[Audio]. Sur Google, tapez : « Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, un grand homme d’honneur exceptionnel » pour écouter notre discours.
« Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, un grand homme d’honneur exceptionnel ».Publication Audio le 20 mars 2012 sur notre site. Au deuxième tour des élections présidentielles, Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, avait bien refusé les liasses de billets de banque offertes par le candidat disqualifié, politiquement, juridiquement et moralement.
Les adeptes nostalgiques du recul devraient nécessairement écouter notre discours : « « Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, un grand homme d’honneur exceptionnel ».L’histoire nous a donné raison au soir du 25 mars 2012. En octobre dernier, nous avions dénoncé la corruption d’une certaine nomenclature intellectuelle. Wade a toujours tenté d’utiliser les confréries pour ses propres intérêts bassement politiques.
Ceux qui dénoncent notre haine sur les wade ne sont que des abrutis languissants, des mauvais perdants, coupables. Nous n’écrivons pas pour plaire, ni pour faire preuve d’étalage d’une quelconque connaissance supposée. Tant s’en faut. Ce n’est pas notre vision de la démocratie. Que les chiens se taisent donc !
Nous sommes libres de conscience et personne ne pourrait modifier notre discours sur la question du wadisme décrié, obsolète. Pour des raisons techniques, l’ouvrage
est publié en avril dernier, car nous ne maîtrisons pas le calendrier de publication. Cela dit, le propre du sénégalais inculte, à défaut d’apporter la moindre contradiction au débat politique, réside dans son inaptitude médiocre à défendre l’injustifiable, aux motivations éloquemment crypto personnelles. Dans cet ouvrage, il ne s’agit pas nullement de comparer Senghor, Abdou Diouf à un Abdoulaye Wade. Si les Sénégalais l’avaient mis en place, c’est qu’ils pensaient que Wade ferait mieux qu’eux. De là, à tirer des conclusions hâtives, selon lesquelles notre ouvrage, « Sénégal », est certainement nul, alors que ceux qui critiquent l’ouvrage, avant l’heure, n’ont lu aucune ligne du présent livre, démontrent une fois de plus la mauvaise foi d’une certaine sarabande bouffonne, sourde et aveugle.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
« Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, un grand homme d’honneur exceptionnel ».Publication Audio le 20 mars 2012 sur notre site. Au deuxième tour des élections présidentielles, Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, avait bien refusé les liasses de billets de banque offertes par le candidat disqualifié, politiquement, juridiquement et moralement.
Les adeptes nostalgiques du recul devraient nécessairement écouter notre discours : « « Serigne Cheikh Sidy Moctar Mbacké, khalif Général des mourides, un grand homme d’honneur exceptionnel ».L’histoire nous a donné raison au soir du 25 mars 2012. En octobre dernier, nous avions dénoncé la corruption d’une certaine nomenclature intellectuelle. Wade a toujours tenté d’utiliser les confréries pour ses propres intérêts bassement politiques.
Ceux qui dénoncent notre haine sur les wade ne sont que des abrutis languissants, des mauvais perdants, coupables. Nous n’écrivons pas pour plaire, ni pour faire preuve d’étalage d’une quelconque connaissance supposée. Tant s’en faut. Ce n’est pas notre vision de la démocratie. Que les chiens se taisent donc !
Nous sommes libres de conscience et personne ne pourrait modifier notre discours sur la question du wadisme décrié, obsolète. Pour des raisons techniques, l’ouvrage
est publié en avril dernier, car nous ne maîtrisons pas le calendrier de publication. Cela dit, le propre du sénégalais inculte, à défaut d’apporter la moindre contradiction au débat politique, réside dans son inaptitude médiocre à défendre l’injustifiable, aux motivations éloquemment crypto personnelles. Dans cet ouvrage, il ne s’agit pas nullement de comparer Senghor, Abdou Diouf à un Abdoulaye Wade. Si les Sénégalais l’avaient mis en place, c’est qu’ils pensaient que Wade ferait mieux qu’eux. De là, à tirer des conclusions hâtives, selon lesquelles notre ouvrage, « Sénégal », est certainement nul, alors que ceux qui critiquent l’ouvrage, avant l’heure, n’ont lu aucune ligne du présent livre, démontrent une fois de plus la mauvaise foi d’une certaine sarabande bouffonne, sourde et aveugle.
Le combat continue !
Ahmadou Diop