédiens eux-mêmes à faire plus de recherche pour que le théâtre continue de jouer son véritable rôle : éduquer tout en faisant rire’’.
De façon générale, les jeunes ont du mal, ne se mettent ‘’pas souvent’’ dans la peau des personnages qu’ils sont appelés à incarner, en partie parce que les pièces proposées ne sont pas élaborées comme il faudrait.
Ndèye Sène a donné l’exemple de ‘’Mayacine ak Dial’’, la série qu’elle a imaginée elle-même et dont elle est l’actrice principale. Les jeunes trouvent, souligne-t-elle, qu’on ‘’ne peut jouer le rôle d’une mère de famille pauvre qui remue terre et ciel pour faire bouillir la marmite et se saper comme pas possible’’.
‘’C’est contradictoire’’, commente la comédienne, estimant que la prise en compte de tous ces paramètres relève d’une recherche et d’une conception bien élaborées.
Évocation humoristique de la vie de tous les jours d’une famille sénégalaise quelconque qui se débrouille pour triompher des difficultés quotidiennes de la vie, cette série a tout de suite été adoptée comme jamais par les Sénégalais, certainement parce qu’ils s’y retrouvent pour l’essentiel et surtout en raison de son ton moralisateur, au second degré.
De même, Ndèye Sène estime que les producteurs doivent s’engager à mieux payer les comédiens. ‘’C’est très dur de travailler nuit et jour’’, sachant qu’on ne sera pas payé à temps et comme il faut, dit-elle.
La comédienne assure cependant que les acteurs de ‘’Mayacine ak Dial’’ sont ‘’bien payés’’. ‘’C’est vrai, je vous jure, le producteur est exemplaire’’, a déclaré la comédienne selon qui le succès de cette série ne fait que commencer.
‘’Nous avons pour le moment tourné 120 épisodes’’, mais il y a ‘’beaucoup d’autres thèmes sur la Tabaski, les relations entre belles-sœurs, le pèlerinage à la Mecque’’ qui seront traités pour les prochaines épisodes, a-t-elle précisé.
SKS/BK
De façon générale, les jeunes ont du mal, ne se mettent ‘’pas souvent’’ dans la peau des personnages qu’ils sont appelés à incarner, en partie parce que les pièces proposées ne sont pas élaborées comme il faudrait.
Ndèye Sène a donné l’exemple de ‘’Mayacine ak Dial’’, la série qu’elle a imaginée elle-même et dont elle est l’actrice principale. Les jeunes trouvent, souligne-t-elle, qu’on ‘’ne peut jouer le rôle d’une mère de famille pauvre qui remue terre et ciel pour faire bouillir la marmite et se saper comme pas possible’’.
‘’C’est contradictoire’’, commente la comédienne, estimant que la prise en compte de tous ces paramètres relève d’une recherche et d’une conception bien élaborées.
Évocation humoristique de la vie de tous les jours d’une famille sénégalaise quelconque qui se débrouille pour triompher des difficultés quotidiennes de la vie, cette série a tout de suite été adoptée comme jamais par les Sénégalais, certainement parce qu’ils s’y retrouvent pour l’essentiel et surtout en raison de son ton moralisateur, au second degré.
De même, Ndèye Sène estime que les producteurs doivent s’engager à mieux payer les comédiens. ‘’C’est très dur de travailler nuit et jour’’, sachant qu’on ne sera pas payé à temps et comme il faut, dit-elle.
La comédienne assure cependant que les acteurs de ‘’Mayacine ak Dial’’ sont ‘’bien payés’’. ‘’C’est vrai, je vous jure, le producteur est exemplaire’’, a déclaré la comédienne selon qui le succès de cette série ne fait que commencer.
‘’Nous avons pour le moment tourné 120 épisodes’’, mais il y a ‘’beaucoup d’autres thèmes sur la Tabaski, les relations entre belles-sœurs, le pèlerinage à la Mecque’’ qui seront traités pour les prochaines épisodes, a-t-elle précisé.
SKS/BK